Paris

 

 
 

Affichage par année

2046 affiches :

 


    [Les paysans montent à Paris]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les paysans montent à Paris] / Claude Baillon. — Paris : Comités Larzac : Survivre et vivre : UPF_ (Union pacifiste de France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier brun ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : luttes rurales et paysannes
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (texte « LARZAC » formé par des fourches où s’empale un char d’assaut) ]

    texte :

    contre l’extension du camp militaire du Larzac

    Les paysans montent à Paris

    soutenons-les

    Comités Larzac — CFDT-Union régionale parisienne — CGT-Union régionale parisienne — FEN : SNI, SNES, SNS-SUO… — Fédération de Paris du PCF — Fédération de Paris du PS — Mouvement réformateur (CENT, DEM, RAD.) — Parti socialiste unifié — Radicaux de gauche — Ligue des droits de l’homme — Action catholique universitaire — Action non violente — Action paysanne spirituelle — Amis de la terre — Association Orsay nature — Comité d’action breton — Comité de défense des appelés — Comité IA “Le Larzac pour tous” — C ;SOC — CNA populaires familiales — CN famille rurale — Fédé. des groupes Témoignage chrétien — Étude et défense environ. val. Chevreuse — Jeunesse étudiante chrétienne — Lutte occitane — Maisons paysannes de France — Mouvement d’action judiciaire — Mouvement chrétien pour la pais — Mouvement du christianisme social — MIR — MDPL (MCAA) — Mouvement pour la paix (comité parisien) — Nature et progrès — Objectif socialiste — SCI — Survivre et vivre — UN associations pour cadre de vie — Union pacifiste de France — La Vie nouvelle.

    Rassemblement à Châtillon-sous-Bagneux

    1/ Autobus spéciaux à partir de la Porte d’Orléans.
    2/ ligne de Sceaux, station Fontenay-aux-Roses.
    3 / Autobus 195, à partir de la Porte de Châtillon.

    Samedi 13 janvier, à 15 h

    Carrefour, avenue de Verdun • rue Pierre-Brossolette

    Maquette Atelier Visconti


    sources :
     
















    [Contre le camp de Canjuers, 13-14 juillet]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le camp de Canjuers, 13-14 juillet]. — Paris : Comité antimilitariste (CAM_), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Contre le camp militaire de Canjuers

    (près de Draguignan)

    les 16 et 14 juillet

    avec
    • Chansons : Kirjuhel, Beltram, Mans de Breizh, Daumas, Brigitte Fontaine, Areski

    • Musique : François Tusques et le collectif « Le Temps des cerises », Zéro de Conduite, Ligeia, Le Coucou, Les Blaguebolle (ex Stromboli), Moby Dick

    • Théâtre : collectif théâtral « La Commune » de Dario Fo, Troupe Z, Théâtre de L’Olivier, Théâtre de Trasibule, etc.

    avec la participation de paysans du Larzac, de travailleurs de Lip, des Banques, etc.

    Soutenu par : Comité AntiMilitariste , Comité de soutien à la lutte révolutionnaire du peuple chilien, Front des mouvements des travailleurs immigrés, Antinorm, CSOC, MDPL (Toulon), Collectif pour un front culturel révolutionnaire

    Politique hebdo, Lutte occitane, Révolution, Révolution Afrique, AMR

    Pour tous renseignements, téléphoner à 742.06.58 à Paris

    Supplément à Révolution ! nº 61 — Imp. SIM


    sources :
     

    1974
    Affiche liée







    [Gardes fous]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gardes fous]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : presse  ; psychiatrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (3 dessins grandissants d’un homme entravé dans une camisole)

    texte :

    gardes fous

    Cette revue est le résultat de la rencontre de militants, organisés ou non, qui, tout en se réclamant de courants politiques apparemment différents, manifestent tous par l’action, par la pratique quotidienne, par l’écriture, que la lutte en psychiatrie n’est qu’un des aspects d’une lutte plus générale contre l’oppression exercée par l’État capitaliste, par l’État de classe, par l’idéologie dominante.

    Il apparaît de plus en plus évident que la psychiatrie, née de l’ordre asilaire et contemporaine du colonialisme, a constitué et constitue
    — une des plus grandes supercheries
    — une des plus redoutables inventions de la bourgeoisie et de la société de classes,
    — une des plus odieuses machinations de l’homme contre l’homme.
    — une histoire faite d’escroqueries, de men songes, d’hypocrites, de fausses vérités et d’alibis scientifiques.

    L’appareil psychiatrique a son destin lié à l’ordre capitaliste : il disparaîtra avec lui.

    Cerre revue sera :

    Un instrument de dénonciation de la psychiatrie comme institution de classe.
    Pourquoi ?

    La remise en cause et l’éclatement de la psychiatrie ne proviennent pas d’une crise propre à celle-ci, mais du développement de la lutte des classes.

    Ordre moral et ordre social sont inscrits dans l’idéologie médicale : secret du savoir, hiérarchie du pouvoir, technocratie de la pratique, réadaptation comme finalité.

    La psychiatrie accroît encore son pouvoir par l’utilisation de la psychanalyse. Ainsi renforcée elle prétend désormais apporter des solutions à la crise d’autres institutions telle que la Famille, l’École, la Prison…

    Un instrument d’élaboration et de réflexion.
    Pourquoi ?

    Être fou ne pose pas de problèmes au niveau du technique, mais du politique : au niveau des formes de la famille, de l’éducation, du travail ; au niveau des formes de la sexualité ; au niveau du racisme, etc.

    La folie demande de trouver une autre approche, d’autres solutions que la psychiatrie, en liaison avec la transformation révolutionnaire de la société.

    Un instrument d’information et de coordiantion des multiples batailles dispersées.
    Pourquoi ?

    Le cloisonnement et la division sont les meilleures armes du capitalisme.

    Il faut dénoncer la soumission aux bhiérarchies administratives et médicales qui nous divisent. Il faut rompre la loi du silence imposée par les maffias asilaires, technocratiques et bureaucratiques, qui nous isolent.

    Un instrument de lutte où pourront être abordées les multiples contradictions du champ psychiatrique.
    Pourquoi ?

    C’est ici que se cristallisent les plus fortement les contradictions de classe et les illusions réformistes. C’est ici que l’aliénation de l’homme par l’homme est la plus évidente.

    C’est ici que se réfléchissent les multiples modes de relations entre l’individu et la société.

    C’est ici que la catégorie du désir interroge le mouvement révolutionnaire.

    C’est ici que liberté et folie s’accouplent et se menacent.

    Tout ceci restant à élaborer et à reformuler.

    Un instrument d’impulsion des nouvelles batailles liées à la radicalisation du milieu.
    Pourquoi ?

    Une avant-garde doit se dégager, où les psychiatrisés devront unir leur libération à celle de tous les exclus. Cette lutte est inséparable de tous les combats anti-autoritaires et anti-capitalistes. Elle ne peut être organisée que grâce à l’émergence d’une avant-garde radicalisée parmi les travailleurs de la Senté Mentale et plus particulièrement parmi les infirmiers. Garde Fous n’appelle pas à une critique mais à une rupture et à un renversement de l’ordre existant.

    L’appareil psychiatrique a son destin lié à l’ordre capitaliste : il disparaîtra avec lui.

    Gardes fous
    Cinq numéros par an
    Abonnement annuel : 20 francs
    Prix du numéro : 4 francs

    1, rue des Fossés-Saint-Jacques
    75005 Paris


    sources :

    Revue Gardes fous, ISSN 0339-6673 : nº 1 (févr.-mars 1974)-nº 11-12 (1978)
    http://ark.bnf.fr/ark:/12148/cb34377931b Gardes-fous pour la BnF
    https://lacriee51.blogspot.com/p/garde-fou.html (numérisés)















    [1er Mai 1977 : une idée paralyse pendant 25 minutes 500 bureaucrates et 1000.000 connards]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    1er Mai 1977 : une idée paralyse pendant 25 minutes 500 bureaucrates et 1000.000 connards]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 46 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : gauchisme  ; Premier Mai
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (manifestation di Premier Mai à paris, avec banderole « Fête de l’aliénation » en surplomb de le rue)

    texte :

    Paris 16 h 05

    1er Mai 1977. Une idée paralyse pendant 25 minutes 500 bureaucrates et 1000.000 connards.

    La police syndicale est une fois de plus mise en échec par la vérité. Alors que le sinistre convoi s’acheminait comme chaque année depuis 40 ans vers son morne destin et que les cappo maffiosi se trouvaient à la hauteur de l’hôtel Sully, rue saint Antoine, une bannière de 15 mètres, grâce à un ingénieux mécanisme, se déployait instantanément et majestueusement à 12 mètres au-dessus des têtes des racketteurs syndicaux et de leur clientèle. Elle claque fièrement au vent et frappe de stupeur les trognes avinées des gros bras du service d’ordre. Elle assène simplement, en lettres de 1 mètre de haut, parfaitement visibles et parfaitement lisibles par les 10 000 personnes massées de la place St Paul à la place de la Bastille, la vérité de ce rassemblement sous-humain FETE DE L’ALIENATION

    Là où l’ennemi se croyait, sans doute, redevenu invincible nous avons trouvé le point dérisoirement faible les gros bras cégétistes se sont avérés totalement impuissants devant la toute puissance de l’idée. Une idée triomphe impunément avec sobriété et élégance (pour 800 francs alcools compris). Elle immobilise pendant 25 minutes (1) le ridicule cortège et engendre un fantastique flottement donnant ainsi à l’ennemi un avant-goût de sa prochaine déroute. Succédant aux braillements dérisoires des programmeurs communs glapissant leurs slogans habituels, un stupéfiant silence de 1 000 mètres de long s’abat sur la cohorte grotesque. Les majorettes s’immobilisent une cuisse en l’air, désemparées. Mais surtout, grâce au savant mécanisme (2) de mise en place qui ne demandait l’intervention que d’une seule personne, nous avons pû savourer, mêlés au public et aux charognes elles-mêmes, la déconfiture stupéfaite, blême et rageuse de nos victimes. Certains d’entre nous avaient même poussé le souci de l’anonymat jusqu’à arborer d’infamants badges CGT.

    Nous avons donc pu constater et apprécier un franc mouvement de sympathie, d’approbation et de gai bavardage parmi le public situé sur le trottoir et que ne parvint pas à étouffer la salope syndicale. Une bonne cinquantaine de photographes amateurs munis de splendides appareils japonais ont mitraillé pendant tout ce temps l’infamie qui surplombait tout ce désordre.

    Nous avons bien ri. C’est peu dire. Nous seuls savions pourquoi nous étions là. Nous n’avons subi aucune perte, pas une seule égratignure, et toutes les photos sont réussies. Merci. Bureaucrates vous l’avez eu dans le cul et vous l’aurez encore. SOWETO. LISBONNE. DAKAR. ROME. PARIS… à la prochaine !


    (1) Nous avons donc immobilisé la merde syndicale 25 fois plus longtemps que la première vanne de secours de la plateforme Ecofisk n’immobilisa la merde noire.

    (2) Ce n’était pourtant pas encore le savoir absolu si, en plus de la solide chaine cadenassée qui terminait le cable et qui a donné bien du fil à retordre à l’acrobate syndiqué, nous avions mis du savon noir sur le lampadaire, la bannière aurait tenu 30 minutes de plus et en sus des troupes régulières de la bureaucratie, c’est toute la racaille gauchiste et des petits syndicats de la vie quotidienne qui serait passée sous notre joug.


    sources :
     











    [Espagne, vers une société libre, égalitaire avec le mouvement anarchiste : meeting]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Espagne, vers une société libre, égalitaire avec le mouvement anarchiste : meeting]. — Paris : CNT_ (España) : CNT_ (France : ≤1993) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; font rayonnant rouge) ]

    texte :

    18 déc. 20 h 30 — 44, rue de Rennes
    Mº Saint-Germain des Prés

    Meeting

    CNT - Fédération Anarchiste

    invitas
    Confederación Nacional del Trabajo

    Espagne

    Vers une société libre, égalitaire
    avec le mouvement anarchiste

    [… impr. ?]


    sources :

    Conférence annoncée dans Le Monde libertaire nº 217 (décembre 1975).
    Un attentat contre le local de la CNT (rue de la Tour-d’Auvergne) aura lieu pendant ce meeting :

    Communiqué
    Un attentat a été commis au local de nos camarades de la CNTF, rue de la Tour-d’Auvergne le jour même de notre meeting commun.
    Nous signalons que notre meeting, malgré les rigolos du Christo Rey, a été un succès complet, si l’on en juge par la qualité des orateurs, des interventions et de l’auditoire venu nombreux ce soir là.
    la rédaction
    in Le Monde libertaire nº 218 (janvier 1976)

    Un attentat contre le siège de la Fédération anarchiste et du Monde libertaire aura lieu 5 jours plus tard ; cf. Le Monde libertaire nº 218 (janvier 1976) :

    Attentat fasciste contre la Fédération anarchiste
    Les franquistes ou leurs acolytes parisiens ont fait sauter le siège de notre journal et de notre organisation dans la nuit du 23 au 24 décembre.
    Pour que le « Monde libertaire » et la Fédération anarchiste restent le fer de lance de la lutte en France contre les alliés du franquisme :
    Souscrivez en masse : C.C.P. Paris 11289-15



    [Franco assassin]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Franco assassin]. — Paris : CNT_ (France : ≤1993), [ & post] (Gondoles, impr. des (Choisy-le-Roi : 1956-2006)). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 65 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : mort  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Delgado Martínez, Joaquín (1934-1963)  ; Granado Gata, Francisco (1935-1963)  ; Puig Antich, Salvador (1948-1974)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :

    texte

    dessins (portraits des exécutés à mort ; portrait de franco sur des tibias croisés sur fond de garrotages) par ?

    texte :

    Franco assassin

    Hier, il a tué.
    Mais en Espagne c’est chaque jour que l’on arrête arbitrairement, que l’on condamne aux peines de prison les plus folles (lors d’un très prochain Conseil de guerre à Barcelone, 10 libertaires risquent en tout plus de 500 ans de prison).

    Alors face à l’accentuation du terrorisme d’État en Espagne, face à la tentative de liquidation physique de tout le mouvement révolutionnaire, face aux tortures atroces qu’inflige la police à nos camarades de Mouvement Libertaire Espagnol comme à ceux de toutes les autres organisations d’extrême-gauche, il faut rendre effectif le boycottage de l’Espagne fasciste et la solidarité envers les peuples ibériques opprimés !

    300.000 exécutions après la guerre civile et …
    1963 - Delgado garroté
    1963 - Granados garroté
    1974 - Puig-Antich garroté
    1975 - Juan Paredes Manot (Txiki), Ramon Garcia Sanz, José Umberto Baena Alonso, Angel Otaegui Echevarria, José Sachez, Bravo Sollas

    Et demain combien ?

    Confédération Nationale du Travail

    Impr. des Gondoles - 94600 Choisy-le-Roi


    sources :