brun

 

 
 

Affichage par année

134 affiches :

 







    [Agora libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Agora libertaire]. — Toulouse : Agora (Toulouse), [ & post] (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : brun , jaune , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Agora
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ photo (scène de film muet ? : femme (inquiète ?) regardant depuis l’escalier d’une plateforme de wagon) en brun ; texte (adresse de la revue) en jaune ]

    texte :

    Agora libertaire
    BP 3098
    31026 Toulouse cedex
    Tél. : 61.59.21.01


    sources :

    Au dos : texte de promotion pour le magasine Agora et mini Bande Dessinée.

















    [Marxismo populismo e anarchismo, convegno di studi Pisa]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Marxismo populismo e anarchismo, convegno di studi Pisa]. — Pisa Pise : Biblioteca Franco Serantini (BFS_), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 70 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : anarchisme  ; marxisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Russie : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Antonioli, Maurizio  ; Bakounine, Michel (1814-1876)  ; Bongiovanni, Bruno  ; Cinnella, Ettore  ; Coquin, François-Xavier  ; Enckell, Marianne (1944-....)  ; Gura, Aleksandr V.  ; Itenberg, Boris S.  ; Lami, Giulia  ; Masini, Pier Carlo (1923-1998)  ; Natalizi, Marco  ; Squillace, Caterina  ; Tvardovskja, Valentina A.
    • Presse citée  : Rivista storica dell’anarchismo
    • Vie des mouvements  : colloque
    notes :
    descriptif :


    [ programme de la rencontre ]

    texte :

    Dipartimento di Storia moderna e contemporanea, Università di Pisa

     Rivista storica dell’anarchismo

    Marxismo populismo e anarchismo

    Convegno di studi, Pisa, 27-28 novembre 1997

    Giovedì 27 novembre, sala del Consiglio Provinciale (piazza Vittorio Emanuele II)

    ore 9,30 Apertura lavori, presiede Ettore Cinnella

    interventi di :
    Ettore Cinnella, Che cos’è il populismo russo
    Giulia Lami, Michajlovskij teorico del populismo russo
    Caterina Squillace, Il populismo russo nella storiografia polacca
    François-Xavier Coquin, Des populistes aux marxistes : la notion de « masque » dans le mouvement révolutionnaire russe
    Boris S. Itenberg, Marx e i populisti russi

    ore 13 Interruzione

    ore 15 Ripresa dei lavori, presidie Maurizio Antonioli

    Interventi di :
    Valentina A. Tvardovskja, Marx e Bakunin
    Marianne Enckell, Bakunin, l’Internazionale et la Federazione del Giura
    Pier Carlo Masini, Bakunin e l’Italia
    Maurizio Antonioli, Bakunin e la tradizione anarchica

    Venerdì 28 novembre, dipartimento di Storia moderna e contemporanea (piazza Torricelli 3/a)

    ore 9 Presiede François-Xavier Coquin

    Seminario Le prospettive dello sviluppo capitalistico in Russia nel dibattito tra populisti e marxisti

    Il seminario sarà introdotto da Boris S. Itenberg e da Valentina A. Tvardovskaja. Seguirà una comunicazione di Aleksandr V. Gura, La carte di Daniel’son nell’ex Archivio centrale del partito a Mosca

    ore 13 Interruzione

    ore 15 Ripresa dei lavori, presiede Bruno Bongiovanni

    Interventi di :
    Marco Natalizi, Marx e Černysěvskij
    Bruno Bongiovanni, Marx, la Russia e la politica internazionale
    Ettore Cinnella, L’atro Marx : la comune contadina russa e il mondo primitivo nella riflessione dell’Ultimo Marx

    ore 19 Chiusura convegno

    Con il contributo della Provincia e del Comune di Pisa et la participazione della Biblioteca Franco Serantini

    Per informazioni :

    Dipartimento di Storia Moderna e Contemporanea (Università di Pisa), piazza Torricelli 3/a 56126 Pisa ; (prof. Ettore Cinnella) tel. 39 50 911427 e-mail e.cinnella@stm.unipi.it

    Biblioteca Franco Serantini, Largo C. Marchesi - 56124 Pisa, tel.+fax 39 50 570995 e-mail biblser@mbox.pisoft.it — Sito internet http://www.imprese.com/bfs/


    sources :
     


    [Sur la Commune]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur la Commune]. — [S.l.] : Elle n’est pas morte !, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)  ; Debord, Guy-Édouard (1931-1994)  ; Kotànyi, Attila  ; Vaneigem, Raoul (1934-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte de l’Internationale situationniste de 1962 sur la Commune de Paris de 1871 ]

    texte :

    Sur la Commune

    1

    « Il faut reprendre l’étude du mouvement ouvrier classique d’une manière désabusée, et d’abord désabusée quant à ses diverses sortes d’héritiers politiques ou pseudo-théoriques, car ils ne possèdent que l’héritage de son échec. Les succès apparents de ce mouvement sont ses échecs fondamentaux (le réformisme ou l’installation au pouvoir d’une bureaucratie étatique) et ses échecs (la Commune ou la révolte des Asturies) sont jusqu’ici ses succès ouverts, pour nous et pour l’avenir. »

    « Notes éditoriales », Internationale situationniste, n° 7

    2

    La Commune a été la plus grande fête du XIXe siècle. On y trouve, à la base, l’impression des insurgés d’être devenus les maîtres de leur propre histoire, non tant au niveau de la déclaration politique "gouvernementale" qu’au niveau de la vie quotidienne dans ce printemps de 1871 (voir le jeu de tous avec les armes ; ce qui veut dire : jouer avec le pouvoir). C’est aussi en ce sens qu’il faut comprendre Marx : « la plus grande mesure sociale de la Commune était sa propre existence en actes ».

    3

    Le mot de Engels : « Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat » doit être pris au sérieux, comme base pour faire voir ce que n’est pas la dictature du prolétariat en tant que régime politique (les diverses modalités de dictatures sur le prolétariat, en son nom).

    4

    Tout le monde a su faire de justes critiques des incohérences de la Commune, du défaut manifeste d’un appareil. Mais comme nous pensons aujourd’hui que le problème des appareils politiques est beaucoup plus complexe que ne le prétendent les héritiers abusifs de l’appareil de type bolchevik, il est temps de considérer la Commune non seulement comme un primitivisme révolutionnaire dépassé dont on surmonte toutes les erreurs, mais comme une expérience positive dont on n’a pas encore retrouvé et accompli toutes les vérités.

    5

    La Commune n’a pas eu de chefs. Ceci dans une période historique où l’idée qu’il fallait en avoir dominait absolument le mouvement ouvrier. Ainsi s’expliquent d’abord ses échecs et succès paradoxaux. Les guides officiels de la Commune sont incompétents (si on prend comme référence le niveau de Marx ou Lénine, et même Blanqui). Mais en revanche les actes « irresponsables » de ce moment sont précisément à revendiquer pour la suite du mouvement révolutionnaire de notre temps (même si les circonstances les ont presque tous bornés au destructif — l’exemple le plus connu est l’insurgé disant au bourgeois suspect qui affirme qu’il n’a jamais fait de politique : « c’est justement pour cela que je te tue »).

    6

    L’importance vitale de l’armement général du peuple est manifestée, dans la pratique et dans les signes, d’un bout à l’autre du mouvement. Dans l’ensemble on n’a pas abdiqué en faveur de détachements spécialisés le droit d’imposer par la force une volonté commune. La valeur exemplaire de cette autonomie des groupes armés a son revers dans le manque de coordination : le fait de n’avoir à aucun moment, offensif ou défensif, de la lutte contre Versailles porté la force populaire au degré de l’efficacité militaire ; mais il ne faut pas oublier que la révolution espagnole s’est perdue, et finalement la guerre même, au nom d’une telle transformation en « armée républicaine ». On penser que la contradiction entre autonomie et coordination dépendait grandement du degré technologique de l’époque.

    7

    La Commune représente jusqu’à nous la seule réalisation d’un urbanisme révolutionnaire, s’attaquant sur le terrain aux signes pétrifiés de l’organisation dominante de la vie, reconnaissant l’espace social en termes politiques, ne croyant pas qu’un monument puisse être innocent. Ceux qui ramènent ceci à un nihilisme de lumpenprolétaire, à l’irresponsabilité des pétroleuses, doivent avouer en contrepartie tout ce qu’ils considèrent comme positif, à conserver, dans la société dominante (on verra que c’est presque tout). « Tout l’espace est déjà occupé par l’ennemi... Le moment d’apparition de l’urbanisme authentique, ce sera de créer, dans certaines zones, le vide de cette occupation. Ce que nous appelons construction commence là. Elle peut se comprendre à l’aide du concept de trou positif forgé par la physique moderne. » (« Programme élémentaire d’urbanisme unitaire », Internationale situationniste n° 6.)

    8

    La Commune de Paris a été vaincue moins par la force des armes que par la force de l’habitude. L’exemple pratique le plus scandaleux est le refus de recourir au canon pour s’emparer de la Banque de France alors que l’argent a tant manqué. Durant tout le pouvoir de la Commune, la Banque est restée une enclave versaillaise dans Paris, défendue par quelques fusils et le mythe de la propriété et du vol. Les autres habitudes idéologiques ont été ruineuses à tous propos (la résurrection du jacobinisme, la stratégie défaitiste des barricades en souvenir de 48, etc.).

    9

    La Commune montre comment les défenseurs du vieux monde bénéficient toujours, sur un point ou sur un autre, de la complicité des révolutionnaires ; et surtout de ceux qui pensent la révolution. C’est sur le point où les révolutionnaires pensent comme eux. Le vieux monde garde ainsi des bases (l’idéologie, le langage, les mœurs, les goûts) dans le développement de ses ennemis, et s’en sert pour regagner le terrain perdu. (Seule lui échappe à jamais la pensée en actes naturelle au prolétariat révolutionnaire : la Cour des Comptes a brûlé.) La véritable « cinquième colonne » est dans l’esprit même des révolutionnaires.

    10

    L’anecdote des incendiaires, aux derniers jours, venus pour détruire Notre-Dame, et qui s’y heurtent au bataillon armé des artistes de la Commune, est riche de sens : elle est un bon exemple de démocratie directe. Elle montre aussi, plus loin, les problèmes encore à résoudre dans la perspective du pouvoir des conseils. Ces artistes unanimes avaient-ils raison de défendre une cathédrale au nom de valeurs esthétiques permanentes, et finalement de l’esprit des musées, alors que d’autres hommes voulaient justement accéder à l’expression ce jour-là, en traduisant par cette démolition leur défi à une société qui, dans la défaite présente, rejetait toute leur vie au néant et au silence ? Les artistes partisans de la Commune, agissant en spécialistes, se trouvaient déjà en conflit avec une manifestation extrémiste de la lutte contre l’aliénation. Il faut reprocher aux hommes de la Commune de n’avoir pas osé répondre à la terreur totalitaire du pouvoir par la totalité de l’emploi de leurs armes. Tout porte à croire qu’on a fait disparaître les poètes qui ont traduit à ce moment la poésie en suspens de la Commune. La masse des actes inaccomplis de la Commune permet que deviennent « atrocités » les actes ébauchés, et que les souvenirs soient censurés. Le mot « ceux qui ont fait les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau » explique aussi le silence de Saint-Just.

    11

    Les théoriciens qui restituent l’histoire de ce mouvement en se plaçant du point de vue omniscient de Dieu, qui caractérisait le romancier classique, montrent facilement que la Commune était objectivement condamnée, qu’elle n’avait pas de dépassement possible. Il ne faut pas oublier que, pour ceux qui ont vécu l’évènement, le dépassement était là.

    12

    L’audace et l’invention de la Commune ne se mesurent évidemment pas par rapport à notre époque mais par rapport aux banalités d’alors dans la vie politique, intellectuelle, morale. Par rapport à la solidarité de toutes les banalités parmi lesquelles la Commune a porté le feu. Ainsi, considérant la solidarité des banalités actuelles (de droite et de gauche) on conçoit la mesure de l’invention que nous pouvons attendre d’une explosion égale.

    13

    La guerre sociale dont la Commune est un moment dure toujours (quoique ses conditions superficielles aient beaucoup changé). Pour le travail de « rendre conscientes les tendances inconscientes de la Commune » (Engels), le dernier mot n’est pas dit.

    14

    Depuis près de vingt ans, en France, les chrétiens de gauche et les staliniens s’accordent, en souvenir de leur front national anti-allemand, pour mettre l’accent sur ce qu’il y eut dans la Commune de désarroi national, de patriotisme blessé, et pour tout dire de « peuple français demandant par pétition d’être gouverné » (selon la « politique stalinienne » actuelle), et à la fin poussé au désespoir par la carence de la droite bourgeoise apatride. Il suffirait, pour recracher cette eau bénite, d’étudier le rôle des étrangers venus combattre pour la Commune : elle était bien, avant tout, l’inévitable épreuve de force où devait se mener l’action en Europe depuis 1848 de « notre parti », comme disait Marx.

    18 mars 1962

    Attila Kotànyi, Guy Debord, Raoul Vaneigem

    Ces thèses sur la Commune, dont l’actualité ne devrait échapper à personne, parurent le 21 février 1963 dans un tract de L’internationale situationniste intitulé Aux poubelles de l’histoire ! Il révélait un plagiat vraiment démesuré de ces thèses qu’Henri Lefebvre avait fait paraître dans l’ultime numéro de la répugnante revue Arguments paru au début de 1963, plagiat que ce versaillais de la culture réitérera en 1965 dans son livre sur La Proclamation de la Commune. Ce tract fut réédité en fac-similé dans le n° 12 de la revue Internationale situationniste en septembre 1969.

    Achevé d’imprimer le 18 mars 1997. © anticopyright des éditions Elle n’est pas morte !


    sources :
     


    [Inga fler Kristallnätter : upp till kamp mot rasism och fascism]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Inga fler Kristallnätter : upp till kamp mot rasism och fascism]. — Stockholm : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , orange , brun ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suède
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : fascisme et antifascisme  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne : histoire : 1933-1945
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (photo de flammes) ]

    texte :

    Den 9 november 1938 gick nazisterna till attack mot judarna i Tyskland. Händelsen kallas kristallnatten efter allt krossat glas som låg på gatorna. Idag blir fascistiska grupper i Europa och Sverige allt starkare, ett exempel är Sverigedemokraternas valframgång i Haninge kommun. Vi samlas i år för att minnas det som hände för 60 år sedan och visa att det inte får hända igen : hjälp oss stoppa fascisternas framfart och våldet mot minoriteter.

    Inga fler Kristallnätter

    Upp till kamp mot rasism och fascism :

    Fackeltåg måndag 9 november

    från Kungsträdgården till Sergels Torg
    Samling 18.00, avmarsch 18.30

    Tal av :
    Mikael Alonzo, Ungdom mot rasism
    Lars Demetri, Stockholms Zigenarförening
    Föreningen förintelsens minne

    9 novemberkommittén


    sources :
     


    [Magonismo, anarquismo y autogestion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Magonismo, anarquismo y autogestion]. — México Mexico : Biblioteca social Reconstruir : Cambio radical (Mx), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 77 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; art : cinéma  ; art : théâtre  ; autogestion  ; mouvement anarchiste : histoire  ; presse : histoire  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique  ; Mexique : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Aguilar, Edingardo  ; Albro, Ward  ; Alcayaga, Monica  ; Bolaños, Guadalupe  ; Carbo, Margarita  ; Cortés, José  ; Derbes, Alain  ; Escobedo Cetina, Humberto  ; Flores Magón, Ricardo (1874-1922)  ; Garcia, Lilia  ; Garcia, Sabino  ; González M., Enrique  ; Guerrero Hurtado, Práxedis Gilberto (1882-1910)  ; Hernández, Salvador  ; Lida, Clara E.  ; Maldonado, Benjamin  ; Pantoja, Jose  ; Rivera, Librado (1864-1932)
    • Presse citée  : Core  ; Corre la voz  ; Germen (Mx)  ; Machete, El
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…  ; exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; portraits (Magon, Rivera et Guerrero) ] sépia sur blanc

    texte :

    Magonismo, anarquismo y autogestión

    21 de noviembre de 1997 - 16 de septiembre de 1998
    Año ciudadano Ricardo Flores Magón

    Museo universitario del Chopo

    Dr. Enrique González M. #10. Sta. María la Rivera. Metro Revolución.
    Exposiciones : del viernes 4 al domingo 6 de septiembre de 1998.
    “Imagines del magonismo” (grabados del taller de la gráfica popular y fotografías de la fototeca de la ENAH).
    Colección de carteles de eventos anteriores y alternos a las actividades del Colectivo Cambio Radical y Unidad punk libertaria.
    Periódico mural con información Actualizada.
    Talleres : jueves 3 : 17 hrs. Taller de sexualidad (imparte Guadalupe Bolaños).
    Viernes 4 : 17 hrs. Taller de radio (imparte José Pantoja).

    Conferencias :

    Miércoles 2 de septiembre
    19 hrs. “La importancia de las radios comunitarias” : participan : Lilia Garcia y Sabino Garcia (Radio Interferencia).
    José Pantoja, José Cortés (Centro de comunicación y capacitación social AC).

    Jueves 2 de septiembre :
    16 hrs. Vídeo : película Libertarias de Vicente Aranda.
    18 hrs. Conferencia y actividades a cargo del “Colectivo mujeres libertarias.”
    19:30 hrs. Conferencia : Salvador Hernández (escritor e investigador magonista).
    Humberto Escobedo Cetina (centro de estudios magonistas, Oax.).

    Viernes 4 de septiembre :
    17 hrs. Vídeo película : Ora si tenemos que ganar de Raul Kamffer.
    19 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 1a parte. Participan : Clara E. Lida (investigadora del anarquismo, Coegio de México), Margarita Carbo (investigadora magonista UNAM), Alain Derbes (periodista y escritor), Benjamin Maldonado (investigador magonista, INAH).

    Sábado 5 de septiembre :
    16 hrs. Teatro : Tiempos finales de Suarez. Grupo teatro Callejero riza, lagrimas y rebelión.
    17 hrs. Itzilzucunil de Itzuca de Matamoros (corridos magonista y revolucionarios).
    18 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 2a parte. Participan : Monica Alcayaga (investigadora especializada en la figura de Librado Rivera, Universidad Iberoamericana), Edingardo Aguilar (investigador magonista profesor de la UNAM), Ward Albro (profesor de la Universidad de Texas AEM Kingsville).

    Domingo 6 de septiembre :
    14 hrs. Teatro : La Entrevista de Alberto Moravia. Presenta grupo del CLETA UNAM.
    Multifloro Alicia
    Av. Cuauhtemoc 91, Col. Roma, entre Colima y Durango. Metro Cauauhtemoc y N. Heroes.

    Martes 8 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo película Germinal. Conferencia e actividades a cargo del colectivo Acción Libertaria.

    Miércoles 9 de septiembre :
    18 hrs.Conferencia “Publicaciones autogestivas”. Participan los periódicos : Corre la voz y El Machete y los fanzines Germen y Core.

    Jueves 10 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo Película Move Confrontation. Conferencia y actividades a cargo del grupo “Libertad” (grupo de apoyo a presos políticos y Cruz Negra Anarquista).
    Teatro al Air Libre Juventino Rosas (aguascalientes de la casa del lago en el exilio).
    Bosque de Chapultepec 1a sección.

    Miércoles 16 de septiembre :
    12 hrs : “Clausura del Año ciudadano Ricardo Flores Magón” : multiples actividades por confirmar).

    Entrada libre en todas las actividades
    informaes Tel/Fax (5) 512 08 86
    e-mail : libertad@mail.internvet.com.mx

    Biblioteca social Reconstruir
    Colectivo Cambio Radical


    sources :
     





    [Ya basta !, 507 años de resistencia]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ya basta !, 507 años de resistencia]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , brun , papier blanc ) ; 49 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : populations autochtones
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : 1492 & Jour de Christophe Colomb  ; Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ photos ; texte sur le Chiapas ] sépia

    texte :

    Ya basta !

    507 años de resistencia

    1492 : Inicio de una lucha constante para la sobrevivencia. 507 anõs de destrucción y olvido, sin embargo una fuerza profunda del corazon ha sobrevivido y sobrevivira siempre. Desde la conquista española, los autóctonos de America han sufrido masacres, despojos, persecusiones, racismo, y marginalisación. Los indígenas de Chiapas siempre han manifestado resistencia e insurgencia.

    Zapatismo en Chiapas

    […]

    Situación actual contra mayor militarización, mejor resistencia

    […]

    Alto a la guerra en México - Apoyo a la lucha del EZLN !

    […]

    Comité Viva Zapata, 1446 Baulmes tel & fax 024/459 12 47

    Comité jurassien de soutien aux indigènes du Chiapas c/o L. Bron, 2854 Bassecourt

    AG Chiapas, Postfach 7611, 3001 Bern, tel 031/302 66 60, fax 031/302 78 74, agchiapas@hotmail.com

    Representación Alternativa Mexicana, Postfach 5011, 3000 Bern 24, rambern@hotmail.com

    Colectivo Zapatista c/o Molino Zona al Maglio, 6900 Canobbio, tel 091/942 12 90, fax 091/942 12 96

    Comité de Solidarité Chiapas, Girarde 15, 1066 Épalinges, tel 021/784 08 25

    Collectif Viva Zapata, Case postale 1135, 1211 Genève 1, tel & fax 022/733 40 83

    Collectif insurgéEs c/o Squatt Palace, av. de Cour 11, 1007 Lausanne, tel 021/617 39 13

    Direkte Solidarität mit Chiapas, Postfach 8616, 8036 Zürich, tel & fax 01/400 45 69, solidircc@dplanet.ch


    sources :
     

    [ca  1998]
    Affiche liée





    [Karawane]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Karawane]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , bleu , brun , papier kraft ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; contrôle social  ; économie : transports
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (français et allemand, sur une tour d’immeuble) en bleu ; dessin (ville en flammes bleues) ; carte géographique du parcours entre les lacs de Suisse ; photo (manifestation cycliste [du début du 20e siècle ?]) ]

    texte :

    Caravane pour l’autonomie et contre le contrôle social
    parce qu’ils ne sont pas d’accord avec une société de prisons, de salariat, de capitalisme, de frontières, d’oppression, de caméras de surveillance, de fichage policier, de propriété privée et de logement utilitaire, ils ont pris la liberté, des vélos et la route.
    ils viennent dans votre ville, laissez vous emporter.


    Karawane für Autonomie und gegen soziale Kontrolle
    Weil sie nicht einverstanden sind mit einer gesellschaft von gefängnissen, der lohnarbeitdes Kapitalismus, der grenzen, der ausbeutung, der liberwachungskameras und polizeilicher autzeichnung, der privatere entums und nutzungsverhäl[…] haben sie sich die freiheit die fahrräder und die strasse genommen und sich auf den weg gemacht.
    sie kommen in pure stadt, lasst euch mitzichen

    Karawane

    hors contrôle — ausser kontrolle

    www.stop.control.ch.vu


    sources :
     




    [Mammouth]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mammouth]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (mammouth avec casquette « Babar » ]

    texte :

    Mammouth

    Genocid

    Head war

    La Bar

    Sam 8 July

    Matt

    Impuls if

    karl Cock

    Corection odit N

    Jael 1

    Mikoi

    21 h…
    on donation

    3672
    1
    08 07 06


    sources :
     




    [In de ban van het subversieve boek]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    In de ban van het subversieve boek]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 48 × 36 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : édition  ; lutte armée  ; lutte des classes  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne : histoire : 1939-1975  ; Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (main avec cutter) ]

    texte :

    In de ban van het subversieve boek

    24-25 mei 2008

    Pianofabriek — Fortstraat 35, Brussel (Sint-Gillis)

    Vrije toegang

    zaterdag 24 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Furieuse dagen, woedende nachten
    Een blik op de recente sociale explosies in Chili.

    18u Defense Interior, één mei-groep en GARI
    Discussie over de internationale revolutionaire actie in 1961-1975 met Octavio Alberola.

    zondag 25 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Tegen de THT en hun wereld.
    Discussie met kameraden betrokken bij de strijd tegen de hoogspanningslijnen in Normandië en Catalonië.

    15u Rock’n roll and class struggle.
    Discussie over de stakingen, rellen en agitatie in het Verenigd Koninkrijk in de jaren 80.

    18u Discussie met Griekse kameraden over sociale strijden, staatsdepressie en solidariteit met opgesloten kameraden en gevangenen in strijd.

    voor meer informatie : thesubversivebook@gmail.com


    sources :
     



    [Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , brun ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]

    texte :

    Pour des cendres de rétention

    La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.

    Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.

    Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .

    Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.

    Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
    Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.

    Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.

    ...Feu à toutes les prisons


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).


    2009

    2011
    Affiches liées


    [Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]

    texte :

    Pour des cendres de rétention

    La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.

    Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.

    Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .

    Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.

    Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
    Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.

    Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.

    ...Feu à toutes les prisons


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).

    Version « lilloise » grand format.


    2009

    2011
    Affiches liées





    [Beau comme le sourire des insurgés]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Beau comme le sourire des insurgés]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Acrata (Bruxelles), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , brun , jaune ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Indymedia  ; Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (jaune sur fond brun) ; photos n&b (émeutes, tags) ]

    texte :

    Beau comme le sourire des insurgés

    Il n’y a rien d’aussi beau que les visages des insurgés. Rien dans ce monde n’est aussi attirant, n’est aussi rempli d’espoir. Aucun journaliste, aucun politicien, aucun leader religieux ou autre ne pourrait jamais effacer la beauté de la révolte ou l’enterrer sous des discours sans joie ni désir.

    C’est tout d’abord cette beauté qui nous frappe quand nous apprenons des révoltes en cours dans le Nord de l’Afrique et ailleurs. De Tunisie au Liban, d’Égypte à l’Algérie, malgré les dizaines de morts et les milliers de blessés et d’arrestations, la peur est en train de laisser la place au courage ; la tristesse est surmontée par l’espoir ; la misère d’être réduit à survivre se trans-forme en cri de vie.

    On pourrait s’interroger sur les conditions économiques dans ces pays, sur la hausse des prix des denrées alimentaires, sur le chômage, sur les régimes autoritaires et ses polices. On pourrait démontrer comment aussi ici, en Belgique, toujours plus de gens sont jetés par-dessus bord, con-damnés à croupir dans des centres fermés et des prisons, exploités à merci et dans des conditions toujours plus dures, subissants au quotidien l’autorité sous toutes ses formes.

    Mais le temps de se lamenter doit prendre fin. Nous sommes nombreux, ici et ailleurs, à se retrouver coincés par ce monde où seul l’argent compte, où nos habi-tations ressemblent toujours plus à des taudis, où la pollution industrielle nous empoisonne petit à petit. Ceux d’en haut vont pousser leur exploitation et leur domina-ion encore plus loin, ils nous parlent de « crise économique » et nous appellent tous à accepter le durcissement de la vie sur tous les niveaux.

    Évidemment, il y a des différences entre l’ici et le là-bas, même si le règne de l’argent ne connaît pas de frontières, même si un régime, tous les régimes, qu’ils soient démocratiques ou autoritaires, signifieront toujours oppression, enfermement, exploitation. Mais la révolte, elle, dans toute sa beauté, fait exploser les différences. Une banque cramée en Tunisie ou en Égypte appelle à une banque cramée à Bruxelles ; comme la libération de prisonniers par les insurgés en Tunisie appelle au rasement des murs des prisons ici ; comme des hommes et des femmes, côte à côte derrière la barricade, appelle à en finir avec la soumission et le patriarcat.

    Ce qui alimente la révolte, ce n’est pas seulement le dégoût des conditions de misère. Non, l’oxygène du feu de la révolte, dans toutes les langues, c’est un début de liberté, cet inconnu qui est telle-ment absent dans ce monde, mais qui se relève fièrement lors de l’acte de s’insurger. Et alors là, tout peut commencer à changer.

    Laissons donc de côté toutes les analyses des spécialistes politiques, des journalistes chevaliers-de-la-démocratie, de ceux qui s’apprêtent déjà à prendre la place des Ben Ali et des Moubarak de ce monde. Nous sommes simplement du côté de ceux qui, en Tunisie et en Égypte comme ailleurs savent que la liberté, c’est ni la loi ni la sharia, qui ne veulent ni patron ni gouvernement, qui veulent essayer de vivre en hommes libres, parce que, lors de la révolte, ils ont déjà goûté que c’est possible — et que c’est doux.

    Amour et courage pour les rebelles de partout

    Mettons, nous aussi, le feu à la poudrière


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-grand-format-de-solidarite (28 février 2011) et sur http://bxl.indymedia.org/articles/1089 : « Affiche en grand format (A2) de solidarité avec les soulèvements dans le monde arabe. Disponible entre autre à Acrata (32, rue de la grande ile // ouvert chaque mardi de 16h à 20h, chaque jeudi de 17h à 21h et chaque samedi de 14h à 18h) » (20 février 2011).




    [Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; insurrectionnalisme  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Algérie  ; Égypte  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Cette semaine (ca2000-....)  ; Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]

    texte :

    Quelle liberté ?

    Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.

    En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...

    Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?

    Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.

    Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.

    Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.

    Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.

    Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.

    Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.

    Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.

    Pour un monde sans maîtres ni esclaves

    Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !


    sources :
     

    2011
    Affiche liée


    [Reinauguração da Biblioteca da Casa da Lagartixa Preta : homenagem a Saco e Vanzetti]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Reinauguração da Biblioteca da Casa da Lagartixa Preta : homenagem a Saco e Vanzetti]. — Santo André (São Paulo) ; São Paulo : Ativismo ABC_ (Santo André. SP) : Terra livre (biblioteca), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : brun ) ; [36 ?] × [26 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Brésil
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Terra Livre (São Paulo)
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : théâtre  ; mouvement anarchiste : histoire  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Miller, Peter  ; Sacco, Nicola (1891-1927)  ; Vanzetti, Bartolomeo (1888-1927)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (texte d’un livre ouvert) ; dessin (Sacco e Vanzetti) superposé à la photo ]

    texte :

    Reinauguração da Biblioteca da Casa da Lagartixa Preta

    15h : debate : Bibliotecas e Arquivos anarquistas
    17:30 : teatro : Cartas de Tamara (presa política)

    Homenagem a Saco e Vanzetti

    18h : filme : Sacco e Vanzetti (2006), Peter Miller, 80 min

    ***

    27 de agosto — Sábado

    Casa da Lagartixa Preta Malagueña Salerosa
    R. Alcides de Queirós, 161 - Casa Branca - Santo André — SP

    ***

    Realização : Ativismo ABC e Biblioteca Terra Livre

    * ativismoabc.org * bibliotecaterralivre.wordpress.com *


    sources :

    Mail (2011/08) :

    O Ativismo ABC e a Biblioteca Terra Livre convida para a (RE)Inauguração da Biblioteca da Casa da Lagartixa Preta e Homenagem à Sacco e Vanzetti.

    CARTAZ:
    http://i1113.photobucket.com/albums/k519/bibliotecaterralivre/CARTAZBIBLIOSACCO-4.jpg

    (RE)Inauguração da Biblioteca da Casa da Lagartixa Preta

    A biblioteca foi reformada e está tomando nova forma, compreendida por uma organização do acervo mais clara e, em breve, com horários de funcionamento (para consulta e empréstimo de livros, grupos de estudos...).

    Assim, para comemorar a reabertura da biblioteca convidamos para uma atividade especial no dia 27 de agosto, com conversas, apresentação de vídeo e comida vegana...

    Programação a partir das 15:00 h.:

    Lançamento da edição nº8 do nosso periódico EL SALEROSO...

    15h. - Debate sobre a importância das bibliotecas e arquivos anarquistas, com Biblioteca Terra Livre e Ativismo ABC.

    17:30 h. - Esquete teatral sobre as cartas de Tamara (presa política na Espanha) com Raísa.

    19 h. - Exibição do documentário Sacco e Vanzetti, em lembrança ao assassinato destes dois anarquistas, que ocorreu em 27 de agosto de 1927.

    Sinopse:

    "Sacco e Vanzetti" - Documentário (2006) - 80 min
    Direção: Peter Miller

    Documentário que conta a história de dois anarquistas italianos julgados e
    assassinados nos EUA em 27 de agosto de 1927. Contém entrevistas com
    pesquisadores, historiadores e ativistas como Howard Zinn, além de imagens
    e documentos da época. O caso Sacco e Vanzetti tornou-se mundialmente conhecido e mobilizou protestos contra a execução dos anarquistas em vários países. Até hoje o tema é uma ferida profunda na história dos EUA.

    A atividade é aberta e gratuita.

    Casa da Lagartixa Preta:
    Rua Alcides de Queirós, 161 - Bairro Casa Branca - Santo André - SP
    (Próxima a Estação de Trem Celso Daniel/Santo André, Terminal de Onibus,
    SENAI, ELETROPAULO)

    Mais informações:

    ativismoabc.org - fotolog.com/ativismoabc - ativismoabc@riseup.net
    bibliotecaterralivre.wordpress.com – bibliotecaterralivre@gmail.com

    — 
    Biblioteca Terra Livre


    2017

    1977

    1985

    2010
    Affiches liées