noir

 

 
 

Affichage par année

3578 affiches :

 

    [II Feira anarquista de São Paulo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    II Feira anarquista de São Paulo]. — São Paulo : Terra livre (biblioteca), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; [36 ?] × [26 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Brésil
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Terra Livre (São Paulo)
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : musique  ; art : théâtre  ; art : vidéo  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; exposition  ; meetings et manifestations  ; salon, foire  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; gravure type frontiscipice ]

    texte :

    II Feira anarquista de São Paulo

    04 de dezembro de 2011
    domingo das 10 as 20h

    Bibliotecaterralivre.noblogs.org


    sources :

    Voir aussi : http://bibliotecaterralivre.noblogs.org/post/2011/11/02/2ª-feira-anarquista-de-sao-paulo/ ; http://feiranarquistasp.wordpress.com/1ª-feira/


    Em 2006 foi realizada a 1ª Feira Anarquista de São Paulo, que contou com diversas atividades, dentre elas mostra de filmes, debates, exposição de materiais, shows e leitura de poesias. Ao longo de um dia cerca de 1000 pessoas circularam pelo evento.

    Cinco anos depois, a Biblioteca Terra Livre e o Coletivo Ativismo ABC organizam a 2ª Feira Anarquista de São Paulo, inspirada nas feiras que vem ocorrendo em várias cidades do mundo e na tradição dos festivais operários de propaganda e difusão do anarquismo no Brasil.

    Acontecerá, como no evento anterior, uma mostra editorial e venda de livros, jornais, revistas, fanzines e outros materiais libertários. A Feira de São Paulo pretende reunir as editoras libertárias do país e do exterior.

    Paralelamente à mostra editorial haverá palestras e debates, assim como diversas atividades culturais, como exibição de filmes e vídeos, exposições, poesias, apresentações teatrais e musicais.

    Todos estão convidados!

    Data: Domingo - 04 de dezembro de 2011

    Horário: das 10h às 20h

    Local: Espaço Cultural Tendal da Lapa
    Rua Constança, 72 – Lapa, São Paulo, SP, Brasil
    Próximo à estação de trem e terminal de ônibus Lapa.

    Entrada Gratuita.

    * Em breve será divulgada a programação completa da Feira.

    COMO PARTICIPAR OU COLABORAR

    Grupos, coletivos, editoras e publicações anarquistas interessados em participar e/ou expor seus materiais pessoalmente entrem em contato pelo e-mail:
    feiraanarquista _a_ gmail.com

    Se você não puder comparecer, há maneiras de se envolver com a Feira:

    * Grupos e coletivos: podem enviar painéis com informações sobre suas atividades para exposição das práticas anarquistas no mundo.

    * Editoras e publicações anarquistas: podem enviar seus materiais que nos encarregaremos da exposição e venda.

    Organização:

    Biblioteca Terra Livre
    http://bibliotecaterralivre.noblogs.org
    Caixa Postal 195
    CEP: 01031-970 São Paulo, SP – Brasil

    Ativismo ABC
    www.ativismoabc.org


    2011
    Affiche liée




    [Je crache sur tous les drapeaux !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Je crache sur tous les drapeaux !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (visage d’homme regardant vers le bas, d’où sort un filet de salive) ]

    texte :

    Je crache sur tous les drapeaux

    Je crache sur le drapeau belge. Je crache, car ce drapeau est trempé dans le sang de mes frères et sœurs, du passé et d’aujourd’hui, qui ont été massacrés, torturés, enfermés, affamés, exploités au nom des intérêts de l’État belge.

    Je crache sur le drapeau flamand, car son nationalisme écœurant me fait vomir. Ce nationalisme qui prône les valeurs de l’Ordre et du Travail, faisant la chasse aux immigrés, aux « déviants », aux rebelles. Qui cherche à enrégimenter tout le monde, riche comme pauvre, patron comme travailleur, bureaucrate comme chômeur, dans une même identité nationale, tous unis contre « les autres », tous pour le Pouvoir de la Nation et la protection de ses Valeurs. Comme le racisme, le nationalisme est l’antidote contre le virus de la bataille sociale, du combat pour l’émancipation et pour la destruction du pouvoir.

    Je crache sur le drapeau français, car c’est encore un drapeau de la politique. Je crache dessus, parce que je déteste tous les politiciens de toutes les couleurs, tous les patrons, tous les industriels, tous les puissants. Parce qu’entre eux et moi, il ne peut y avoir qu’une lutte à outrance – eux pour se préserver, moi pour détruire leur pouvoir et conquérir la liberté.

    Je crache sur tous les drapeaux nationaux, car partout où le drapeau national est hissé, l’oppression est chez elle. C’est le drapeau qui flotte sur les prisons, sur les casernes militaires, sur les commissariats, sur les postes-frontières. Toutes les institutions qui étouffent ma vie et la liberté sont ornées de drapeaux nationaux. Et comme en le voit en Tunisie, Égypte ou Libye : lors des soulèvements, l’apparition du drapeau national est toujours le signe précurseur d’un nouveau régime, d’un nouveau pouvoir, d’une nouvelle exploitation.

    Mais je crache aussi sur ceux qui courent derrière les drapeaux nationaux. Qui marchent au pas de l’hymne national, qui font la guerre au nom de la nation, qui sont fiers de servir les intérêts de « leur » nation, de « leur » communauté. Je crache sur ces soldats aveugles et obéissants qui protègent les intérêts du pouvoir. Et que les choses soient claires : je m’en fous si ce pouvoir se prétend belge, flamand, marocain, wallon, palestinien, turc, européen, africain ou encore mondial. Je crache sur les drapeaux, car je crache sur tout pouvoir, sur toutes les autorités.

    Je crache sur tous les drapeaux, car mon cri de vie, mon cri de révolte, c’est l’anarchie, c’est la liberté qui ne connaît ni loi, ni frontière.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Je-crache-sur-tous-les-drapeaux : « Trouvé sur Indybxl » (30 octobre 2011).




    [L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]. — Lyon : CNT_F (France) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Quay, Jean-Yves
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (ouvriers maçons en échafaudage sur un mur de pierre) ]

    texte :

    Journées du patrimoine

    L’architecture et les métiers

    Conférence/débat le 17 septembre à 16 h

    avec diaporama, suivi d’un pot de l’amitié

    Jean-Yves Quay (architecte urbaniste, professeur à l’ENSAL)

    au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien à Lyon 1er

    L’architecture est un ensemble de formes construites, conservées ou révélées par l’histoire, à partir de matériaux issus de notre environnement et transformés pour le rendre habitable. L’extraction, la transformation et la mise en œuvre de ces matériaux, participent ainsi à l’économie tout comme à l’évolution de notre milieu ; ils constituent notre « cadre de vie » et nourrissent de leur présence les sentiments qui lient les hommes à leur environnement.

    Historiquement, le projet architectural s’impose dans l’acte de construire, lorsque la commande fut identifiée clairement (le palais, à la Renaissance) : un constructeur parmi toutes les corporations prend le pouvoir sur les différents corps de métier, à la fois pour rationaliser cette production et pour en faire la promotion. Cet homme c’est l’architecte qui pour coordonner (ordonner) les différents intervenants se fait maître de l’œuvre (arkhitektôn en grec, c’est-à-dire constructeur en chef, qui donnera architectus en latin).

    La notoriété et la légitimité des architectes se sont fondées sur le projet d’architecture. L’élaboration et le perfectionnement des outils de conception feront l’objet d’une compétition sévère entre les acteurs de la construction, toujours placés dans des conflits d’autorité où se joue leur indépendance. C’est ainsi que la tradition du dessin d’architecture qui apparaît au cours du XIXe siècle comme étant très spécifique du travail de l’architecte s’est d’abord construit dans l’univers des métiers puis au cœur des professions qui établissent leur spécificité technique, que ce soient les géomètres, les ingénieurs, les décorateurs ou les architectes.

    La mise en chantier de produits pour la plupart manufacturés, en créant les conditions de la réalisation du projet d’architecture, n’est rien d’autre qu’une construction ordonnée de l’espace, une forme d’expression de nos sociétés. Une lecture intéressée de l’histoire des formes et des idées nous préciserait certainement comment cette direction des travaux est passée des mains et du compas des charpentiers aux maîtres maçons, puis des maîtres maçons aux architectes, qui seront alors considérés comme des artistes ou des intellectuels plutôt que comme des entrepreneurs. Et ce qu’implique aujourd’hui la (dé)qualification des métiers dans la perception et la gestion de notre cadre de vie… Le travail patient, laborieux et hasardeux du projet (qu’il soit architectural ou social) exige un partage, une répartition des tâches, une coopération entre les hommes impliqués dans son élaboration.

    Pour assumer ce qu’habiter veut dire…

    [logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
    44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Tél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69

    [logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT

    CNT Construction

    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_patrimoine_2011r.jpg
    http://rebellyon.info/Journees-du-patrimoine-L.html




    [La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; fascisme et antifascisme  ; luttes ouvrières  ; police  ; répression  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : 3 Bones  ; Chuche ma gaillette  ; Miss America  ; Mr Marcaille
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants …  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (chat cerclé au dos d’un militant) ]

    texte :

    La CNT face à la répression antisyndicale

    samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille

    15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).

    18h : Apéro,

    21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)

    La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
    La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :

    RÉPRESSION PATRONALE

    À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
    intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..

    RÉPRESSION POLICIÈRE

    Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !

    AGRESSIONS FASCISTES

    Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.

    Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.

    UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62


    sources :

    Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).

    Au moins deux versions parues (couleurs, N&B). Ce tirage sur papier fort a une autre affiche au dos : « Assemblée générale de lutte, ouverte à tout-e-s ».


    2011
    Affiche liée




    [Libération immédiate ; levée des poursuites]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libération immédiate ; levée des poursuites]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (engrenages « Police, État, Prison, Capital, Justice » rendant les manifestantes en citoyen·ne·s modèles)

    texte :

    À Toulouse depuis le 15 novembre, des personnes sont toujours en prison, soupçonnées d’avoir participé à une action politique contre les prisons pour mineurs.
    La machine répressive tourne à plein pour maintenir l’ordre capitalisme, en enfermant les pauvres et les révoltéEs.
    L’État ne fait pas d’économie quand il s’agit de protéger les privilèges.« Police, État, Prison, Capital, Justice »

    Leurs matraques ne nous feront pas taire ni marcher d’un seul pas !

    info : http://pourlaliberte.noblogs.org

    Libération immédiate

    Levée des poursuites

    Imprimerie spéciale


    sources :
     



    [Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]. — Lille : Collectif contre les RFID (Lille) : Mutuelle des fraudeurs, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; 47 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; économie : transports  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (blanc au noir) : mise en page type article autour d’une image) ; dessin : personnages au dessus du crane avec code barre ]

    texte :

    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas

    Nous pucer comme du bétail : voila le dernier projet des élus de Lille Métropole. C’est prévu pour fin 2011.

    Les puces RFID sont de minuscules étiquettes électroniques qui contiennent des informations personnelles (nom, prénom, adresse, mail, photo…) et sont lisibles à distance. Bientôt, elles équiperont les cartes et les tickets de transport de toute la région : bus, métro, TER, tram, parkings, vélos « libre service »… Finis les tickets en papier, la carte à puce sera obligatoire et permettra à Transpole de contrôler et d’enregistrer tous nos déplacements.

    Le fichier des clients de Transpole sera échangé avec des enseignes commerciales « partenaires ». À partir de nos profils et habitudes de déplacements, nous serons assaillis de publicités personnalisées.

    La « liste noire » des fraudeurs sera échangée avec la SNCF et les réseaux de bus du bassin minier, Douai, Valenciennes et Dunkerque. Les contrôleurs munis de leur « Compteur de courtoisie » auront accès à l’identité des voyageurs et pourront mettre des amendes plus ou moins chères selon le nombre d’amendes déjà reçues par le porteur de la carte.

    Mais ce n’est pas tout. Pour 2012, Lille Métropole veut étendre le Pass transport pour un faire une « Carte de Vie Quotidienne ». Nous devrons biper à l’entrée des bibliothèques municipales, des cantines scolaires, des salles de sport, des cinémas locaux, des crèches… Et cette carte pourra servir de moyen de paiement.

    Nous ne sommes pas du bétail ou des numéros qu’on gère, contrôle et surveille en temps réel. Nous ne voulons pas être les proies des marchands de bonheur. Nous ne voulons pas être des éternels suspectEs. Nous voulons fuir ce contrôle total. Nous voulons rester anonymes et avoir droit à l’oubli. Nous fuirons cette course infernale qui nous oblige à être toujours plus mobiles, justes bons à consommer, vendre ou fabriquer des merdes.

    « Ce mauvais scénario de science-fiction n’est pas une fatalité. Nous le ferons trébucher. »


    sources :

    Affiche peut-être éditée par la Mutuelle des fraudeurs et un collectif Anti-RFID.





    [Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]. — Mens Menç : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (loups noirs ?, enfants avec ballons gonflables, tête de femme avec inscription JiJi [Dalida ?] sur corps d’« Alice derrière le miroir » ?, chauve-souris) ]

    texte :

    Rencontres tænia solium

    Mens (38) Bessaire

    Musiques tordues pour gens tordus

    ou pas

    ateliers & concerts

    20 mai à partir de 14 h

    Les Monstres, slam poétique pour musique de film /// Strasbourg
    Dure-mère, tango mélodieusement noisy /// Montpellier
    Lili Refrain, guitare héroie & solo de voix /// Rome
    Motto, chaos massif & destruction final /// Marseille

    21 mai à partir de 14 h

    concert pour les gosses à 17 h
    Krekekekexkoaxkoax, musique bruyante pour enfants bruyants /// (tais-toi et) Creuse

    Les Profsdeskids, Elvis Presley • Beach Boys • Dead Kennedys • [AERO ?] /// Grenoble
    Fast Arbeit Babies, disco compulsive à deux [cris ?] /// Strasbourg
    Pizza O.D., ils jouent vite, ils chantent faux, et c’est rock’and roll /// Lyon
    Scarb, la couleur du métal, le goût du punk-hardcore /// Valence

    22 mai à partir de 14 h

    Le Fond de l’Air Effraie, harcordéon fou et tambour du [bronx ?] /// Strasbourg
    Rodriguo y Rodriguo, le meilleur de la musique en acoustique /// Marseille
    Not’ pain quotidien, pour une défunte veuve et cinq [belles ?] marionnettes-spectacle /// [… ?]
    Jo et Slam, slam de [pouchev’ ?], musique de taulard /// Grenoble

    les 3 jours

    Las Vegan, le meilleur restaurant du monde midi et soir /// Grenoble
    salon de thé, avec muffies, jeux et vue sur le Vercors
    stands, distros DIY de disques et de zines
    atelier “fais ton disque toi-même”, enregistrement artisanal & fabrication artisanale de pochettes artisanales, tous les après-midis

    Où c’est ? Ça se passe au lieu-dit “Bessaire”, à Mens, 80 km au sud de Grenoble.
    Le paln sur www.taenia-solium.net ou en demandant aux gens.
    Camping ? C’est possible, avec des moustiques en option.
    Parking ? Venez en covoiturage ou en mobylette, il n’y a pas beaucoup de place pour se garer.
    Contactez-nous si vous cherchez des gens pour covoiturer.
    Autogestion ! Ces rencontres ne sont pas un évènement commercial.
    Une adhésion à l’association à prix libre (mais nécessaire) vous sera demandée.
    Qui fait ça ! Taenia Solium est une association qui organise des concerts, édite des disques et publie un fanzine. Taenia Solium privilégie les pratiques non-marchandes, fonctionne sans subventions ou salarié. Pour l’amour de la musique, on fait les choses nous-mêmes, et du mieux qu’on peut DIY !
    La SACEM ? Qu’elle crève. Vive le copyleft.

    mp3, informations, programme, covoiturage www.taenia-solium.net
    06.28.19.69.37
    [xx ?].38.[49 ?].99

    Les propos et comportements racistes, sexistes, h[aineux ?] ne sont pas les bienvenus.


    sources :
     









    [Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; insurrectionnalisme  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Algérie  ; Égypte  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Cette semaine (ca2000-....)  ; Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]

    texte :

    Quelle liberté ?

    Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.

    En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...

    Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?

    Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.

    Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.

    Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.

    Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.

    Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.

    Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.

    Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.

    Pour un monde sans maîtres ni esclaves

    Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !


    sources :
     

    2011
    Affiche liée







    [Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence]. — Lyon : CNT_F (France) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Caboud, Gilbert Vincent
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (poing levé avec crayon, au dessus de la photo de la couverture du livre) ]

    texte :

    Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence

    Samedi 26 novembre 2011 à 16 h

    au local CNT, 44 rue Burdeau, 69001 Lyon, suivi d’un pot de l’amitié

    Parce que notre classe a une culture, notre syndicat entend bien l’entretenir et la propager. La littérature prolétarienne est un pan de notre culture de classe. Nous avons souhaité organiser cette rencontre avec Gilbert Vincent Caboud autour du livre « L’anomalie ou les mémoires du silence » pour aborder ce thème de la culture de classe mais aussi ceux de son livre :

    Eric, l’homme que l’on suit tout au long de l’histoire, se réveille un jour et se découvre en tant qu’individu au milieu de cette masse de gens (dont il faisait partie) absorbés par le train-train quotidien et la société de consommation. Il réalise la futilité de sa vie et de cette société.

    Ce n’est pas un cheminement philosophique mais un enchaînement d’événements qui l’amène là. On y retrouve le lien à la nature, à la construction (réalisation de soi à travers une production), au travail mais aussi au père, à la famille et à l’amitié. Eric est habité par une force qui va lui faire remettre en cause tout ce qu’il est. Il veut devenir un homme libre ! La transformation totale aboutira avec la prise de position politique au sens large, quand il prendra sa carte syndicale dit-il. Ainsi l’homme libre qu’il aspire à devenir ne sera vraiment libre que lorsqu’il trouvera sa place dans la société des hommes libres, dans le collectif, dans la démocratie. Lorsqu’il s’engagera pour les autres !

    Retour à la Terre. Eric retrouve aussi sa place d’être humain sur terre. Il cherche à retrouver des racines et à s’ancrer dans l’histoire des hommes, du Monde et de la nature.

    Quand il approche le syndicat la crise de 2008 arrive et avec elle la peur du lendemain mais son remède se dessine : la solidarité ouvrière et la force collective. Ses camarades et lui vont réinventer le syndicalisme révolutionnaire en construisant les outils de lutte syndicale dont ils ont besoin pour s’opposer aux ravages de la crise financière et à l’oppression des patrons. Ces syndicalistes vont créer un lieu de vie retranché, assurant l’autarcie alimentaire et permettant de créer une base arrière à toutes les luttes du coin ; Ils vivront une expérience de vie collective basée sur d’autres valeurs que celle de notre société absurde.

    [logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
    44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Tél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69

    [logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT

    CNT Construction

    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_Caboud_r_blog.jpg
    http://rebellyon.info/Rencontre-avec-Gilbert-Vincent.html






    [Solidarität mit Sonja und Christian]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarität mit Sonja und Christian]. — Berlin : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , texte en défonce ) ; [84 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Feiling, Hermann  ; Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc) ; photo (enfants franchissant une clôture) ]

    texte :

    Solidarität mit Sonja und Christian

    Am Mittwoch, den 14. September 2011 wurden Sonja Suder und Christian Gauger von Frankreich an den deutschen Staat ausgeliefert. Ihnen wird die Mitgliedschaft in den Revolutionären Zellen (RZ) und die Beteiligung an mehreren Aktionen vorgeworfen. Momentan befindet sich beide im Knast in Frankfurt.

    Im Jahr 978 bemerkten die beiden, dass sie observiert wurden, daraufhin entschieden sie sich unterzutauchen. Seitdem lebten sie mit einer anderen Identität in Frankreich. Aufgeflogen sind sie im Jahr 2000, wurden festgenommen und saßen für mehrere Monate in französischen Knästen, aber die Gerichte entschieden, dass die ihnen vorgeworfenen Aktionen verjährt sind. Seitdem lebten sie geduldet in Paris. 2007 stellt die Staatsanwaltschaft Frankfurt einen europäischen Haftbefehl gegen die beiden aus, 2009 entscheidet ein französischen Gericht, dass die beiden ausgeliefert werden.

    Vorgeworfen wird ihnen die Beteiligung an zwei Anschlägen im August 1977 auf MAN in Nürnberg und Klein, Schanzlin & Becker AG in Frankenthal. Beide Konzerne sind verstrickt im “imperialistischen Atomgeschäft”, die einen in der “Herstellung südafrikanischer Atombomben”, die anderen spielen “eine wesentliche Rolle des Zulieferns für Kernkraftwerke in aller Welt”. Außerdem sollen sie an einen Brandanschlag auf das Heidelberger Schloss am 18. Mai 1978 beteiligt gewesen sein. Diese Aktion richtete sich gegen den Stadtumbau und die Kaputtsanierung von Heidelberg.

    Die Vorwürfe der Beteiligung an den Aktionen rührt von unter Folter erpressten Aussagen her. 1978 explodierte im Schoss von Hermann Feiling eine Bombe, die für das argentinische Konsulat in München bestimmt war. Hermann verlor seine Beine und das Augenlicht, im Krankenhaus wurde er wochenlang unter dem Einfluss von Schmerzmitteln und Psychopharmaka von den gewissenlosen Bütteln des Staates ausgefragt. Durch eine Aussage des Kronzeugen Hans-Joachim Klein wird Sonja außerdem der Beteiligung an den Vorbereitungen für den Überfall auf die OPEC-Konferenz in Wien im Dezember 1975 beschuldigt.

    Eine immer wiederkehrende Geschichte, die deutschen Strafverfolgungsbehörden versuchen selbst nach über 30 Jahren Schuldige für notwendige direkte, militante Interventionen zu finden. Dazu lehnten Sonja und Christian das Angebot eines Deals mit der Staatsanwaltschaft ab und zeigten damit, dass für sie eine Kooperation mit dem Staat und seinen willigen HelferInnen nicht zur Debatte steht. Bewusst haben sie sich entschieden sich nicht dem deutschen Staat zu stellen und über ihre Geschichte und die Vergangenheit auszupacken, lieber haben sie das unsichere und unruhige Leben mit einer anderen Identität gewählt.

    Auf dass unsere Leidenschaft für die Freiheit die Mauern zum Einsturz bringt !

    Anarchistische Gruppen

    Solidarität ist ein Waffe !
    Schriebt den Gefangenen

    Christian Gauger
    JVA Frankfurt I
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    Sonja Suder
    JVA Frankfurt III
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    www.verdammtlangquer.org


    traduction :

    Solidarité avec Sonja et Christian

    Mercredi 14 septembre 2011, Sonja Suder et Chritian Gauger étaient livrés depuis la France à l’État allemand. Il leur est reproché l’affiliation aux Cellules Révolutionnaires (RZ : Revolutionären Zellen) et la participation à plusieurs actions. En ce moment, les deux se trouvent encore dans la taule de Francfort [Ndt. Christian a été libéré pour raisons médicales depuis].

    En 1978, ils ont remarqué qu’ils étaient observés, et ont décidé après ça de se cacher. Depuis ce moment-là ils vivaient en France sous une autre identité. Ils ont été découverts en 2000, ont été arrêtés et sont restés plusieurs mois dans des taules françaises, mais les juges ont décidé que les actions qui leur étaient reprochées étaient prescrites. Depuis ce temps-là, ils vivaient tolérés à Paris. En 2007, le ministère public de Francfort dépose un mandat d’arrêt européen contre eux, en 2009 un juge français décide qu’ils seront livrés.

    Il leur est reproché la participation à deux attaques en août 1977 sur MAN à Nuremberg, et sur Klein, Schanzlin & Becker AG à Frankenthal. Les deux consortiums sont mêlés au « marché nucléaire impérialiste », qui se traduit pour l’un dans « la fabrication de bombes atomiques sud-africaines » et pour l’autre dans le fait de jouer « un rôle majeur dans la sous-traitance pour les centrales nucléaires dans le monde entier ».

    De plus, ils sont associés à un attentat incendiaire sur le château d’Heidelberg le 18 mai 1978. Cette action était dirigée contre la reconstruction de la ville et l’assainissement d’Heidelberg.

    Les accusations de participation à ces actions proviennent de dénonciations extorquées sous la torture. En 1978 explosait dans le giron d’Hermann Feiling une bombe qui était destinée au consulat argentin à Munich. Hermann perdait ses jambes et la vue, à l’hôpital il était questionné pendant des semaines entières sous l’influence de la torture et de substances psychotropes des assistantes obéissantes de l’État. Sonja est accusée, de plus, sur dénonciation du principal témoin Hans-Joachim Klein, de participation aux préparatifs de l’attaque contre la conférence de l’OPEP à Vienne en décembre 1975.

    Une histoire qui se répète toujours, les tribunaux allemands essaient de trouver, même plus de 30 ans après, les coupables de ces interventions directes et militantes.
    De plus Sonja et Christian refusaient l’offre d’un accord avec le ministère public et indiquaient que pour eux, une coopération avec l’État et ses aides de bonne volonté ne pouvait être débattue. Ils ont décidé consciemment de ne pas se donner à l’État allemand et de ne pas déballer leur histoire et le passé, mais ont préféré une vie dangereuse et angoissante sous une autre identité.

    Que notre passion pour la liberté détruise les murs !

    Des groupes anarchistes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Solidarite-avec-Sonja-et-Christian « Affiche trouvée sur les murs de Berlin, octobre 2011, traduite de l’allemand par nos soins depuis ABC-Berlin » (4 novembre 2011) ; et sur http://www.abc-berlin.net/poster-solidaritaet-mit-sonja-und-christian (23 octobre 2011)


    2012
    Affiche liée







    [¡Viva México ! : projection-rencontre avec le réalisateur]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    ¡Viva México ! : projection-rencontre avec le réalisateur]. — Lille : la Digne rage : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , gris ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : photographie  ; art : vidéo  ; luttes rurales et paysannes
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  : Défossé, Nicolas
    • Presse citée  : Radio Campus Lille
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ textes ; photos du film ]

    texte :

    ¡Viva México !

    Un film de Nicolas Défossé, www.vivamexicofilm.com

    Dans un voyage des montagnes du sud-est mexicain jusqu’à la frontière nord avec les États-Unis, le sous-commandant Marcos et le peuple du Mexique dessinent le visage oublié d’un pays. Une célébration de la lutte pour la terre et la dignité.

    Projection-rencontre avec le réalisateur

    Sam. 15/10/2011 — 18 h 00

    +

    Expo-diaporama La Otra mirada, images de la lutte mexicaine, petite restauration, café zapatiste et bas associatif

    [logo :] Cinéma L’Univers — 16 rue Georges Danton, 59000 Kikke-Moulins, bus C1 ou C2, arrêt Cambrai, métro Porte de Valenciennes

    Interview et édition spéciales de l’émossion « Torre latino », vend. 14/10/2011 à 19 h 00 sur Radio Campus, 106.6 FM et www.campus-lille.com

    [logo] TNF Terra Nostra Films [logo] La otra mirada — Soirée organisée par la Digne Rage de Lille avec le cinéma L’Univers et le soutien de GDALE

    info : 06.38.78.40.58 http://collectif-digne-rage.blogspot.com/

    Entrée à prix libre


    sources :

    Cette affiche ne fut finalement pas imprimée, faute d’argent et ne paru que sur Internet « à imprimer ».



    [Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (n&b) ]

    texte :

    Επειδή δε γεννηθήκαμε χθες, αλλά έχουμε μνήμη, επειδή φτύνουμε κατάμουτρα την προπαγάνδα των καθεστωτικών media…
    Επειδή κι εμείς, είτε γεννηθήκαμε εδώ είτε όχι, ζούμε και περπατάμε σ’ αυτούς εδώ τους δρόμους, γνωρίζουμε πάρα πολύ καλά πως :

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΔΟΛΟΦΟΝΟΥΝ
    –μαζικά κιόλας– στο Αφγανιστάν, στη Σομαλία και όπου αλλού πατάει η μπότα του ελληνικού στρατού, όπως δολοφονούσε χθες στη Σρεμπρένιτσα και θα συνεχίσει να δολοφονεί όπου υπάρχει ανάγκη να προστατευτούν τα « εθνικά οικονομικά συμφέροντα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΒΙΑΖΟΥΝ
    κορίτσια και αγόρια από την Αφρική, την ανατολική Ευρώπη και από παντού, χρόνια τώρα στα μπουρδέλα της πρωτεύουσας και στα κωλόμπαρα της επαρχίας, στα αστυνομικά τμήματα των γειτονιών μας. Άλλη μια απτή απόδειξη της παραδοσιακής τους λεβεντιάς-παλικαριάς, ενισχυμένης απ’ τη –δανεική– συνθήκη του οικονομικά « ισχυρού Έλληνα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΛΗΣΤΕΥΟΥΝ
    Έλληνες τραπεζίτες, εφοπλιστές, αφεντικάνοι, επιχειρηματίες μεσαίου και μεγάλου βεληνεκούς, αρχιμανδρίτες και πολιτικοί, τίμιοι δικαστές και αδιάφθοροι αστυνομικοί. Στην Ελλάδα, στα Βαλκάνια και όπου αλλού επεκτείνουν τις βρόμικες μπίζνες τους…

    Η ΕΘΝΙΚΗ ΕΝΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ ΜΙΑ ΑΠΑΤΗ
    που θέλει να δίνει την ψευδαίσθηση σ’ εμάς τους « από τα κάτω » ότι έχουμε κοινά συμφέροντα μ’ αυτούς που ληστεύουν τις τσέπες μας, βιάζουν την προσωπικότητά μας, μ’ αυτούς που θέλουν να μας ξεζουμίσουν πριν μας δολοφονήσουν σ’ ένα κάτεργο, μια φυλακή, ένα τρελάδικο.

    Η ΑΝΤΙΣΤΑΣΗ ΜΑΣ ΟΧΙ ΑΠΛΑ ΔΕΝ ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΟΡΓΑΝΩΝΕΤΑΙ ΠΑΝΩ ΣΤΗ ΒΑΣΗ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ

    ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΤΗΝ ΤΣΑΚΙΣΕΙ

    ΟΜΑΔΕΣ ΑΝΤΙΠΛΗΡΟΦΟΡΗΣΗΣ ΕΝΑΝΤΙΑ ΣΕ ΘΙΑΣΩΤΕΣ ΤΗΣ ΠΑΤΡΙΔΑΣ ΚΑΙ ΑΠΟΛΟΓΗΤΕΣ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ


    traduction :

    « Briser l’unité nationale... »

    Puisque nous ne sommes pas né(e)s hier mais que nous gardons la mémoire du passé, puisque nous crachons sur la propagande des médias corporatifs...

    Né(e)s ici ou pas, nous vivons et marchons aussi dans ces rues, nous savons donc très bien que :

    LES GRECS AUSSI, ASSASSINENT
    (massivement) en Afghanistan, en Somalie et partout ailleurs où les bottes de l’armée grecque pénètrent, comme elle a massacré à Srebrenica dans le passé récent, et comme elle continuera à tuer des gens partout où la protection des « intérêts économiques nationaux » le demande.

    LES GRECS AUSSI, VIOLENT
    Les filles et des garçons d’Afrique, d’Europe de l’Est et de partout, depuis des années, dans les bordels de la capitale et dans les bars louches en province, à l’intérieur des postes de police de notre voisinage. Une autre preuve tangible de leur imposture corpulente traditionnelle, accrue par leur condition (empruntée) de « Grec économiquement puissant ».

    LES GRECS AUSSI, VOLENT
    Les banquiers, propriétaires de bateau, patrons, hommes d’affaires, archimandrites de l’église, politiciens, juges honnêtes et policiers incorruptibles de Grèce ; en Grèce, dans les Balkans et partout où ils étendent leurs affaires répugnantes...

    L’UNITÉ NATIONALE, C’EST UNE ARNAQUE
    dont l’objectif est de créer l’illusion pour nous « d’en bas » que nous aurions des intérêts communs avec ceux qui nous volent, violent notre personnalité, avec ceux qui veulent tout presser hors de nous avant de nous exterminer dans une galère, une prison, une maison de fous.

    NOUS NE DEVRIONS PAS SEULEMENT REFUSER D’ORGANISER NOTRE RÉSISTANCE SUR LA BASE DE L’UNITÉ NATIONALE

    NOUS DEVRIONS LA DÉTRUIRE

    Groupes de contre-information contre les adeptes de la patrie et les apologistes de l’unité nationale


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Ελλάδα-Αφίσα (5 septembre 2011).



    [Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι] / Théophile Alexandre Steinlen. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Economou [Μαρίας Οικονόμου], Maria  ; Kossiva [Αλέξανδρου Κόσσυβα], Alexander  ; Polikreti [Βένο Πολυκρέτη], Vénus  ; Traikaii [Μιχάλη Τράïκάηη], Michael
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de procès) par Steinlen ? ]

    texte :

    Στις 17 Σεπτεμβρίου 2010, σε τυχαίο έλεγχο στην περιοχή του Πανοράματος Ευβοίας, εξακριβώνονται τα στοιχεία των αναρχικών Μιχάλη Τράïκάηη, Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Οι μπάτσοι τους προσάγουν και λίγο αργότερα τους γνωστοποιούν ότι κατηγορούνται για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζας Ψαχνών, δίχως να υπάρχει κανένα επιβαρυντικό στοιχείο που να τους συνδέει. Στις 31 Ιουλιου 2011 μια ακόμα μεθόδευση ενεργείται ει βάρος των αναρχικών συντρόφων Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Βρίσκονται κατηγορούμενοι βάσει της κα-τάθεσηs ενός ιμευδομάρτυρα για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζα στις 29 Μάρτη 2010 στο Σχηματάρι.

    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι

    Στην ιστορική συγκυρία που τα αφεντικά έχουν κηρύξει μια πρωτοφανή σε ένταση επίθεση στα φτωχότερα κομμάτια της κοινωνίας, αθώοι για το σύστημα είναι μόνο όσοι αποδέχονται παθητικά την εκμετάλλευση, όσοι κερδοφορούν από τι πλατιές μάζες των ανά τον κόσμο προλετάριων, τα τάγματα ασφαλείας που με το δάχτυλο στη σκανδάλη είναι έτοιμα να δολοφονήσουν απεργούς, διαδηλωτές, εξεγερμένους...

    Παραμένουμε συνειδητά ένοχοι, ενισχύοντας την εμπροσθοφυλακή της αντίστασης, προωθώντας την κοινωνική ανταρσία

    Απαιτούμε την άμεση απελευθέρωση των αναρχικών
    Μιχάλη Τράïκάηη και Αλέξανδρου Κόσσυβα

    Καμία δίωξη στους αναρχικούς : Μαρία Οικονόμου και Βένο Πολυκρέτη

    Συγκέντρωση :
    δικαστήρια Χαλκίδας 18 Οκτώβρη 2011, 9.00 π.μ.

    Αναρχικοί σύντροφοι-ισσες


    sources :

    octobre 2011.