vert

 

 
 

Affichage par année

187 affiches :

 

    [Mystag]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mystag]. — Paris : Mystag, [ca ]. — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus  : noir , orange , brun , vert , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ titre (nom de l’artiste : Mystag) ; dessins : extraits de spectacle d’illusionnisme ]

    texte :

    Mystag


    sources :

    lithographie ou sérigraphie ?



    [Mystag]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mystag] / Harfort. — Paris : Mystag, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quatre ou plus  : rouge , noir , vert , jaune , texte en défonce , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 118 × 78 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte : titre ; image : extraits d’un spectacle d’illusionnisme ]

    texte :

    Mystag

    Harfort [signature]

    imp. Harfort — Paris


    sources :
     




    [Warning]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Warning]. — Maastricht Maastricht / Maëstricht : Luuks : Ontbijt op Bed, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : vert , papier blanc ) ; 70 × 25 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art (généralités)  ; éducation  ; étudiants (et luttes étudiantes)  ; provo
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Ontbijt op Bed (Maastricht : 1966-1967)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (contre les écoles d’art) ]

    texte :

    Warning

    De Kunstakademie leidt jonge mensen op tot een geïsoleerde plaats in de samenleving.
    Daaraan worden duizenden guldens subsidie besteed door rijk, provincie en gemeente.
    De Jan van Eyck Akademie verbruikt het komende jaar zes honderd duizend gulden (6 ton).
    Sinds de oprichting in 1948 zijn er 128 afgestudeerden losgelaten.

    Zodra de opleiding klaar is, staan ze in de kou. Niemand heeft nog behoefte aan hun producten.

    Het instituut bevordert de vervreemding.
    Ze gaat uit van de laksheid van leerlingen die te vaak de school bezoeken omdat ze er een beurs kunnen krijgen. Van de beurzenstop heeft men op de akademie weinig gemerkt.
    De besten onder de afgestudeerden maken nu speciale ouderwetse contra-prestatie — schilderijen op een verloren namiddag om centen te krijgen. De eigen research van de beeld. Kunstenaars wordt door de contra P. Negatief gewaardeerd.
    De opleiding daagt de studenten niet uit tot het zoeken naar nieuwe vormen voor het dagelijks leven : dat betekent het faillissement van deze opleiding. Er is een nieuwe mentaliteit nodig in het kunst ? Onderwijs (ook konservatorium en toneelakademie)

    Er moet niet langer worden opgeleid tot schilderijtjes makers, notenbalkers en tekstwakers. Kunstenaars moeten worden opgeleid tot vormgevers van een ludieke samenleving. Alleen dan wordt subsidiëring van de opleiding en kunstenaars gerecht vaardigt.

    Waar wacht u nog op, socialistische minister Maeerten vrolijk :
    dit is nieteens een experiment.
    Het is de enige mogelijkheid.

    Leesverder Ontbijt op Bed over de mogelijkheden, die een akademie toch heeft.

    Ontbijt op Bed . Tijdschrift van de Luuks beweging [logo "Luuks"]


    sources :

    http://provo-images.info/ontbijtopbedposters.html
    parue en octobre 1966


    1967

    1966
    Affiches liées



    [Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]. — Milano Milan : 912 (ed.), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois  : rouge , bleu , vert , couleur en dégradé , papier kraft ) ; 70 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1968
    • Noms cités (± liste positive)  : Living Theatre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte surmonté d’une étoile rouge et de guérilleros asiatiques ]

    texte :

    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon

    Le Festival d’Avignon se présente cette année comme un « Festival pas comme les autres » : on y invite, on y programme la contestation au sein des Assises du Théâtre et, en même temps qu’une violente campagne de presse (*) prend pour cible la troupe du Living Théâtre, hôte officiel, de nombreux jeunes font déjà l’objet d’interpellations, de contrôles de la part de la police dans les rues de la ville. L’ambiguité règne. Dans ces conditions il nous a paru utile de proposer à la réflexion des participants comme des organisateurs — car il va sans dire que le débat est d’ores et déjà élargi à tous ceux qui se sentent concernés par l’impact que les « événements de mai » ont eu et continuent d’avoir sur le fonctionnement « normal » des institutions qu’elles soient culturelles ou politiques — les questions que voici :

    S’appuyant sur des enquêtes sociologiques, certains déplorent que le Festival d’Avignon soit bourgeois : c’est à dire que, seul un pourcentage dérisoire de travailleurs s’y rende. De fait, son public est en grande majorité composé de touristes et de membres des classes moyennes ou dirigeantes, comme c’est le cas d’ailleurs pour les Maisons de la Culture. Il s’agit donc d’une culture de classe sur laquelle les problèmes politiques et économiques des travailleurs urbains ou ruraux n’ont pas ou très peu d’incidence. En établissant un rapport mercantile avec leur public les producteurs et les propriétaires de cette culture servent automatiquement les intérêts d’une catégorie sociale au détriment d’une autre ; mais ce n’est pas tout, la culture industrielle qu’elle soit de « droite » ou de « gauche » agit dans le sens de la contrerévolution permanente puisqu’elle transforme forcément sa clientèle en une masse de robots amor-phes bons à consommer du tout-cuit culturel et à tomber dans le panneau des loisirs organisés. L’université en crise, la culture en crise sont indissociables du capitalisme. Elles disparaîtront avec lui. Que peut-on faire pour hâter cette disparation ?

    La contestation effective de la fonction coercitive assumée par la culture dans le cadre légal de la société d’exploitation ne commencerait-elle pas par la mise en cause directe et radicale de l’existence même d’une industrie du spectacle ? Toute contestation intégrée dans le circuit officiel ou commercial n’est-elle pas a fortiori Institutionnalisée, châtrée et récupérée par le Pouvoir ? Tant que l’Infrastructure aliénante et répressive sur laquelle repose la culture n’est pas AVANT TOUT globalement contestée, peut-il s’agir d’autre chose que d’une contestation elle-même aliénée, limitée, symbolique ?

    Les contrôleurs de la culture (officielle ou officieuse) en exerçant leur monopole sur les moyens de création et de diffusion, ne renforcent-ils pas l’appareil répressif de l’état policier au même titre qu’un gouvernement faisant réoccuper la Sorbonne ou l’Odéon par CRS et Préfet de Police interposés ?

    Dans toute perspective autre que conservatrice et réformiste, le rôle joué par les intermédiaires et les contrôleurs (producteurs, directeurs de musées, de théâtres, de galeries, de maisons d’éditions, ministres des affaires culturelles, etc.) n’est-il pas à abolir purement et simplement ? Toute conception de la culture en tant que domaine réservé à des spécialistes rémunérés n’est-celle pas, en fait, repressive et autoritaire ?

    Toute éventuelle mise en marche d’un processus de création collective et permanente — non reservée à une « élite » — ne poserait-elle pas a priori la nécessité d’en finir avec tout divorce entre « l’art » et « la vie », toute distinction entre les activités artistiques et les activités politiques et sociales quotidiennes ? L’acte créateur étant enfin déba-rassé de la censure qui l’annule ? L’inconscient enfin dégagé du régime policier qui le nie ?

    La culture industrielle, de même que l’université bourgeoise, ne constitue-t-elle pas un écran de fumée destiné à rendre impossible, à interdire toute prise de conscience et toute activité politique libératrice ? Le théâtre qu’il soit conventionnel ou d’avant-garde, ne véhicule-t-il pas cet interdit du fait qu’il substitue la représentation à l’action directe ?

    Le théâtre idéologique, en particulier, quelles que soient ses intentions et son « contenu », n’est-il pas respon-sable de la situation aliénante et sous-développante où il place ses spectateurs ?

    Le théâtre et le cinéma de grande consommation ne secondent-ils pas l’appareil repressif de la classe dirigeante en ceci qu’ils contrôlent et determinent l’image que les consommateurs se font d’eux-mêmes ?

    Est-il possible de contester efficacement le système capitaliste sans mettre d’abord en question le rôle que l’on joue soi-même dans ce système ? Les intellectuels et les artistes (acteurs, peintres, écrivains, etc.) qui ont pris en marche le train du « mouvement de mai » et qui se sont contentés d’exprimer des revendications corporatistes quan-titatives n’ont-Ils pas, de ce fait, exploité la dynamique de ce mouvement aux mêmes fins que l’Etat et que les partis ?

    Les différentes forces de l’ordre (des gardiens de la paix à la DST) qui ont joué sur le théâtre des opérations de mai le rôle que l’on sait, interviendront-elles dans la crise de la culture de la même manière qu’elles sont interve-nues dans la crise universitaire, c’est à dire avec des gaz asphyxiants, des grenades offensives, des matraquages intensifs, des ratonnades, des arrestations, des perquisitions, etc. ? Quel peut-être le rôle des nombreux gardes mobiles, CRS, inspecteurs en civil actuellement en service dans la ville d’Avignon ? Quel rôle l’administration du Festival, le Préfet du Vaucluse ou le Ministère des Affaires Culturelles envisageraient-ils de leur faire Jouer si un mouvement se dessinait parmi les participants au Festival qui tendrait non pas à moderniser ni à améliorer la culture Industrielle d’État (subventionnée) mais à l’abolir et à la remplacer ?

    Comment, alors qu’en Avignon, l’industrie du spectacle s’est intégrée à l’industrie du tourisme au point d’y être complètement soumise est-il possible de prétendre à une réelle liberté d’expression et d’action ? La mise en condi-tion est-elle plus tolérable lorsqu’elle porte un masque « artistique » ?

    Quand, à travers le monde un important courant créateur agit depuis plusieurs années dans le sens du théâtre de rue, gratuit et libre, préoccupé prloritairement par l’action politique, comment peut-on à la fols lui interdire les rues d’Avignon et prétendre organiser un « Festival de la Contestation » ?

    Quels seraient les problèmes posés par la constitution, à l’occasion du Festival d’Avignon, d’un double pouvoir face à celui de l’État et des « autorités », qui répondrait à un désir collectif et qui ne se limiterait pas aux bavardages entre spécialistes de la culture soucieux de conserver leurs rôles privilégiés ?

    En cette période de reflux et de répression, la question qui se pose à nous n’est-elle pas encore et toujours celle de l’exercice par TOUS du droit de l’homme à disposer psychiquement et socialement de lui-même ?

    Le Comité d’Action, juillet 1968

    (*) Cf. Le Méridional des 28 juin et 10 juillet. Les acteurs du Living Théâtre y sont présentés comme des « énergumènes en haillons », des « primates » et on parte de « commandos » chargés de les corriger.

    Ed912 Milano (printed in Italy)


    sources :
     



    [Abolition du travail, abolition du travail ??!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Abolition du travail, abolition du travail ??!]. — Paris : La (ca1977) Guerre sociale : des Prolétaires contre le travail, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : vert , violet , papier rose ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Ravachol (1859-1892)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; contient un encadré avec une citation de la « Chanson du Guillotiné » (Si tu veux être heureux...) ]

    texte :

    Abolition du travail, abolition du travail ??!

    Le travail salarié devient la seule forme d’activité productive que le capital laisse aux hommes. Il faut des années de dressage pour qu’ils acceptent de perdre le tiers de leur temps en travaillant et de gâcher les deux autres tiers pour se remettre de leur travail.

    Les idéologues affirment que le travail est nécessaire parce qu’ils assimilent production de marchandises et richesse sociale. Être riche ne veut plus dire mener une vie passionnante mais être possesseur de quantités de biens. Voilà bien l’expression de l’imbécillité bourgeoise ! La société actuelle condamne le prolétaire à s’abrutir dans l’espoir que de là sortira la joie de vivre.

    Le temps perdu à travailler, les désirs non réalisés, sont échangés contre le salaire. Cette récompense qu’obtient le travailleur pour sa participation à la production de marchandises ne permet de se procurer que des marchandises. Elle ne donne droit qu’à ce qui s’achète, elle est incapable de rendre notre vie passionnante. Ce à quoi on renonce dans le travail ne nous est jamais rendu. La misère de la consommation répond à la misère du travail. Toute activité « libre » revêt un caractère inhumain : ainsi boire tourne à l’alcoolisme, se reposer c’est s’abrutir, et apprendre consommer l’idéologie ; tous les penchants physiques et intellectuels sont détournés en manies : le goût du jeu se transforme en hystérie de supporters ou en aliénation chevaline, la pêche et la chasse ne sont plus des ersatz d’activités aventureuses, le bricolage n’est que la reproduction du travail parcellisé.

    Si nous sommes obligés de travailler, la cause n’en est pas naturelle, elle est sociale. Travail et société de classe vont de pair. Le maître veut voir l’esclave produire parce que seul ce qui est produit est appropriable. Le plaisir que l’on trouve dans une activité ne peut être stocké, accumulé, traduit en argent par le capitaliste, alors il s’en fout. Lorsque nous travaillons, nous sommes entièrement soumis à une autonomie extérieure. Notre existence n’a plus de sens en elle-même ; sa raison d’être, c’est la production de marchandises.

    VI
    Si tu veux être heureux, nom de dieu ! (bis)
    Pends ton propriétaire,
    Coup’ les curés en deux,
    Nom de dieu !
    Fouts les églis’ par terre,
    Sang-dieu !
    Et l’bon dieu dans la merde,
    Nom de dieu !
    Et l’bon dieu dans la merde !
     
    Chant de guillotine de Ravachol
    Gouale à Montbrison le matin de son exécution

    En revendiquant l’abolition du travail salarié, nous ne faisons qu’exprimer un mouvement qui s’ébauche déjà pratiquement sous nos yeux, dans telle grève sauvage ou dans telle émeute, lorsque les OS américains désorganisent les chaînes et que les ouvriers polonais pillent les magasins d’État, lorsque l’effort est justifié par la raison, lorsque les salariés désobéissent aux momies qui les gouvernent. Alors le bavardage cède le pas à la parole, parce que les hommes recommencent à avoir des choses à se dire et des expériences à se communiquer…

    Ce mouvement n’est pas le fruit du hasard ou d’une étonnante coïncidence historique. C’est le développement même des forces productives, mettant le dépassement du travail ) l’ordre du jour, qui sape les valeurs traditionnelles et en premier lieu le goût du sacrifice et de l’effort aliéné. Les possibilités historiques, emprisonnées sous la forme marchande, préparent le terrain de la dernière révolution : elle résultera de la lutte internationale des prolétaires contre le salariat et ses défenseurs.

    texte tiré de La Guerre sociale n° 1

    des prolétaires contre le travail


    sources :

    Texte tiré de La Guerre sociale n° 1.











    [Stop the rape of Southeast Asia]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Stop the rape of Southeast Asia] / Juan Carlos. — [S.l.] : Gay men against the war, [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , papier blanc ) ; 36 × 22 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : répression  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : guerres : Guerre du Vietnam *  ; Vietnam
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (poème contre la guerre au Vietnam et contre Nixon) ; dessin (avions bombardant des collines) signé Juan Carlos 73 ]

    texte :

    What gay freedom can there be while
    the bombs destroying Viet Nam
    the bombs that spread an American Empire of Destruction
    the bombs that empower Nixon’s Empire of Repression
    the bombs whose explosion is the sound of straight male power that would destroy gay life, leave Christopher Street in the same rubble it has left Hanoi
    The bombs which announce an era of increased persecution, arrest, imprisonment of gays
    What gay freedom can we hope for as long as we hear the bomb fall.

    Stop the rape of Southeast Asia

    Gay men against the war


    sources :
     




    [Festival folk, jazz et cinéma]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Festival folk, jazz et cinéma] / Éric Jeanmonod. — Genève : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : vert , papier jaune ) ; 50 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (programme) ; dessin (musiciens, au têtes d’instruments de musique, au pied de la statue du général Dufour jouant au diabolo ???) par Éric Jeanmonod ]

    texte :

    Festival folk, jazz & cinéma

    Meinier (GE), 14-15 juin

    Une vingtaine de groupes genevois et invités - 15 heures de musique en plain air - 4 h de films sur la musique + atelier de musique
    Permanent, crèche, à boire & à manger

    org. . GAG, AMR, CAC - tél. 44 94 44 (case postale 423 - 1211 GE 14)

    Entrée gratuite


    sources :
     







    [L’appel du 18 joint]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’appel du 18 joint]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : vert , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; drogue  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Alternative libertaire (Belgique : 1976-2005)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins ; pétition ]

    texte :

    Libération — Alternative

    L’appel du 18 joint

    Cigarettes, pastis, aspirine, gros rouge, calmants, font partie de notre vie quotidienne. En revanche, un simple « joint » de cannabis (sous ses différentes formes : marijuana, haschich, kif, huile) peut vous conduire en prison ou chez un psychiatre.

    Des dizaines de documents officiels (notamment les rapports La Guardia aux États-Unis, Wootton en Grande-Bretagne, Le Dain au Canada) ont démontré que le cannabis n’engendre aucune dépendance physique, contrairement aux drogues dites « dures », telles que l’héroïne, mais aussi au tabac ou à l’alcool, et n’a aucun effet nocif comparable (« Pas même une bronchite, sauf chez les grands fumeurs », a écrit aux États-Unis le directeur de l’Institut national contre l’abus des drogues). Le contenu de ces documents n’a jamais été porté à la connaissance du public français, on a préféré laisser la grande presse mener des campagnes d’intoxication fondées sur des mensonges ineptes.

    Dans de nombreux pays déjà — États-Unis (Californie, Oregon, Alaska), Pays-Bas, Canada…, la législation sur le cannabis a été considérablement adoucie. En France, on continue d’entretenir la confusion entre drogues dures et drogues douces, gros trafiquants, petits intermédiaires et simples usagers. Cela permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde : depuis 1969, la police peut perquisitionner chez n’importe qui, sans mandat, à toute heure du jour ou de la nuit, sous prétexte de drogue. Cela permet des arrestations massives de jeunes et des quadrillages policiers. Cela sert à justifier la détention de centaines de personnes, petits revendeurs ou fumeurs de cannabis, quand tout le monde sait que des gros bonnets de l’héroïne sont en liberté. Ces emprisonnements, bien sûr, sont sélectifs et frappent en priorité la jeunesse, surtout la jeunesse ouvrière et les immigrés, particulièrement dans les régions.

    Or, des milliers et des milliers de personnes fument du cannabis aujourd’hui en France, dans les journaux, les lycées, les facultés, les bureaux, les usines, les ministères, les casernes, les concerts, les congrès politiques, chez elles, dans la rue. Tout le monde le sait. C’est pour lever ce silence hypocrite que nous déclarons publiquement avoir déjà fumé du cannabis en diverses occasions et avoir éventuellement, l’intention de récidiver. Nous considérons comme inadmissible toute forme de répression individuelle, soumise à l’arbitraire policier et entendons soutenir activement tout ceux qui en seraient les victimes. Nous demandons que soient prises les mesures suivantes :
    — dépénalisation totale du cannabis, de son usage, sa possession, sa culture (autoproduction) ou son introduction sur le territoire français en quantités de consommation courante.
    — ouverture de centres d’information sur les substances psychotropes, en ordre alphabétique : alcool, cannabis, cocaïne, héroïne, LSD, médicaments, tabac, etc.

    Nous n’avons que faire de la légalisation de la marijuana, ni de sa commercialisation. Si des trusts à joints s’en emparent, c’est une question de société. Ce texte n’est pas un appel à la consommation. Il vise seulement à mettre fin à une situation absurde.

    Affichez-moi !

    Dans la société de la norme et de la grande déprime…

    on a les plaisirs qu’on veut bien se donner …

    Les premiers signataires

    Abrahams Jean-Jacques, Annabel, Areski, Dr. Atlan H., Alessandrini Paul. Alessandrini Marjorie. Arietta Adolfo, Anquetil Gilles. Backman René, Bourgeade Pierre. Béranger François. Berger Claude. Bizot Jean-François, Baratier Jacques. Bastide Jean-Pierre. Bouteille Romain, Bardet Vincent. Bodevent Jean-Louis, Barouh Pierre, Bost Jacques-Laurent, Bok Philippe (médecin), Colombel Jeannette, Coste Patricia, Chesneaux Jean, Copi, Clémenti Pierre. Castagnet Paul, Copferman Émile, Carpentier Jean (médecin), Cahiers du Cinéma, Calvet Louis-Jean, Cullaz Maurice, Deleuze Gilles, Duits Charles, Dollé Jean-Paul, Dupré Jean-Louis, Dubois Bernard, Davezies René, Devy Michel, Dachy Mare, Dautin Yvan, Delessert Philippe, Dosse Roger, Druillet Philippe, Dietlin Éric, Dubenton Anne, Erlinguer Serge (médecin), Fromanger Gérard, Font Patrick, Ferré René, de Fréminville Bernard (médecin), Fluence, Fourastié Philippe, Glucksman André, Grasset Jean-Baptiste, Geismar Alain, Guattari Félix, Gotlib, Gébé, Gir Moebius, Haines Jim, Held Jean-Francis, Houdart Blandine, Huppert Isabelle, Isserman Dominique, Ithurriaque Jean (médecin), Jaubert Alain, Jacquot Benoît, Kalfon Jean-Pierre, Kouchner Bernard (médecin), Karsentv Serge, Kan Alain, Levy-Leblond Jean-Marc, Levy-Leblond Élisabeth (médecin), Le Forestier Maxime, Landau Maria (médecin), Letté Jean-Paul, Lyotard Jean-Francois, Lauten Élodie, Lacroix Hugo, Levaillant Yvan, Lagrange Valérie, Laperrousaz Jérôme, Laffont Bernadette, Leclerc Henri (avocat), Mandryka, Mallerin Daniel, Marc’0, Matricon, Mercadet Léon, Matzis Costa, Meunier Jean-Louis, Magny Colette, Muchnik Nicole, Morello Dominique, Maulineux Maud, Mercanton Isabelle, Morin Edgar, Manceaux Michèle, Mémmi Michael, Merleau-Ponty (avocate), Negroni François, Najman C., Nicoulaud Gilles, Oswald P.J., Oswald Hélène, Ogier Bulle, Orla, Pinhas Richard, Pleyney Marcellin, Pradalié Philippe, Pasquet Sylvaine, Rauch Alain, Revault d’Allonnes, Reed Will, Renault Philippe, Rouzaud Jean, Ribbes Jean-Paul, Rochefort Christiane, Roche Raguenés Jean, Righini Marielle, Rosso Serge-Bruno, Richard Jean-Vincent, Sollers Philippe, Saint-James Daniel, Sarduy Severo, Sery Patrick, Samuel Laurent, Savary Jérôme, Simmonet Dominique, Szejer Myriam (méd.), Tavernier B., Timsit (avocat), Topor, Tobias, Thérame Victoria, Verthomme Hugo, Vannoni Patrice, Varela José, Van Eersel, Patrice, Vasca Jean, Verdier Joan Pau, Val Philippe, Yelnik Jean-Benoît, Zouiou, France Léa, Sami Avari, François Chatelet.

    Nous ! et vous ?


    sources :

    Affiche en page centrale du journal Alternative libertaire n° 30 (1er décembre 1977), publié sans doute conjointement avec Libération.



    [Asamblea construcción día 24 a las 11 de la mañana, Polideportivo San Andres]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Asamblea construcción día 24 a las 11 de la mañana, Polideportivo San Andres]. — Vitoria : CNT_ (España) ; [et al.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , vert , papier blanc ) ; 44 × 32 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ dessin (manifestation devant ville en chantier) ; texte ]

    texte :

    Asamblea construcción

    día 24 a las 11 de la mañana
    Polideportivo San Andres

    Para tratar todas las cuestiones relativas a la revisión del convenio el 1.° de octubre

    — Unificación del ramo en un solo convenio (Construcción, derivados del cemento, obras públicas, vidrio y cerámica).
    — 7.500 pts. en 40 horas de trabajo.
    — Fijos de plantilla a los 15 días y abolición de horas extras, primas y destajos, así como del prestamismo.
    — Jubilación voluntaria a los 55 años y forzosa a los 60 años independientemente del tiempo cotizado.

    ¡Compañero, el convenio nos afecta a todos !
    ¡Acude a la asemblea y participa con nosotros !

    Día 24 a las 11 de la mañana en ………

    Convocan : UGT, CNT, CSUT, Colectivotao y SU.


    sources :

    Au verso, deux textes : La fuerza de las ideas, de Hermoso Plaja ; texte pour le Congrès IFA à Carrare en 1978. Ou est-ce simplement une affiche imprimée sur de la maculature ?



    [Charge the skunks… Not the ferrets !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Charge the skunks… Not the ferrets !]. — London Londres : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : armée  ; contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Aubrey, Crispin  ; Berry, John  ; Campbell, Duncan
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photos (en haut gauche, photos de Rees, Silkin et du Colonel B sur fond de policiers et militaires en action de répression ; en bas droite, photos de Duncan Campbell, Crispin Aubrey et de John Berry (un ancien soldat et deux journalistes en procès pour avoir possédé et révélé des informations confidentielles de la "Signals Intelligence" [SIGINT] à Londres en 1977-1978) sur fond de manifestations de soutien ]

    texte :

    Charge the skunks…

    [photos] Rees — Silkin — colonel B

    If Aubrey, Berry and Campbell are convicted knowledge of many other illegal and repressive actions will be supressed. Fight for ther right to speak and our right to know !

    [photos] Aubrey — Berry — Campbell
    Two journalists and an ex-soldier face trial in September under the Official Secrets Act for investigating and discussing the Army’s information gathering activities.

    Not the ferrets !

    Aubrey / Berry / Campbell defence committee c/o Time Out, 374 Gray’s Inn Road, London WCI, 01-278 2377.

    Hammer Designs (TU). Printing by Anvil Printers Ltd (TU)

    Photos : Chris Davies, Mike Wells, Andrew Wiard (Report), Angela Phillips ; Steve Henstridge, Anthony Jones, PA, The Leveller.


    sources :
     





    [Insoumission totale... Gala de soutien antimilitariste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Insoumission totale... Gala de soutien antimilitariste]. — Lyon : [s.n.], (IPN/AIPN (Ateliers d’Impression Presse Nouvelle, Lyon)). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : rouge , vert , couleur en dégradé ) ; 77 × 55 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ Texte ; dessin (personnage étranglé par un bras « justice » et un bras « armée ») ]

    texte :

    Insoumission totale…

    — 25 personnes, inculpées de provocation à la désertion et à l’insoumission, passent en procès l e30 janvier à 14 h à la 5e chambre correctionnelle.
    — Inculpation qui fait suite à la distribution d’un tract, le 28 mai 1977 à Villeurbane, lors de l’arrestation d’un insoumis.
    — Pour affirmer votre soutien aux insoumis (ils risques 2 ans de prison !) et à leur lutte, venez nombreux à ce procès.

    Gale de soutien antimilitariste

    Vendredi 27ãnvier, 20 h, Centre Pierre Valdo ; 176, rue Pierre-Valdo, Lyon 5e (bus n° 30)

    Chanson, bouffe, bal folk… participation aux frais !

    Groupe Insoumission ACLR - 13, rue Pierre-Blanc, Lyon 1er

    imprimé Atelier Impression Presse Nouvelle - Lyon


    sources :
     











    [Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes]. — Paris : [s.n.], (Edit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , vert , papier vert ) ; 63 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Iran
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (français et farsi) ; photo (mur avec graffitis) ]

    texte :

    Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes

    [légende en français] La grande mosquée de Paris, lors de la cérémonie pour la mort de l’ayatollah Taleghani, le 12.09.1979
    [photo]
    [légende en farsi] 12.09.1979 […]

    [الكرخ امنيتي سعلو قرونا

    اصل مستاوفتا عطل البي الها

    ولي عهد الظاا جاء وقت الفرح

    تا فیقوا الحیاة و هلموا ا نرخ

    حسین أخوباة الی ک یال

    با پسرای وکس دستان
     ?]

    […]


    sources :

    Affiche présenté comme une dénonciation de la révolution religieuse iranienne par l’« extrême gauche radicale » par une librairie spécialisée.








    [Stem på Ingen]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Stem på Ingen]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , texte en défonce ) ; 51 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : Danemark
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (visage de politicien rayé de rouge) ]

    texte :

    Stem på Ingen

    Ingen er en god politiker

    Ingen taler vores sag

    Ingen er nœdvendig

    .ingen er ærlig

    vi behøver ingen


    traduction :

    Votez pour personne

    Personne n’est un bon politicien

    Personne ne défend notre cause

    Personne n’est responsable

    Personne n’est honnête

    nous n’avons pas besoin de personne


    sources :

    Élections régionales de 1980.