noir

 

 
 

Affichage par année

3610 affiches :

 








    [Service national]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Service national] / Granger. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (quatre ou plus  : rouge , noir , bleu , jaune , papier blanc ) ; 89 × 63 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    (env. 1977-1979) sérigraphie couleurs

    [ soldat avec masque qui reçoit, d’un officier une injection avec une seringue contenant le drapeau français, et texte ]

    texte :

    Service national

    Dessin d’après Granger

    Atelier des Clots


    sources :
     

    [ca  1978]
    Affiche liée






    [Solidarietà agli ospedalieri]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà agli ospedalieri]. — Carrara Carrare : Circolo anarchico B. Filippi : Circolo culturale anarchico (Carrara) : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : FAI_. Gruppo anarchico Gino Lucetti (Avenza) : FAI_. Gruppo Errico Malatesta : Gruppo anarchico Germinal (Carrara), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    FAI - Gruppo Germinal
    Circolo culturale anarchico
    Circolo anarchico B. Filippi
    FAI - Gruppo E. Malatesta
    FAI - Gruppo G. Lucetti

    Solidarietà agli ospedalieri

    Gli anarchici chiamano la cittadinanza a dare solidarietà alla lotta degli ospedalieri e ad essere comprensivi dei difficile momento che stanno attraversando per potere garantire il minimo di assistenza.

    La società attuale, quella dell’alienazione, di inquinamento, del capitalismo e dello stato è la fabbrica delle malattie. Queste per essere curate necessitano di strutture ospedaliere di sempre maggiori dimensioni che però non curano le cause delle malattie ma solo gli effetti.

    Inoltre all’interno degli stessi ospedali si riproducono le ingiustizie e le sperequazioni che infestano la vita di tutti (vedi il trattamento agli ausiliari : quasi sempre chiamati a svolgere mansioni superiori senza essere adeguatamente retribuiti)/

    Prendiamo spunto dalla lotta degli ospedalieri per incoraggiarli a proseguire sulla strada intrapresa, finalmente con l’azione diretta e non delegando artificiosi vertici sindacali e sollecitiamo gli altri lavoratori a seguirne l’esempio e capire che la emancipazione dallo sfruttamento può soltanto essere opera dei lavorati stessi.

    Carrara, 21. 10. 1978

    […]


    sources :
     



    [The Paris Commune… the defence of Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The Paris Commune… the defence of Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 44 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (portrait de Louise Michel) ]

    texte :

    The Paris Commune… the defence of Louise Michel

    I do not wish to defend myself, I do not wish to he defended. I belong completely to the social revolution, and I declare that I accept complete responsibility t.r all my actions. I accept it completely and without reservations.

    You accuse me of having taken part in the ’corder of the generals ? To that I would reply Yes, if I had been in Montmartre when they wished to have the people fired on. I would not have hesitated to fire myself on those who gave such orders. But I do not understand why they were shot when they were prisoners. and I look on this action as arrant cowardice.

    As for the burning of Paris, yes, I took part in it. I wished to oppose the invader from Versailles with a barrier of flames. I had no accomplices in this action. I acted on my own initiative.

    I am told that I am an accomplice of the Commune. Certainly, yes, since the Commune wanted more than anything else the social revolution, and since the social revolution is the dearest of my desires. More than that, I have the honour of being one of the instigators of the Commune, which by the way had nothing—nothing, as is well known—to do with murders and arson.

    I who was present at all the sittings at the Town Hall, I declare that there was never any question of murder or arson. Do you want to know who are really guilty ? It is the politicians. And perhaps later light will be brought on to all these events wich today it is found quite natural to blame on all partisans of the social revolution. . . .

    But why should I defend myself ? I have already declared that I refuse to do so. ’ton are men who are going to judge me. You sit before me unmasked. You are men and I am only a woman, and yet I look you in the eye. I know quite well that everything I could say will not make the least difference to your sentence. So a single last word before I sit down. We never wanted anything but the triumph of the great principles of the revolution. I swear it my our martyrs who fell at Satory, by our martyrs whom I acclaim loudly, and who will one day have their revenge.

    Once more I belong to you. Do with me what you please. Take my life if you wish. I am not the woman to argue with you for a moment. . . .

    What I claim from you, you who call yourselves a Council of War, who sit as my judges. who do not disguise yourselves as a Commission of Pardons, you who are military men and deliver your judgement in the sight of all, is Satory where our brothers have already fallen.

    I must be cut off from society. You have been told to do so. Well, the Commissioner of the Republic is right. Since it seems that any heart which beats for freedom has the right only to a lump of lead. I too claim my share. If you let me live, I shall never stop crying for revenge, and I shall avenge ms brother, by denouncing the murderers in the Commission for Pardons. . . .

    I have finished. If you are not cowards, kill me !


    sources :

    Publié entre 1970 et 1978.

    Deux formats : 44 × 62 cm et 30 × 46 cm.


    [ 1977 ?]

    [ca  1987]

    1980

    1980

    1983
    Affiches liées




















    [Aux prolétaires]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux prolétaires]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Aux prolétaires

    Oh ! Ce sont là de grands coupables et entre tous les plus coupables, ceux en qui le peuple trompé par des phrases de tribun, voyait son épée et son bouclier ; ceux qu’il proclamait avec enthousiasme, arbitres de son avenir.

    Malheur à nous, si, au jour du prochain triomphe, l’indulgence oublieuse des masses laissait monter au pouvoir un de ces hommes qui ont forfait à leur mandat ! Une seconde fois, c’en serait fait de la Révolution.

    Que les travailleurs aient sans cesse devant les yeux, cette liste de noms maudits ! et si un seul apparaissait jamais dans un gouvernement sorti de l’insurrection, qu’ils crient tous, d’une voix : Trahison !

    Discours, sermons, programmes ne seraient encore que piperie et mensonge ; les mêmes jongleurs ne reviendraient que pour exécuter le même tour, avec la même gibecière ; ils formeraient le premier anneau d’une chaîne nouvelle de réaction plus furieuse !

    Sur eux, anathème, s’ils osaient jamais reparaître !

    Honte et pitié sur la foule imbécile qui retomberait encore dans leurs filets.

    Ce n’est pas assez que les escamoteurs de février [1848] soient à jamais repoussés de l’Hôtel-de-Ville, il faut se prémunir contre de nouveaux traîtres.

    Traîtres seraient les gouvernements qui, élevés sur les pavois prolétaires, ne feraient pas opérer à l’instant même :
    1° Le désarmement des gardes bourgeoises ;
    2° L’armement et l’organisation en milice nationale de tous les ouvriers.

    Sans doute, il est bien d’autres mesures indispensables, mais elles sortiraient naturellement de ce premier acte qui est la garantie préalable, l’unique gage de sécurité pour le Peuple.

    Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la Bourgeoisie. Hors de là, point de salut.

    Les doctrines diverses qui se disputent aujourd’hui les sympathies des masses, pourront un jour réaliser leurs promesses d’amélioration et de bien-être, mais à la condition de ne pas abandonner la proie pour l’ombre.

    Les armes et l’organisation, voilà l’élément décisif du progrès, le moyen sérieux d’en finir avec la misère.

    Qui a du fer, a du pain.

    On se prosterne devant les baïonnettes, on balaye les cohues désarmées. La France, hérissée de travailleurs en armes, c’est l’avènement du socialisme. En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra.

    Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d’arbres de liberté, par des phrases sonores d’avocat, il y aura de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours. Que le peuple choisisse !

    (Blanqui, Toast de Londres, 1851)

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?













    [CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT]. — [S.l.] : CNT_ (España), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 47 × 67 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Libreria Anomalia (Roma)  ; UAB (Universitat autònoma de Barcelona)
    • Liste des thèmes  : syndicalisme : anarchosyndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT

    texte :

    CNT

    Plataforma reivindicativa

    1o. — Amnistía laboral. Reconocimiento de los sindicatos en las empresas. Libertad de asociació, : de expresión u de asambleas en el centro de trabajo.
    2o. — Derecho a la huelga sin restricciones.
    3o. — Supresión del despido libre.
    4o. — Reducción de la jornada laboral a 35 horas semanales, con 48 horas de descanso continuo.
    5o. — Jubilación obligatoria a los 60 años con el 100 por ciento del salario real y voluntaria a los 55 años con el 80 por ciento del salario real. Revisión del mismo cada 4 meses.
    6o. — Supresión inmediata de las horas extras, destajos, prestamismo, pluriempleo, trabajo eventual y ritmos de producción. Cese inmediato de todos los que recibían pensiones de retirados.
    7o. — 30 días de vacaciones ininterrumpidos.
    8o. — Contra los expedientes de crisis, control obrero.
    9o. — 35.000 Ptas. netas de salario mensual y 3 pagas extras al 100 por ciento del salario real. Revisión salarial cada 4 meses. Aprendices : 16-17 años, 70 por ciento del salario sobre la categoría superior.
    10o. — En caso de enfermedad, accidente o viuedad, 100 por ciento salario real revisable según convenio.
    11o. — Ayuda escolar y lactancia : 12.000 Ptas. por hijo al año.
    12o. — Mujer : a igual trabajo, igual salario, e igual categoría.
    13o. — Servicio militar : 50 por ciento salario real durante el tiempo de servicio para los soldados y 100 por ciento del mismo para los casados, a cargo de la empresa.

    [photo de manifestation :]

    La lucha por nuestras reivindicaciones tienen una referencia

    El convenio provincial del metal

    Acude a CNT

    [?] tan solo te ofrece un lugar para luchar por tus reivindicaciones

    Sindicato de Metalurgia


    sources :
     

    [ 1979 ?]

    [ 1979 ?]
    Affiches liées




    [Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne

    Si les auteurs socialistes attribuent au prolétariat ce rôle historique, ce n’est pas du tout, comme la Critique critique affecte de le croire, parce qu’ils considèrent les prolétaires comme des dieux. C’est plutôt l’inverse. Dans le prolétariat pleinement développé se trouve pratiquement achevée l’abstraction de toute humanité, même de l’apparence d’humanité ; dans les conditions de vie du prolétariat se trouvent condensées toutes les conditions de vie de la société actuelle dans ce qu’elles peuvent avoir de plus inhumain. Dans le prolétariat, l’homme s’est en effet perdu lui-même, mais il a acquis en même temps la conscience théorique de cette perte ; de plus, la misère qu’il ne peut plus éviter ni farder, la misère qui s’impose à lui inéluctablement — expression pratique de la nécessité —, le contraint directement à se révolter contre pareille inhumanité ; c’est pourquoi le prolétariat peut, et doit nécessairement, se libérer lui-même. Or il ne peut se libérer lui-même sans abolir ses propres conditions de vie. Il ne peut abolir ses propres conditions de vie sans abolir toutes les conditions de vie inhumaines de la société actuelle, que résume sa propre situation. Ce n’est pas en vain qu’il passe par la rude, mais fortifiante école du travail. Il ne s’agit pas de savoir quel but tel ou tel prolétaire, ou même le prolétariat tout entier, se représente momentanément. Il s’agit de savoir ce que le prolétariat est et ce qu’il sera obligé historiquement de faire, conformément à cet être. Son but et son action historique lui sont tracés, de manière tangible et irrévocable, dans sa propre situation, comme dans toute l’organisation de la société bourgeoise actuelle.

    (Marx, La Sainte Famille, 1845 )

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?