France

 

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Affichage par année

4070 affiches :

 














    [Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité]. — Aix-en-Provence ; Marseille : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; [30 ?] × [21 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; éducation  ; émigration et immigration  ; procès  ; solidarité
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    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (mains serrées autour de barreaux de prison) ]

    texte :

    Instituteur et militant du RESF, Florimond Guimard risque 45 000 € d’amende et 3 ans de prison pour s’être opposé pacifiquement } — avec 200 autres — à l’expulsion d’un père de famille sans-papiers à l’aéroport de Marignane.
    Il est convoqué devant le tribunal correctionnel d’Aix le 22 octobre…

    une semaine d’action

    Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité

    avec le Réseau Éducation Sans Frontière

    La solidarité n’est pas un délit — La solidarité n’est pas un délit — La solidarité n’est pas un délit —La solidarité n’est pas un délit

    Samedi 20 oct. — Marseille - Porte d’Aix - 15 h
    Manifestation unitaire « Journée de solidarité avec les étrangers », dans le cadre de la mobilisation nationale UCIJ (UniEs Contre une Immigration Jetable)

    Dimanche 21 oct. — Marseille - Parc F. Billoux (248, rue de Lyon, 15e)
    Rencontre - débat, 14 h 30, « Contre la pénalisation des actions citoyennes », suivi d’un goûter en musique

    Lundi 22 oct. — Aix - La Rotonde - 12 h

    Manifestation

    Veille citoyenne devant le tribunal (40, bd Carnot), de 14 h jusqu’à la fin de l’audience

    Retrouvez le programme complet sur http://www.educationsansfrontiere.org/redf13
    Aix solidarité, Article 13, ASTI Aix, ATTAC, ATMF, Ballon Rouge, CIMADE, FCPE, Femmes en noir, LDH, Mille Babords, MRAP, RESF, UCIJ, UJFP, Intersyndicale Éducation des BDR (FSU-CGT-CFDT-FO-UNSA-SUD), SDEN CGT, CNT, FSU SDU, SNEP, FSU SNUIPP, SNES FSU, SGEN CFDT, Solidaires, Sud Santé Sociaux, Sud STSF, Sud Éduc, UDAS, UD CGT, UD CFDT, AL, Resister, LCR, PCF, Collectifs Unitaires Anilibéraux du 13, Les Verts, LO, …


    sources :

    https://web.archive.org/web/20071025093605/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/Affiche20octa.pdf



    [Rafles dans nos quartiers]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rafles dans nos quartiers]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; répression
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    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (avec lettrines reprenant le mot « RAFLES ») ]

    texte :

    Rafles dans nos quartiers

    Rafles de sans papiers qui passent inaperçues tant nous sommes habitués à l’occupation policière permanente de nos rues
    — Repérer ce type de contrôle d’identité pour s’y opposer

    Arrestations massives opérées à l’improviste dans des quartiers ciblés Magenta, Stalingrad, Barbés, Quai de la gare, Belleville…
    — Appeler des amis, constituer des réseaux téléphoniques

    Flics en petits groupes en uniformes et en civil, qui contrôlent dans la rue, dans les cafés, les couloirs et les sorties de métro
    — Faire rebrousser chemin discrètement aux gens menacés

    Longueur de l’opération : de 30 minutes à 3 heures les cars stationnés non loin sont remplis jusqu’à ce que le quota du jour soit atteint
    — Limiter ainsi le nombre d’arrêtés donc d’expulsions

    Enfermement en centre de rétention puis expulsion des personnes arrêtées une cinquantaine environ
    — Expliquer ces rafles et les rendre visibles aux veux de tous

    Sabotons la machine à expulser !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Rafles-dans-nos-quartiers : « Trouvé sous forme de tract, auto-collants et affiches dans plusieurs villes depuis 2007/2008 » (16 novembre 2007).













    [Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !] / Jacques Rouxel. — Notre-Dame-des-Landes : Zone à défendre (NDDL), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : économie : agriculture  ; économie : transports
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    BD inspirée des Shadoks de Jacques Rouxel

    texte :

    Aéroport Notre Dame des Landes : un projet qui nous pompe l’air !

    — Depuis trop longtemps, les shadoks pompaient, pompainet, pompaient …
    — En 2018, les pompeuses, ivre de pomper ont expmosé et recouvert Shadokville de détritus, de dégoulinures de pompage
    — Pour faire face à cette catastrophe, le rois Shadok a décidé que les shadoks devaient pomper encore plus
    — Mais plus les shadoks pompaient, plus leurs conditions de vie se détérioraient. Plus ils pompaient plus la terre des shadoks se dégradait.
    -- Pour permettre aux shadoks de pomper toujours plus, le roi Shadok imagina d’installer une gigantesque aéropompeuse à Notre Dame des landes. Anti-écologique, anti-social, coûteux et inutile, ce projet pompeux allait faire disparaître des milliers d’hectares d’agriculture de proximité.
    — Alors les shadoks descendirent dans la rue : « Gardons la terre » « Stoppons le productivisme destructeur ! »
    — Et posèrent la question : pourquoi et pour qui pompons-nous ?
    — Ils refusèrent l’aéropompeuse. Ils voulaient organiser la société shadok autrement.
    — Contre les ravages du pompage, une seule solution, la révolution écologique, égalitaire, émancipatrice et solidaire !
    — Pomper toujours plus, produire toujours plus, détruire toujours plus pour le profit de quelques-uns contre le bien commun est l’idéal des gouvernants. Il n’y a pas de capitalisme à visage humain !
    -- Nous voulons une vie riche, pas une vie de riche !

    Soutien aux habitan-e-s qui résistent, aux expulsé-e-s de la ZAD et aux inculpés


    sources :
     



    [Beau comme des centres de rétention qui flambent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

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    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; répression
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    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]

    texte :

    Beau comme des centres de rétention qui flambent

    Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.

    En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.

    Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.

    La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.

    Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.

    Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.

    Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.

    Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.

    Sabotons la machine à expulser !

    Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).


    2008
    Affiche liée


    [Beau comme des centres de rétention qui flambent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]

    texte :

    Beau comme des centres de rétention qui flambent

    Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.

    En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.

    Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.

    La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.

    Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.

    Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.

    Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.

    Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.

    Sabotons la machine à expulser !

    Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).


    2008
    Affiche liée


    [Bienvenue dans la poubelle des mondes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bienvenue dans la poubelle des mondes]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : désobéissance civile  ; écologie  ; économie : industrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (femme, à visage de tête de mort, à quatre pattes devun un bébé, à la tête arrachée, lui tendant une fleur) ]

    texte :

    Bienvenue dans la poubelle des mondes

    Deux siècles de développement industriel auront réussi à tout gangrener : la Terre, l’eau, l’air, rien n’y échappe. Plus personne ne peut ignorer dans quelle poubelle des mondes nous sommes contraints de vivre : fuite radioactive au Tricastin, PCB dans le Rhône, lait à la dioxine en Bretagne et ailleurs… « Accidents » industriels ? C’est plutôt la routine du désastre qui suit son cours.

    Les États, les industriels, les experts et contre-experts sont donc obligés de reconnaître que la planète est à bout de souffle. Au nom de la soumission durable, ils célèbrent en collaboration avec les ONG, de grandes messes écologistes. Les appels à l’Union sacrée comme le Grenelle de l’environnement ne serviront cependant jamais qu’à canaliser les inquiétudes et à neutraliser les possibilités de refuser ce monde mortifère. « Citoyen » ! On t’ordonne de devenir « écoresponsable », de faire du vélo, de trier tes déchets… pour sauver la planète.

    Les enfants sont les premières cibles de ces injonctions et prescriptions. Ce sont eux qui doivent faire la leçon à leurs parents et exiger le respect des consignes. Petit flic bio en culotte courte deviendra grand pourvu que MonsantoTM lui prête vie.

    Les « mesures pour sauver la planète » ne remettent rien d’essentiel en cause : les éoliennes comme pis-allers technologiques et « alternatifs », les pastilles vertes comme mesures fiscales, le traçage des bestiaux comme la multiplication des obsessions hygiénistes et sanitaires, le développement des biocarburants comme l’essor d’une industrie « écologique », les ampoules basse consommation comme les appels obsessionnels au rationnement… Tout cela est utilisé pour faire accepter comme des impératifs absolus, les efforts et sacrifices indispensables à la survie de ce monde tel qu’il est. D’un monde de la production forcenée où tout et tous ne sont que des marchandises. D’un monde où grosso modo ce seront toujours les mêmes en haut et les autres en bas. D’un monde toujours plus quadrillé où toute mesure étatique n’est jamais qu’une coercition de plus, et gare à la matraque qui vient redresser ceux qui « désécobéissent » !

    Refusons la mise aux normes des gestionnaires et bénéficiaires du désastre annoncé : refusons l’embrigadement consenti, le rationnement volontaire ; refusons la domestication équitable et l’écologisme de caserne.

    Parce qu’il n’y a pas de liberté dans les décombres industriels, parce que manger un yaourt bio dans une décharge mondialisée n’est pas la liberté, parce que la liberté commence par le sabotage de ce monde qui nous détruit.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Bienvenue-dans-la-poubelle-des « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes en 2008 » (1er janvier 2009).

    Pour écouter une version audio de l’affiche, cliquez ici pour accéder au n° 16 de Basse Intensité.



    [Ce que craint la domination, c’est la révolte généralisée et anonyme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ce que craint la domination, c’est la révolte généralisée et anonyme]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; [18 ?] × [29 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Mauvaises intentions
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (homme bouche grande ouverte et mains sur les tempes) ; photo (homme cagoulé, bras en l’air) ]

    texte :

    Ce que craint la domination, c’est la révolte généralisée et anonyme. L’image médiatique du « terroriste » travaille avec la police en défense de la paix sociale. Le citoyen applaudit ou s’effraie, mais reste de toute façon citoyen, c’est-à-dire spectateur.

    Extrait du livre À couteaux tirés avec l’existant, ses défenseurs et ses faux critiques, (TypeMachine - Mutines Séditions, Nancy, 2008)

    Dossier « anti-terrorisme et mouvance anarcho-autonome » : https://infokiosques.net/mauvaises_intentions


    sources :

    Affiche « Image médiatique du terroriste / Contre le cirque “anti-terroriste” de l’État » présentée sur Indymedia lille : http://lille.indymedia.org/article14398.html (7 décembre 2008).



    [Crachez ici, c’est pour nos fichiers : quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Crachez ici, c’est pour nos fichiers : quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune ) ; 45 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; désobéissance civile
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (long) ; fond jaune (titres en défonce, bordés de noir) ; photos (policier et laborantin) ]

    texte :

    Crachez ici, c’est pour nos fichiers

    Si le code pénal prévoit de punir le refus de prise d’ADN (théoriquement jusqu’à un an ferme et 15 000 euros d’amende), les peines doivent être proportionnelles au délit principal. En pratique, le refus n’est pas systématiquement poursuivi.

    Le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), qui compte déjà 7000 000 échantillons d’ADN, se remplit à une cadence industrielle. À présent, les flics mettent la pression pour prélever la salive lors des gardes à vue, sous n’importe quel prétexte. Refusons ce fichage !

    Parce qu’en accumulant ces données, l’État prétend pister l’ensemble de nos faits et gestes et fournir à travers « l’analyse par l’ADN » la preuve judiciaire que les experts, les médias, la justice présentent comme indiscutable.

    Parce qu’ils utilisent cette arme pour nous foutre la trouille et nous faire tenir tranquilles, et parce que nous n’avons pas l’intention de subir cela sans broncher.

    Parce que ce fichier supplémentaire et le contrôle toujours plus systématique permet à la fois de cibler telle ou telle catégorie à « risques », et de gérer les populations selon les intérêts économiques, sanitaires, migratoires des possédants et de l’État.

    Parce que refuser ce fichage, c’est aussi rejeter la logique de ce monde, où la génétique, comme les autres sciences, nous réduit à des objets de manipulations et de statistiques, et pour lesquelles la planète entière devient champ d’expérimentation.

    Parce que le pouvoir prétend résoudre les problèmes, alors qu’il en crée de nouveaux, comme l’aggravation des famines et des maladies par les OGM. Tout en favorisant, au nom de notre sécurité et toujours pour « notre bien », l’ouverture de nouveaux marchés lucratifs.

    Parce qu’il affirme nous protéger, quand il nous contraint à survivre dans des milieux mortifères sous contrôle médical et policier.

    Quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Quelques-bonnes-raisons-de-refuser « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes » (24 janvier 2009). Elle est annoncée aussi paris sur A-Infos, le 18 décembre 2008, dans Mauvaises intentions n° 2 (janv. 2009).
    Existe une version proche, de 2010 ?.


    [ca  2010]
    Affiche liée



    [Droit au logement autogéré et social]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Droit au logement autogéré et social]. — Lyon : CNT_F (France) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : vidéo  ; logement, habitat  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (petites personnages passant à travers les parois d’un bâtiment) ]

    texte :

    Droit au logement autogéré et social

    Conférence - Débat, le 15 novembre 2008 à 18 h

    ★ projection d’un film
    ★ rencontre avec des militants de l’APAU et du DALAS

    — L’APAU (Atelier Populaire d’Architecture et d’Urbanisme) regroupe des technicienEs du cadre bâti, des habitantEs et des syndicalistes afin de concevoir et réaliser l’espace collectivement sur la base du partage de savoirs, de l’autoformation et de l’autogestion.

    — Le DALAS (Droit Au Logement Autogéré et Social) regroupe des familles, des technicienEs du bâtiment et des syndicalistes de la CNT, qui réfléchissent ensemble à l’élaboration et la construction de logements populaires basées sur l’entraide et la solidarité.

    au local CNT - 44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Bar / casse-croûtes

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    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/AfficheB.jpg


    2008
    Affiche liée


    [Droit dans l’mur ! : journal du Groupe anarchiste Bordelais, n° 3]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Droit dans l’mur ! : journal du Groupe anarchiste Bordelais, n° 3]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (foule manifestante poing levé) ]

    texte :

    Droit dans l’mur !

    journal du Groupe anarchiste Bordelais

    n° 3

    Tout petit rempart contre les abus du patronat, le Code du travail, construit sur 130 ans de rapports de force, est aujourd’hui éclaté et réécrit à l’avantage du capital.

    Code du travail, 100 ans de luttes perdues !

    Diviser les salariés

    Désormais, il n’existera plus un Code du travail mais des codes spécifiques : Code rural, Code de l’action sociale et des familles, Code des mineurs, du transport, des marins, de la fonction publique, etc. Ce sont ainsi 9 millions de salariés qui seront exclus du Code du travail. Chaque branche professionnelle pourra évoluer séparément sans qu’un minimum légal ne vienne empêcher la dégradation des conditions de travail. Les travailleurs divisés seront dressés les uns contre les autres (comme c’est déjà la cas entre public et privé) et les luttes communes rendues plus difficiles encore.

    Ces nouveaux codes ne sont pas encore tout à fait prêts, ils seront complétés au fur et à mesure des besoins par des décrets et des ordonnances, car le gouvernement veut pouvoir modifier le droit du travail sans passer par des lois, en toute discrétion.

    Une dégradation des conditions de travail

    • Augmentation des dérogations pour le travail le dimanche
    • Nouveaux contrats de plus en plus précaires (le « CDD au terme incertain »)
    • tous les accidents du travail pourront être requalifiés en négligence de l’employé : l’employeur n’aura plus à assumer les obligations en matière de protection de la santé, de l’hygiène et de la sécurité des employés.
    • tous les « petits droits » (droit d’allaitement, le port de charge limité à 25 kg, etc.) sont suspendus, modifiés ou supprimés !

    sources :
     

    [ 2018 & ante]

    2011

    2014

    [ 2014 & ante]

    [s.d.]

    [ 2007 & ante]

    [ca  2010]

    [ 2014 & ante]

    [ 2014 & ante]

    2009

    2009

    [ 2007 ?]

    [ 2007 ?]

    2014

    [ca  2010]

    2015
    Affiches liées


    [Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : répression  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (diable dansant) ]

    texte :

    Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts

    Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir dans le sabotage une arme classique des exploités. Il faut vraiment avoir la mémoire courte pour oublier que, dans toute guerre sociale, nombre de révoltés n’attendent pas nécessairement que tout le monde se bouge pour exprimer leur colère.

    Des émeutes de novembre 2005 à celles du CPE au printemps 2006, des occupations d’usines et séquestrations de dirigeants aux nombreux sabotages lors du mouvement cheminot de novembre 2007, il semble clair pour beaucoup que ce n’est pas en mendiant qu’on peut en finir avec une situation de misère et d’exploitation.

    Dans cette société carcérale, on voudrait nous faire croire à coups de Tazers ou de bulletins de vote que nous vivons dans le meilleur des mondes : la démocratie marchande. Les guerres ou l’empoisonnement de la planète au nom du fric viennent pourtant nous rappeler que le capitalisme est un système mortifère et que l’État est un ennemi.

    Alors il faut se battre, pour détruire ce qui nous détruit. Lutter individuellement et collectivement là où l’on est, pour un monde libéré de l’exploitation et de la domination. Et ce n’est ni à leur code pénal ni à leur morale de nous dicter ce que nous avons à faire, mais à la rage et à l’éthique de chacun.

    Le 11 novembre, dix personnes ont été arrêtées lors d’une nouvelle opération du Ministère de la Terreur, accusées des sabotages de caténaires de la SNCF du week-end précédent. Les journaflics et les politicards, chacals de tous bords, se sont aussitôt empressés de dénoncer un imaginaire mouvement « anarcho-autonome », la « MAAF ». Sous ce même prétexte d’ “association de malfaiteurs à but terroriste”, trois camarades sont déjà incarcérés, parfois depuis plus de 9 mois, accusés d’une tentative d’incendie de véhicule de police à Paris (18e) en mai 2007, lors des explosions de colère venues saluer la dernière élection présidentielle.

    En un temps « de crise » où l’État arrose les capitalistes à coups de milliards, il tente une fois de plus d’isoler de « mauvais révoltés » pour mieux les éliminer. Mais peu importe qu’ils soient coupables ou innocents, laissons ces catégories aux charognes en toge et à leurs souteneurs.

    Car de même que la passion pour la liberté ne s’enferme pas dans des sigles, ce que redoute la domination c’est la multiplication diffuse et anonyme de ces attaques. Solidarité contre le terrorisme d’État, avec les moyens que chacun jugera adéquats...

    Brisons le train-train quotidien, 12 novembre 2008


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Du-sabotage-considere-comme-un-des : « Pour télécharger (imprimer, diffuser...) le tract (ou affiche) en PDF », « lu sur Indymedia Nantes (15 novembre 2008).