photocop.

 

 
 

Affichage par année

857 affiches :

 


    [Il n’y a pas de paradis futur]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il n’y a pas de paradis futur]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : individualisme  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Libertad, Albert (1875-1908)
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (femmes et fillettes souriantes traversant une rue devant une voiture renversée et enflammée, main dans la main) ]

    texte :

    Résignés, regardez, je crache sur vos idoles, je crache sur Dieu, je crache sur la patrie, je crache sur le Christ, je crache sur les drapeaux, je crache sur le capital et sur le veau d’or, je crache sur les religions : ce sont des hochets, je m’en moque, je m’en ris… Ils ne sont rien que par vous, quittez-les et ils se brisent en miettes. Vous êtes donc une force, ô résignés, de ces forces qui s’ignorent mais qui n’en sont pas moins des forces, et je ne peux pas cracher sur vous, je ne peux que vous haïr…ou vous aimer. Par-dessus tous mes désirs, j’ai celui de vous voir secouer votre résignation dans un réveil terrible de vie.

    Il n’y a pas de paradis futur,

    il n’y a pas d’avenir,

    il n’y a que le présent.

    Vivons-nous ! Vivons !
    La résignation, c’est la mort. La révolte, c’est la vie.

    Albert Libertad, « Aux résignés », dans L’Anarchie, 13 avril 1905.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Il-n-y-a-pas-de-paradis-futur : « Affiche trouvée sur les murs de Paris, fin 2009 » (28 décembre 2009).



    [Infokiosque, projections mars-avril 2009]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Infokiosque, projections mars-avril 2009]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; art : cinéma  ; religion et spiritualité (en général)  ; technologie  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Soudan
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (lettres accentuées effacées) ; dessins (homme dans engrenages ; fleur nucléaire) ]

    texte :

    Infokiosque

    projections mars / avril

    20 h 00 / entrée libre

    Mars

    -04- Le système technologique et Unabomber
    Le réalisateur de ce documentaire a échangé avec Kaczynski, surnommé Unabomber par le FBI, de nombreux courriers qui servent ici de base la description du personnage et de son aversion pour le système technologique. Pour questionner la pertinence des idées d’Unabomber, le réalisateur interroge plusieurs personnages actifs dans le développement de ce même système : des experts informatiques et militaires, des scientifiques, des artistes multimédia, …

    -18- Vivre en dehors du système : Quelles stratégies ?
    Comment nous réapproprier nos vies ? Comment ne plus dépendre des propriétaires, des patrons, des grandes industries, de l’énergie nucléaire, … En dehors des revendications portées par les personnages rencontrés, ce documentaire s’attarde sur ce que vivent concrêtement ceux qui opèrent ces choix.

    Avril

    -01- OGM
    Personne n’en veut dans son assiette ni dans les champs jouxtant son habitat, pourtant, l’industrie et les pouvoirs publics font le forcing pour imposer ce qui s’annonce comme une catastrophe touchant tous les domaines de la vie : les OGM. Et voir ce que ceux qui les produisent ont déjà eu par le passé comme considérations pour l’environnement, qu’on ne vienne pas nous parler de « risques maitrisés ».

    -15- Fanatiques chrétiens aux USA
    Documentaire qui présente le milieu des chrétiens intégristes aux USA. Une partie de ceux-ci attendent d’ici peu le retour du Christ, mais se préparent gaiement, en son nom, prendre le pouvoir. Un documentaire qui s’attarde sur l’enrôlement et l’utilisation des enfants de ces fanatiques.

    -29- Darfour
    Le génocide qui a lieu au Darfour aurait déjà fait 450’000 morts et 3’000’0000 de blessés. Malgré toutes les atrocités commises par les Janjaweeds, des milices arabes entraînées par le gouvernement, contre les populations noires de cette région du Soudan, la communaux internationale reste impassible. Un documentaire qui a pour but de briser ce silence collectif.

    [logo] Espace noir
    Rue Francillon 29, 2610 St-Imier — 032/ 941.35.35 www.espacenoir.ch


    sources :
     


    [Les Oiseaux de passage : Piments noirs]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les Oiseaux de passage : Piments noirs]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : culture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Oiseaux de passage, les
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (présentation spectacle) ; dessins (oiseaux et d’une danseuse, sigle Espace noir) ]

    texte :

    [logo] Espace noir

    Rue Francillon 29, 2610 St-Imier — 032/ 941.35.35 — www.espacenoir.ch

    Samedi 7 mars 2009 à 20 h 30

    [logo]Compagnie

    Les Oiseaux de passage

    Danièle Golan — Martine Meyer — Jean-Roger Laforge

    Piments noirs

    Sur le mode poético-burlesque, les trois auteurs-interprètes peignent la condition humaine en combinant chanson, texte, musique et jeu théâtral.
    Décapsulant !

    [dessin]


    sources :
     





    [Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , brun ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]

    texte :

    Pour des cendres de rétention

    La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.

    Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.

    Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .

    Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.

    Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
    Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.

    Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.

    ...Feu à toutes les prisons


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).


    2009

    2011
    Affiches liées





    [Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : histoire  ; militantisme  ; prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Jacob, Alexandre Marius (1879-1954)  ; Termignon, Laurent  ; Turner, Thomas
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo : portrait de Jacob en chapeau-melon ]

    texte :

    Soirée projection-débat

    Vendredi 18 décembre 2009 à 20 h 30

    Alexandre Marius Jacob

    film documentaire de Thomas Turner et Laurent Termignon

    Engagement, répression, enfermement

    Anarchiste illégaliste, partisan de la « reprise individuelle », Alexandre Marius Jacob, membre des Travailleurs de la Nuit, devait payer cher plus de 150 cambriolages spectaculaires, reconnus. Riches et oppresseurs étaient la cible. Lui et ses compagnons avaient déclaré la guerre au monde capitaliste. Une partie des « recettes » était reversée à « La Cause ». 25 ans, 8 mois et 23 jours après son arrestation, la bagnard en Guyane, matricule 34 777, soutenu sans relâche par sa mère, recouvrait la liberté mais n’était toujours pas vaincu…

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Collectif libertaire Marius Jacob

    collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net

    Imprimé par nos soins


    sources :
     




    [A spectre is haunting us]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte  ; sabotage / sabottage  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bernasconi, Luca "Billy"  ; Guerini, Silvia  ; Ragusa, Constantino
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]

    texte :

    A spectre is haunting us

    Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…

    Why should this be blown up ?

    We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.

    What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
    the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.

    Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.

    The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.

    Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.

    Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.

    Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !


    sources :

    Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)


    [ca  2010]
    Affiche liée



    [Arrêt des expulsions]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Arrêt des expulsions]. — Lille : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (homme trainé au sol par un policier) assez pixelisé ]

    texte :

    Arrêt des expulsions

    Quand se loger est un luxe, réquisitionner est un droit !

    Ni prison ni répression n’arrêterons nos rébellions


    sources :

    Lille ? ca 2010-2020



    [Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Rroms, gitans, tziganes…
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo : gitane (du paquet de cigarette) sur bouclier (CRS Mai 68) ]

    texte :

    Vendredi 15 octobre 2010

    Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger

    Film-débat, 20 h 30

    Tandis que se poursuivent les expulsions et déportations de Sans-Papiers, les RROMS de Roumanie et Bulgarie sont à leur tour déportés. La sinistre campagne entamée au cours de l’été par le gouvernement français, dans la logique du fascisme d’état, à l’encontre de ces citoyens européens nous rappelle, s’il en est besoin, que les gérants du système sont capables du pire, dès qu’il est question de conserver leur pouvoir dont Louise Michel disait qu’il est « maudit »...

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Collectif libertaire Marius Jacob,

    collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    1998

    [ca  2006]

    [ca  2006]

    1998

    1980

    1985

    [s.d.]
    Affiches liées






    [Dans l’État le plus libre du monde]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Dans l’État le plus libre du monde]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; filigrane (ciseaux coupant une main levée) ]

    texte :

    Dans l’État le plus libre du monde

    Depuis 1945, ils veulent nous faire croire que règne sur nos vies la plus sereine des libertés, maintenant que les ménagères ont accès à tout ce qui se fait de mieux en électroménager, que presque tout le monde à le droit de voter, que la « liberté » d’expression est garantie par les institutions démocratiques, qu’une série de faux choix s’offre à nous entre exploiter ou se faire exploiter pour que dalle sans chercher à comprendre pourquoi, sous peine de se faire mater. Notre anxiété et notre soif de liberté ne s’amenuisent pas, pourtant, c’est de tout cela qu’ils parlent lorsqu’ils nous martèlent les oreilles de leurs idées de la liberté et du progrès démocratique ou industriel.

    Mais ici et là, la paix sociale est parfois ébranlée, sa nécessité remise en question, ses capacités à se rendre tendance évacuées au profit de la rage qu’elle provoque chez ceux sur qui elle ne réussit pas à faire oublier la misère d’une existence de gibier permanent. Les flics sont attaqués et détestés dans les quartiers que la paix sociale qualifie de « sensibles », les grands frères sociaux ne réussissent plus à contenir la rage d’exploités en quête de sens, des chômeurs n’acceptent plus que leur (sur)vie soit un enfer, des lycéens forment des barricades contre les forces de l’ordre pendant que des ouvriers menacent de faire péter leurs putain d’usines, des sans-papiers se révoltent aux quatre coins du pays en foutant le feu à leur prison ou en se soustrayant aux rafles, d’autres tentent de rendre la vie impossible à ceux qui profitent des expulsions et du système carcéral, de plus en plus de mutins essayent de faire payer l’addition à ceux qui voudraient que la domination de l’humain par l’humain lèche encore plus de sa langue râpeuse les parois de nos corps et de nos esprits meurtris.

    En 2005, les banlieues explosent de rage et mettent l’ordre à mal. Il y a plus d’un an, c’est le centre de rétention de Vincennes, la plus grande prison pour étranger de France qui partait en fumée, allumée par la rage d’une vie sans vie. Depuis plusieurs années, les pratiques de sabotage et les attaques se multiplient sur les différents collabos de l’enfermement (Bouygues, Eiffage, IBIS, Air France, ADECCO, la Croix-Rouge et autres vautours qui participent à la machine à expulser). Plus récemment, ce sont des dizaines et des dizaines de distributeurs de billets de banques (qui se sont rendues responsables d’arrestations de sans papiers en organisant avec les keufs des guet-apens à leurs clients indésirables : La Poste, BNP, LCL, CIC, Société Générale) qui ont été incendiés, défoncés, sabotés.

    Dix personnes sont accusées de l’incendie de Vincennes et sont jugées en ce moment dans un procès perdu d’avance où ils risquent plusieurs années de prison ferme. Le 15 février, quatre personnes, de ceux que ces sales flics appellent les « anarcho-autonomes », sont arrêtées et accusées par la section anti-terroriste de la brigade criminelle d’avoir participé à cette vague de solidarité autour des centres de rétention et de leur meilleur des mondes de merde. C’est toujours l’État qui montre sa sale gueule en espérant nous voir soumis à la pacification meurtrière qu’il nous impose à coup de flics, de prison, de torture, de meurtres, de juges, de frontières, de matons et de jolis sourires bien propres.

    En fait, à travers la répression, l’État espère freiner la diffusion des attaques permanentes qui le secoue avec fracas, il espère aussi attribuer à des groupes sociaux inventés de toute pièce (comme l’ « ultra-gauche », les « jeunes de banlieues », les « bandes », les « saboteurs » et ainsi de suite) des pratiques pourtant répandues partout dans la société afin de les confiner, bien conscient que leur généralisation lui serait fatale.

    Mais il n’y a pas de quoi pleurer, parce que dans cette guerre sociale sans trêve, nous ne ferons pas de cadeaux non plus.

    Que le tumulte de la révolte s’abatte contre ce foutu monde de merde !


    sources :

    Affiche parue sur http://www.non-fides.fr/?Dans-l-Etat-le-plus-libre-du-monde : « Tract trouvé dans les rues de Paris, mars 2010 » (21 mars 2010).

    La capture présentée ici n’est pas exactement conforme (polices différentes).




    [Den Mut haben, zu rebellieren]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Den Mut haben, zu rebellieren]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; émigration et immigration  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte ; dessin (groupe de personnes rassemblées sous une machine à grandes pinces qui attrape les personnes s’éloignant du centre) ]

    texte :

    Den Mut haben, zu rebellieren

    Ich gehe durch die Strassen und mir fällt wieder einmal auf, wie. viel Polizei präsent ist. Es ist zum Alltag oder sogar zur Banalität geworden, dass sie Personen auf der Strasse anhalten, kontrollieren, schikanieren und abführen.

    Die Polizei geht gezielt auf Menschen los, die in ihr Profil des Kriminellen passen. Kriminell ist, wer sich aus irgend einem Grund nicht in die Gesellschaft integrieren will oder die Möglichkeit dazu nicht hat. Integriert zu sein bedeutet, gültige Papiere zu besitzen und im Wirtschaftssystem zu funktionieren, sprich, sich täglich als Arbeitskraft ausbeuten zu lassen. Die Gesellschaft lehrt uns, für die Arbeit dankbar zu sein und im grauen Alltag das Konsumieren als Freiheit zu verstehen. Menschen, die sich dem nicht fügen, werden bestraft, denn in den Augen der Gesellschaft sind sie "böse". Sie sind "böse", weil sie das Funktionieren des Systems in Gefahr bringen könnten. Sie dienen jedoch auch als schlechtes Beispiel, um das zu ’"rechtfertigen, was als "gut" behauptet wird.

    Die letzten November angenommene Ausschaffungsinitiative beruht genau auf diesem Prinzip : es wird in "gute" und "böse" Migranten unterteilt. "Gute" Migrantlnnen sind die, die versuchen sich in die Gesellschaft zu integrieren und der Wirtschaft des Landes nützlich sind. Viele glauben, Migrantlnnen müssten dankbar sein, in der Schweiz leben zu können. Migration ist jedoch in erster Linie eine Konsequenz des wirtschaftlichen und politischen Terrors der dortigen Regime in Absprache mit und zu Gunsten von reichen Ländern. Viele Flüchtlinge meinen, im Westen ihr Glück zu finden, doch müssen sie hier Ausbeutungsumstände ertragen, die jenen gleichen, vor denen sie geflüchtet sind. Als billige Arbeitskraft sind sie hier — in einem kontrollierten Masse — durchaus "von Nutzen". Ausserdem dienen sie als Sündenbock für gesellschaftliche Probleme und die Unzufriedenheit Anderer. Durch vereinfachte Feindbilder (der Sexualverbrecher, die Sozialhilfebetrügerin) wird das rassistische Klima zusätzlich angeheizt. Mit dem Bild des "bösen" Migranten wird überspielt, dass es, ob Migrant oder Schweizer, im Grunde dieselben Autoritäten und dieselben sozialen Verhältnisse sind, die unsere Unzufriedenheit auslösen. Es wird gesagt, dass sie ausgeschafft werden, um die allgemeine Sicherheit zu garantieren. In Wirklichkeit werden als "böse" Migranten diejenigen verfolgt, eingesperrt und ausgeschafft, welche die gegebenen wirtschaftlichen Anforderungen nicht erfüllen oder sich nicht integrieren und ausbeuten lassen wollen. Die Sicherheit ist also in erster Linie die Sicherheit von jenen, die von dieser Wirtschaft profitieren — die der Reichen und Machthabenden. Und an dieser haben wir gewiss nicht das geringste Interesse.

    Wir fühlen uns verbunden und wollen gemeinsam mit allen Kämpfen, die im ausschaffungsgefängnis rebellieren. mit allen, die sich bei Kontrollen wehren und die Polizei nicht als Autorität akzeptieren. mit allen, die das Gesetz nicht anerkennen, weil es die Ausbeutung verteidigt. mit allen, die sich nicht ausbeuten lassen wollen.


    sources :
     


    [Dollhouse]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Dollhouse]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Dollhouse  ; Monoski
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (invitation à 2 concerts le 5 mai 2010 à l’Espace Noir de St-Imier (Suisse) : "Dollhouse" / "Monoski") ; photo (groupe Dollhouse) ]

    texte :

    ★★★ Electro Church Music Proudly presents ★★★

    Dollhouse

    Rock n Roll revival

    Espace Noir & Burning sound présentent :

    Dollhouse (rock and soul / Suède)
    www.myspace.com/rockandsoul

    Monoski (duo R’n’R / New York-Suisse)
    www.myspace.com/monoskimusic

    Live : 21h00 !!! 8.- mardi 5 mai
    Espace Noir, Francillon 29, St-Imier

    www.espacenoir.ch ; www.myspace.com/burningsoundsrecords

    [logo] playground — New album out now ! — [logo] Wrangler

    For more info : /rockandsoul www.electrochurch.com Contact info@electrochurch.com Design by Chris & ElectroArt


    sources :
     


    [Droit dans l’mur ! « ADN »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Droit dans l’mur ! « ADN »]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte sur 3 affiches ; dessins (ADN en forme de barreaux de prison ; menottes ADN, etc.) ]

    texte :

    Droit dans l’mur !

    À Bordeaux, trois personnes ont été inculpées pour refus de prélèvement ADN, suite à la réquisition d’un logement vide en 2009. Le procès s’est déroulé mercredi 8 septembre 2010.
    Ce procès n’est que la face visible de l’iceberg puisque le fichage ADN est devenu quasi systématique lors des gardes à vues. À Bordeaux comma ailleurs, des militant.e.s et autres ont parfois mobilisé autour de leur refus du fichage et obtenu des relaxes ou de simples amendes. Mais la plupart du temps, les rares personnes qui osent refuser se font condamner sans soutien et dans le silence. La loi stipule que l’accord de la personne mise en cause est obligatoire pour le prélèvement (dans la plupart des cas). Mais ce « droit » laissé au refus représente aussi un délit permanent passible d’un an de prison ferme et de 15 000 euros d’amende.

    Le saviez-tu ?
    L’ADN, ou acide […]

    Le prélèvement ADN
    Le prélèvement ADN a été instauré à la fin des années 1990 par le gouvernement Jospin. […]

    Gixel is watching you !

    Le GIXEL, un groupe de pression qui rassemble une cinquantaine d’industries de l’électronique dont EADS, Thalès, SAGEM, Oberthur ou 3M, s’exprime ainsi :
    « La sécurité est très souvent vécue dans nos sociétés démocratiques comme une attaque aux libertés individuelles. Il faut donc faire accepter par la population les technologies utilisées et parmi celles-ci la biométrie, la vidéosurveillance et les contrôles. […]
    […] »
    Source : www.gixel.fr

    Justice nulle part
    L’ADN, empreinte invisible du corps que nous dispersons en permanence un peu partout derrière nous, est considérée judiciairement comme « la preuve parfaire ». […]

    Prouve que tu existes !
    Malgré cette propagande scientifico-policière omniprésente, des individus refusent de se soumettre à la loi de l’État. […]

    Soutenons les formes de vie et de révolte qui font chavirer la machine sécuritaire.

    Pas de flicage, pas de fichage !

    Plus d’infos : http://refusadn.free.fr ; http://infoquiosques.net

    Le petit supplément connerie…
    « Les citoyens seraient mieux protégés si leurs données ADN étaient recueillies dès leur naissance » (C. Estrosi, député maire UMP rapporteur du projet de loi de « sécurité intérieure » 2007)


    sources :

    Journal mural Droit dans l’mur (Bordeaux, vers sept. 2010).
    https://gabx.noblogs.org/post/2012/01/07/adn/
    https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn.jpg (p. 1/3)
    https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn21.jpg (p. 2/3)
    https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn32-723x1024.jpg (p. 3/3)




    [Ein Fest der Revolte]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ein Fest der Revolte]. — Zürich Zurich : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; autorité  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte (sur la manifestation du 6 février 2010 à Zurich) ; photo (voiture renversée devant foule, début 20e s.) ]

    texte :

    Ein Fest der Revolte

    Zweifellos, der vergangene Samstagabend [06.02.2010] war ein Fest. 500-800 Leute nahmen sich die Strassen Zürichs und kreierten einen Handlungsspielraum., der sich täglich zu verringern scheint.

    Zahlreiche Personen aus verschiedensten sozialen Hintergründen ergrifen gemeinsam die Gelegenheit, um das anzugreifen, was die alltägliche Unterdrückung und die Macht der Reichen repräsentiert ; oder schlicht, um dieser Stadt ihr heuchlerisches Antlitz zu nehmen. Freudig wurde mit Hämmern und Steinen zumindes für kurze Zeit das dicke Eis der sozialen Befriedung durchschlagen. Trotzdem glauben wir weniger, dass zerbrochene Scheiben die Welt verändern, sondern vielmehr die Idee der Revolte, die Verbreitung findet ; gestützt auf den Traum eines Zusammenlebens, das sich dadurch bereichert, dass sich jede und jeder frei und als Einzigartige/r verwirklichen kann. Wenn wir Steine nach Bullen werfen, dann weil wir in den Autoritäten jeglicher Art die Mörder dieses Traumes sehen. Wenn wir Banken und Verwaltungsgebäude verwüsten, dann um bereits jetzt die Idee einer Welt ohne Geld und ohne Bürokratie zu bekräftigen. Es sind nicht die Trümmer, die wir suchen, sondern die Wege, die durch sie hindurchführen. In Momenten der Revolte tritt die Möglichkeit ans Licht, die Normalität, die Unterwerfung und die Akzeptierung des Alltags zu durchbrechen, um Fragen zu stellen und mit Antworten zu experimentieren, die sich der Politik entziehen.
    Nun, da man sich Raum geöffnet hat, was kann man damit tun ? Wie sich dem Staat entgegenstellen ? Wie den Bruch mit der Normalität ausbreiten und andauern lassen ? Wie gefährlich werden ? Gewiss nicht indem man sich eine Nische für Alternativkultur oder -ökonomie schafft, die schliesslich nur nach einer Existenzberechtigung sucht. Der Staat wird ohne generalisierten Aufstand der Ausgebeuteten nicht verschwinden, genausowenig wie die Reichen und Mächtigen widerstandslos ihre Privilegien aufgeben werden. Die Rebellion kann sich auf unterschiedlichste Arten ausdrücken, doch von dem Momentan, wo mit der kompromisslosen Idee, jegliche Form von Herrschaft zurückzuweisen, weder Forderungen gestellt, noch Verhandlungspartner akzeptiert werden, von diesem Moment an mag etwas beginnen, dass wieder an uns selbst liegt…

    Diese gewaltige Maschinerie, die uns jegliche Freiheit raubt, um sie dann in der verkehrten Welt der Waren wieder feilzubieten, uns in Knästen, Psychiatrien und Ausschaffungszentren einsperrt, um alle an das Strafgesetzbuch zu ketten, uns kontrolliert und erniedrigt, uns täglich in die Schule oder zur Arbeit zwingt, für die Zwecke einer Gesellschaftsordnung, die gewiss nicht die unsrige ist ; diese Maschinerie wird an konkreten Orten von reellen Personen erbaut, betrieben, repariert und beschützt. Es ist nicht nötig mit 500 Leuten zu sein, um anzugreifen. Eine kleine Gruppe vertrauter Freunde reicht aus. Die Nacht steht auf unserer Seite…

    Nichts ist Vorbei !

    Für eine herrschaftsfreie Welt !


    sources :
     


    [Ein Schreckgespenst geht um]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ein Schreckgespenst geht um]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte  ; sabotage / sabottage  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bernasconi, Luca "Billy"  ; Guerini, Silvia  ; Ragusa, Constantino
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]

    texte :

    Ein Schreckgespenst geht um

    Immer wieder lesen wir von Menschen, die Gebäude, Autos oder Infrastrukturen bestimmter Institutionen auf unterschiedliche Weise angreifen. Im staatstreuen Chor der Medien werden sie oft als "Vandalen" oder "Chaoten" bezeichnet, und falls sie als solche nicht mehr durchgehen, dann greift man eben zum Konstrukt des "Terroristen", um jegliche Diskussion über mögliche Beweggründe im Voraus zu ersticken. Eben dies geschah mit den drei Anarchisten, die am 15. April in Langnau am Albis verhaftet wurden, da sie angeblich unterwegs waren, um ein Zürcher Forschungszentrum der IBM anzugreifen. Ein Ort unter vielen, an dem, fernab von unserem Alltag, an der Vertiefung der Kontrolle über das Leben auf diesem Planeten herumgeforscht wird : Gentechnik, Überwachungs-, Nanotechnologien…

    Wieso soll das also in die Luft fliegen ?

    Wir sind versunken in einem technologischen Hochglanzalbtraum,wo tote Materie höher gewichtet wird als unser Leben. Der neue, allesbeherrschende Gott ist die Wirtschaft. Ihr muss es gut gehen, heisst es, damit es uns überhaupt erst gut gehen kann. Doch hinter der Grundhaltung, dass jeglicher Fortschritt per se positiv ist, verhüllt sich die Tatsache, dass nur wenige von diesem profitieren. Denjenien, die sich Tag für Tag ausbeuten lassen, dürfte schon längst aufgefallen sein, dass wir trotz all der unglaublichen Forschungen heute nicht weniger, sondern schlicht effizienter arbeiten, und nicht qualitativer leben, sondern mehr konsumieren. Mit jeder Neuheit wird uns ein besseres und einfacheres Leben versprochen, während die anschliessende Enttäuschung mit dem Versprechen von immer weiteren Neuheiten kompensiert wird. Wir lechzen nach Fata-Morganas, wie Verdurstende in einer Wüste.

    Das, woran im genannten IBM-Zentrum herumgetüftelt wird, geht noch eine Stufe tiefer. Denn gentechnisch manipulierte Organismen und Nanopartikel, ebenso wie die Strahlungen des Atommülls, schreiben sich fortan unwiderruflich in die Welt ein, die wir bewohnen. Es braucht nicht viel, um zu sehen, dass auch diese Bestrebungen einzig der Fortschrittslogik des Kapitalismus dienen. Nachdem schon längst der ganze Planet unter seiner Herrschaft steht, versucht er diese nun zu vertiefen — und zwar bis ins kleinste Detail.

    Die industrielle Technologie ist schon seit Jahrhunderten der wesentliche Faktor der Umgestaltung der Gesellschaft, und somit der Wirtschaft und des Staates. Immer wieder soll sie angebliche Lösungen für soziale Probleme liefern, zu deren Entstehung sie selbst beitrug. Sie hat sich mittlerweile selbst unentbehrlich gemacht. Ohne die Technologie wäre die immense Anhäufung von Waren, und die dafür erforderliche allgemeine Unterordnung und Kontrolle der Arbeitenden unmöglich. Sie hat die Menschen nicht nur gegenüber der Welt sondern auch einander fremder gemacht.

    Die soziale Ordnung, in der wir leben, funktioniert nur noch durch die immer absurdere Spezialisierung unserer Tätigkeiten, die immer umfänglichere Kontrolle über das Lebende, die immer effizientere Ausbeutung unserer Arbeitskraft und eine allgemeine Verarmung der menschlichen Beziehungen.

    Die scheinbar unantastbare Rechtfertigung dafür ist die blosse Aufrechterhaltung des Bestehenden. Die Frage nach den Lebensbedingungen wird nicht gestellt. Schliesslich könnte sie zur Erkentnis verleiten, dass nicht wir, sondern die soziale Ordnung an unserer Betrübtheit schuld ist, und dass so einiges verschwinden muss, um endlich frei zu atmen. Wir denken, dass einem Zusammen-leben nicht durch technologischen Fort-schritt, sondern unter gemeinsamen ethischen und sozialen Überlegungen Wert zukommt. Die Entwicklung, die wir anstreben, geht einem Leben entgegen, das an uns selbst liegt, ohne zu dienen und ohne zu herrschen — und diese Entwicklung beginnt mit der Revolte gegen alles, was uns davon abhält.

    Daher erkennen wir uns in den drei Anarchisten wieder, die nun verteilt in schweizer Knästen sitzen. Wir empfinden Solidarität für jeden Versuch, die eigenen Fesseln abzuwerfen, um der anhaltenden Vernichtung des Lebens und der (Selbst-)Versklavung der Menschen die Stirn zu bieten. Und eine der ersten Fesseln, die wir dazu abwerfen, ist diejenige in unseren Köpfen, die uns glauben macht, wir können ohne-hin nichts tun und uns in der Lethargie gefangen hält.

    Darum an alle, die — aus welchen Gründen auch immer — die Schnauze voll haben von all den Zwängen und Kontrollen, von all den leblosen Produkten und sinnlosen Arbeiten, von dem Hass, der gestreut wird, damit wir untereinander kämpfen, anstatt gemeinsam gegen das Elend. An alle, deren Herz höher schlägt, wenn Leute das angreifen, worin sie die Ursache ihrer Unzufriedenheit erkennen : Zeigt euch und lasst an der Vielfalt der Sabotagen erkennen, dass etwas ganz anderes möglich ist.

    Freiheit für dir drei anarchisten Billy, Silvia und Constantino !


    sources :

    Voir aussi : A spectre is haunting us (Englische Version)


    [ca  2010]
    Affiche liée





    [Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans]. — Dijon : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; luttes urbaines
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (manifestations de femmes, années ’70) ]

    texte :

    Mardi 14 décembre - 19 h, à l’amphi Roupnel, université droit-lettres

    Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans

    [photo]

    Mise en scène (en lectures, films, chansons…) sur les mouvements révolutionnaires italiens

    luttes dans les usines, universités, quartiers, prisons, occupations de logements, auto-réductions, comités de base et autonomies ouvrières, féminismes, révoltes des marges, radios libres, indiens métropolitains, action directe et illégalité diffuse…

    suivi d’une discussion sur ce que ces fragments d’histoires souvent occultées, leurs failles et leurs forces, peuvent faire émerger dans des stratégies de lutte ; mouvements à venir et projets de transformation radicale de la société aujourd’hui…


    sources :

    Cette tournée « Intervento » a fait naitre d’autres affiches comme à Lausanne pour le 25 avril 2010, à Lille pour le 8 mai 2011.


    2011

    2010

    2013

    2013
    Affiches liées




    [Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; émigration et immigration  ; prison  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte ; photo (rang de maisons) ; dessin (œil à la paupière mordu par un diablotin) ]

    texte :

    Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?

    Das Trugbild des sozialen Friedens befleckt sich mit Blut. Im Schatten des gewohnten Laufs der Dinge fordert die herrschende Ordnung ein Leben nach dem anderen. Die Gesetze und ihre Hüter zeigen zur Zeit besonders deutlich, was sie im Wesentlichen schon immer waren : Mörder im Namen des Staates.

    Während Menschen apathisch durch die Einkaufsstrassen schlendern, wird in Zürich ein Mann bei einem Ausschaffungsversuch getötet. Inmitten der alltäglichen Belanglosigkeiten, mit denen uns die Medien vollstopfen, lassen Gefängniswärter in Bochuz (VD) einen aufsässigen Häftling in seiner brennenden Zelle ersticken. Doch der eintönige Rythmus der Arbeitswelt lässt kaum Zeit, darüber nachzudenken. Nur wenig später sterben zwei weitere Menschen, diesmal in einem Zürcher und einem Schaffhausener Knast.

    Jeder Tod im Knast ist Mord, da er von einer äusseren Gewalt herbeigeführt wird, die sich über uns stellt. Wenn nicht durch den Knüppel eines Wärters, dann durch eine auf wenige Quadratmeter reduzierte Existenz. In Pfäffikon erhängt sich eine Person, die wegen Diebstahls in U-Haft sass. Wieder fällt ein Flüchtling aus dem Frachtraum eines Flugzeuges. Ein 18-jähriger angeblicher Autodieb wird bei Freiburg von den Bullen in einem Hinterhalt erschossen. Und all das ist nur, was hier in den letzten drei Monaten durch die Mauern und Medien sickerte…

    Die politischen und juristischen Massnahmen, mit denen man vorgibt, solchen "Missgeschicken" nachzugehen, dienen bloss dazu, den sozialen Frieden zu bewahren. Wieso sollten wir uns noch auf solche Betrügereien einlassen, die uns bloss davon abhalten, die Wut in Revolte umzuwandeln ? In Revolte gegen diesen allzu gewohnten Lauf der Dinge... Das Gefängnis ist Folter, da besteht kein Zweifel, doch was ist mit der Gesellschaft, die es benötigt ? Jene, die solche Morde hinnimmt und rechtfertigt ?

    Wir kannten all diese Personen nicht, aber wir kennen die sozialen Verhältnisse, in denen sie unerwünscht waren. Wir kennen die Gesellschaft, die Gefängnisse baut, um den auferlegten Gesetzen Achtung zu verschaffen, um die Störfaktoren im sauberen Funktionieren der Ökonomie zu isolieren und schliesslich, um die Reichen und Mächtigen vor denjenigen zu schützen, die sich entscheiden, das Leben zurückzuholen, das man uns täglich entreisst. Denn nicht nur eingesperrt in Knästen oder in der Konfrontation mit Bullen werden immer wieder Menschen getötet, auch diejenigen, die in dieser auswegslosen Gesellschaft festsitzen, werden konstant auf dem Lebensminimum gehalten. Die Knäste verdeutlichen bloss eine Bedingung, die sich uns überall zeigt, wenn wir ihr ins Gesicht zu blicken wagen : Seit unserer Geburt haben wir der herrschenden Ordnung unsere Pflichten abzubüssen. In der-Schule, bei der Arbeit, vor dem Warenregal… Und mit jedem Ausbruchsversuch laufen wir Gefahr, dass uns die Leine noch enger gezogen wird. Einer solchen, auf Zwang basierenden Ordnung gilt unsere Verachtung — und unsere Angriffslust ! Wir erwarten nichts von ihr. Wir schulden ihr nichts. Was sollte uns verbinden ? Ein Leben ohne Substanz ? Was uns diese Gesellschaft aufzwingt, widert uns an, und Was sie uns anbietet, interessiert uns nicht. Je mögliche Veränderung liegt an uns
    selbst.

    Der Kampf für die Freiheit muss jenseits der Gesetzlichkeit gefochten werden. Dafür gilt es Komplizen zu finden. Dafür gilt es den Feind zu benennen. Die verantwortlichen Institutionen der Einsperrung und Unterdrückung haben einen Namen, ein Gesicht und eine Adresse…

    Wir wollen die unzähligen Morde nicht vergessen, nicht bis das letzte Gefängnis und das letzte Verwaltungsgebäude fällt ; nicht bis zum Ende dieser Maschinerie, die täglich weniger durch Zustimmung als durch Gewohnheit aufrechterhalten wird. Die falschen Trennungen zwischen Legal und Illegal, Bürger und Migrant, Wohnblockbewohner und Häftling, Arbeiter und Dieb, Dir und Mir verhindern bloss, das wir uns als Individuen begegnen, die sich als Unterdrückte erkennen. Denn aus solchen Begegnungen kann die Entschlossenheit wachsen, dem entgegenzutreten, worin wir diese Unterdrückung sehen. Sie könnten uns dazu verleiten, das Träumen zu wagen, um auch das Kämpfen zu wagen. Sie könnten schliesslich der alten Idee wieder Kraft einhauchen, dass es zunächst die Revolte gegen jegliche Kontrolle über unser Leben ist, die uns erlaubt, mit der Freiheit zu experimentieren.

    Von dem Moment an, wo wir uns ein Zusammenleben vorstellen können, das auf gegenseitiger Hilfe und einer anti-autoritären Sensibilität aufbaut, anstatt auf Leistungsdruck und Ausbeutung ; von dein Moment an, wo wir uns eine Welt ohne Knäste denken können, und somit ein Leben, das an uns selbst liegt — mit all seinen Konflikten und Leidenschaften — ; von dem Moment an haben wir auch die Möglichkeit, es wirklich zu realisieren !


    sources :
     



    image indisponible

    [La Brique sort tous les mois]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique sort tous les mois] / Rémi. — Lille : la Brique, [ ?]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin de Rémi : histoire en 4 parties (deux personnes « biens mises » discutent devant un mendiant puis se battent pour récupérer les pièces que ce dernier a perdu en s’assoupissant ]

    texte :

    La Brique sort tous les mois

    …et y en aura pour tout le monde !

    [dessin]

    En vente ici


    sources :

    Affichette de kiosque pour la vente. 2010 ou 2009 ?




    [Le travail]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : désobéissance civile  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (portrait d’homme avec chapeau) ]

    texte :

    Le travail

    Le travail est avant tout un compromis que nous acceptons pour pouvoir survivre financièrement. Parce que nous n’avons jamais choisi le fonctionnement de ce monde, et parce que nous avons été élevés avec le message qu’il nous fallait ou marcher ou crever.

    Le travail nous vole notre temps et notre énergie ! Il essaye de déterminer une partie hallucinante de nos occupations et sollicite en permanence nos corps et nos esprits.

    Le travail tend de plus en plus à se confondre avec notre identité. Lorsqu’on nous demande qui nous sommes, on veut en fait savoir ce qu’est notre boulot. Parce qu’en dehors du travail, il ne reste plus grand chose.
    Notre statut social est aussi jaugé à la hauteur de notre travail. La société nous fait bien sentir que nous ne valons rien tant que nous ne travaillons pas, et que nous ferions mieux de rentrer dans le rang au plus vite, comme tout le monde.

    Le travail s’efforce continuellement à semer la confusion en nous faisant croire que les intérêts des patrons sont aussi nos propres intérêts ; que nous faisons partie prenante de l’entreprise, que nous devons nous réjouir quand les affaires vont bien (et que l’entreprise fait beaucoup de bénéfices), et que nous devons fournir des efforts supplémentaires quand ça va moins bien.

    Le travail nous considérera pourtant toujours comme de la matière jetable. Lorsque les chiffres le demandent on nous jette à la poubelle et nous pouvons alors à nouveau mettre notre dignité de côté pour nous vendre à quelqu’un d’autre.

    Le travail est cette chose pour laquelle nous restons à transpirer dans les salles d’attente d’Actiris ou dans les salles d’auditions de l’ONEM. Comme une armée de réserve, nous devons toujours nous montrer prêts à aller au casse-pipe de l’offre et de la demande. Et si nous ne le faisons pas, la menace financière revient vers nous au galop.

    Le travail est cette chose sur laquelle les travailleurs crachent quand ils sabotent les machines pour pouvoir rester un jour à la maison.

    Le travail est ce que les chômeurs essayent d’éviter par tous les moyens imaginables, que ce soit à l’aide de fausses sollicitations ou d’ingénieux mensonges.

    Le travail est cette chose que les braqueurs rejettent quand ils vont chercher l’argent là où il est. Chez les banquiers ou les bijoutiers, chez ceux qui s’enrichissent sur le dos des autres.

    Le travail est ce à quoi ils essayent, encore et encore, de nous contraindre. En tant que soldats à la rescousse de la sainte économie et de son déclin. Une économie de produits et services qui ne nous intéresse peut-être pas, mais qui nous fait quand même un odieux chantage et qui essaye de nous faire plier tous autant que nous sommes.

    Refusons ce chantage. Fraudons, volons et sabotons ! Foutons en l’air l’économie et changeons le monde… Pour qu’à travers notre résistance nous puissions redécouvrir ce que respirer librement veut dire.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-de-Belgique-contre-le (23 avril 2010).



    [LOPPSI 2 : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    LOPPSI 2 : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte noir sur blanc et blanc sur noir ; dessin (personnage en imperméable, cravate et chapeau mou avec œil à la place de la tête) ]

    texte :

    Chasse aux pauvres, restriction des libertés publiques, surveillance généralisée…

    Fichage de la population ; Criminalisation des vendeurs-ses à la sauvette ; Généralisation de la vidéo-surveillance ; Surveillance des échanges électroniques ; Couvre-feu pour les mineur-es de moins de 13 ans ; Installation de « mouchards » informatiques ; Expulsion et destruction des habitats alternatifs ; Impunité pour les agents de renseignement

    LOPPSI 2* : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !

    * Loi d’Orientation et de Programmation Pour la Sécurité Intérieure

    Réunion publique mercredi 5 janvier [2011], dans les locaux de Solidaires, 84 rue de Cambrai à Lille, à partir de 19 h

    Plus d’infos sur : http://antiloppsilille.herbesfolles.org ; http://abasloppsi.flext.net/ ; http://www.syndicat-magistrature.org/

    Contact : antiloppsilille@herbesfolles.org


    sources :
     


    [Manif de nuit féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manif de nuit féministe]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; montage photo (Fantomette, portraits, textes [À nos mortes, Women, Marchons la nuit, Révoltées, Pour ne plus jamais nous faire marcher dessus, Sex Workers of the World Unite !], logo miroir de Vénus avec femme au poing levé, etc.) ]

    texte :

    Manif de nuit féministe

    non-mixte

    femmes, lesbiennes, gouines, bisexuelles, asexuelles, hétérosexuelles, pansexuelles (que nous soyons trans ou cisgenres)

    Rendez-vous le samedi 29 mai 2010 à 21 h devant l’opéra de Lille


    sources :

    Série de [deux ?] affiches (avec Manif de nuit féministe). Voir aussi : http://lille.cybertaria.org/article1725.html


    2010
    Affiche liée



    [Manif de nuit féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manif de nuit féministe]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; montage photo ]

    texte :

    Manif de nuit féministe

    Non-mixte pour les gouines et les femmes,

    Que nous soyons trans ou cisgenres, quelles que soient nos sexualités, nos couleurs, nos cultures, nos classes sociales…

    Rendez-vous devant l’Opéra de Lille
    jeudi 25 novembre 2012 à 20 h 30


    sources :

    Existe une version en livret 4 p. A4 (30 cm).



    [Méningeons le bouillon : 1]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Méningeons le bouillon : 1]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; montage photo ]

    texte :

    Méningeons le bouillon

    Le 3 avril 2010, à 20 h - au CCL, 4, rue de Colmar, à Lille

    Prix libre

    Brassetaferraille, dubnoiserock — Les Lubies cuitées, théâtre noisy — Les Brûle-Saison, intervention pasolinienne — XXX Orchestras, spoken words delirium sonore — Luminocolor, évasive électronicuivre et cordes

    Expos • Maxmanach • Olfactiv’ • Klairon

    Concerts, théâtre + des surprises

    [loge] Locomotiv’ asso.locomotiv@gmail.com www.myspace.com/moteurdesouf


    sources :

    Diffusé aussi en flyers N&B.