CIRA (Lausanne)
Centre international de recherches sur l’anarchisme (CIRA, Lausanne)
CIRA (Lausanne)
Centre international de recherches sur l’anarchisme
Voir en ligne : http://www.cira.chAv. de Beaumont 24
CH-1012 Lausanne
SuisseinfoⒶcira.ch
métro m2 depuis la gare jusqu’à l’hôpital (CHUV), ou sortie autoroute Hôpitaux.
Pour le CIRA Lausanne, les références indiquées sur les notices de ce site sont souvent de type :
Affxxxx, Affyyyy - XXXXXX (cira L)
— la première partie (commençant par Aff) correspond aux inventaires physiques des affiches ;
— la seconde partie correspond à la notice électronique propre au logiciel (http://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=XXXXXX) utilisé, ici PMB.
2724 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ long texte ; photo (skyline de ville et/ou d’usine) ]
- texte :
Es gibt keine Naturkatastrophen
Tausende und Abertausende von Toten und Vermissten, Millionen von Leuten, die praktisch alles verloren haben. Ganze Dörfer dahingefegt. Als ob Japan nicht von einem Erdbeben, sondern von Atombomben getroffen wurde. Als ob die Häuser nicht von einem Tsunami, sondern von einem Krieg verwüstet wurden. Und im Grunde ist dies auch der Fall. Nur, dass die Feinde, die so hart zuschlagen, nicht die Erde oder das Meer sind. Es sind nicht die Rachemittel einer Natur, an deren feindliche Betrachtung wir uns bereits gewöhnt haben. Der Krieg, der nun schon seit Jahrhunderten andauert, verläuft nicht zwischen der Menschheit und der natürlichen Umwelt, wie uns viele gerne glauben machen würden, um sich unsere Disziplin zu sichern. Der Krieg sind wir. Die Menschheit ist der Krieg. Die Natur ist bloss sein Schlachtfeld.
Wir sind der Grund für die Überschwemmungen, indem wir mit unserer industriellen Tätigkeit das Klima veränderten. Wir haben die Dämme der Flüsse durchbrochen, indem wir ihre Betten zementierten und ihre Ufer entwaldeten. Wir haben die Brücken einstürzen lassen, indem wir sie mit billigem Material bauten, um mehr Profit zu schlagen. Wir haben ganze Dörfer vom Boden weggefegt, indem wir Häuser in Gefahrenzonen errichteten. Wir haben den Planeten verseucht, indem wir Atomkraftwerke bauten. Wir haben es unterlassen, Vorkehrungen gegen solche Ereignisse zu treffen, da unsere einzigen Sorgen die Öffnung neuer Einkaufszentren und Geschäfte sind. Wir haben es zugelassen, dass all dies geschieht und sich wiederholt, indem wir die Entscheidungen, die doch unser Leben betreffen, an andere delegierten.
Und jetzt, nachdem wir die Welt verwüstet haben, um uns schneller fortzubewegen, um schneller zu essen, um schneller zu arbeiten, um schneller Geld zu verdienen, um schneller Fernseh zu schauen, um schneller zu leben, wagen wir es, uns darüber zu beklagen, wenn wir feststellen, dass wir auch schneller sterben ? Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen.
Wenn wir nicht weiterhin Opfer von unvorhergesehenen Erdbeben, von aussergewöhnlichen Überschwemmungen, von unbekannten Viren oder vielem anderem bleiben wollen, bleibt uns nichts, als gegen unseren wirklichen Feind vorzugehen : unsere Lebensweise, unsere Werte, unsere Gewohnheiten, unsere Kultur, unsere Gleichgültigkeit.
Nicht der Natur müssen wir dringend den Krieg erklären, sondern dieser Gesellschaft und all ihren Institutionen.
Wenn wir nicht fähig sind, ein anderes Leben zu erfinden und für dessen Realisierung zu kämpfen, dann bereiten wir uns darauf vor, in jenem zu sterben, das andere für uns bestimmt und uns aufgezwungen haben. Um in Stille zu sterben, sowie wir immer in Stille gelebt haben.
es gibt nur soziale Katastrophen
Traduction de "Non esistono catastrofi naturali", affiche placardée à Florence - Italie (mars 2011). L’originale porte l’inscription : "fi p 17/3/11 - via Sievert, Un"
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[texte ; dessin (un poing noir levé, une main rouge ouverte) ]
- texte :
Face à leur justice, on ne se taira pas !
Création d’un fonds de soutien aux militants
Sérigraphie éditée en soutien au CRRIMMS.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — +O miroir de Vénus ♀ — étoile (noire …) ★ — drapeau noir ⚑ — pavillon pirate (Jolly Roger) ☠ — squelette humain / crâne — tête de mort ☠ /B_tout>
[ texte ; dessin (barricade de pavés avec personnages animaux humanisés) ]
- texte :
Festival Maloka contre le sommet du G8
Vendredi 27 mai - 20 h
Antidotum (anarcho punk - Poland) — Mopish Moment (reggae dub punk - Bordeaux) — Haymarket (anarcho punk ) Nantes) — Chicken’s Call (hxc punk - Grenoble) — Trashcat (punk - London) — Gasmak Terror (d-beat punk - Bordeaux)
Samedi 28 mai - 18 h
Le Prince Ringard (punk songs) — K-Listo (hop-hop) — Cartouche (méli-mélodic punk - France) — AOS 3 (dub punk - UK) — Czoznek (anarcho punk - Poland) — Hello Bastard (crust punk - UK) — Cervelli Skanky (street punk oï - Italy) — Branlarians (ska - France) — Burning Lady (punk rock and roll - France)
Débats, projections et interventions sur le G8
Cuisines vegans - Camping gratos - Tables de presse
No dogs No masters ! - 7 euros par soir - 12 euros les 2 jours
Espace autogéré des Tanneries - 15, bd de Chicago, 21000 Dijon
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin couleurs (visage de femme style années 50) ]
- texte :
Feu à toutes les prisons !
La prison... On en a tous vaguement une idée, un reportage à la TV, un énième assassinat de l’administration pénitentiaire à la rubrique faits divers des journaux du jour, de brèves indignations à peu de frais par-ci par-là. On en entend tous parler, et on fait comme si cela n’existait pas. Comme si chaque jour des dizaines de milliers d’entre-nous n’étaient pas les otages de l’État, seuls dans leurs périples carcéraux individuels, isolés de tous et réprimés en silence. Pourtant nous sommes tant à avoir un frère, une amie, un cousin en taule, à visiter un proche incarcéré au parloir, nous sommes tant à finir par trouver cela banal. Un petit séjour en taule, après tout, on est pas mal à y avoir gouté, une fois, deux fois, trois fois ou plus, de près ou de loin, dans les faits ou par procuration.
Enfermer des êtres humains dans des cages de quelques mètres carrés pendant des mois ou des années, annihiler toute volonté en eux, les presser comme des citrons, les briser, les empêcher d’aimer, les harceler, les droguer, les frapper, les juger, les tuer, les traiter comme personne n’ose traiter de la merde et les soumettre à un travail de forçat ; la taule, c’est la barbarie dans toute sa banalité, c’est le règne total d’une poignée de sadiques et de petits exécutants obéissants. C’est le dernier souffle d’une balle qui vient se loger droit dans notre tête pendant que tout le monde regarde ailleurs, trop préoccupé par sa propre misère. C’est la manière par laquelle ce monde se venge contre ton anormalité ou contre la concurrence. C’est une des manières par lesquelles ce monde force la paix.
La prison a au moins un mérite, avec elle les choses sont claires : pas de bla-bla ou presque, une société qui a besoin de prisons pour se maintenir est une société qui a déclaré la guerre à une partie d’elle-même. Une société qui s’enorgueillit de gérer avec tant de violence ces usines de mort est une société qui offre son cou à la guillotine de la révolte, qui justifie la nécessité de sa destruction. Ils auront beau réformer les prisons en long et en large, plaquer les cellules d’or, les climatiser ou raccourcir la taille des matraques, les coups feront toujours aussi mal et la prison restera le même problème qu’elle aura toujours été. C’est l’audace de la liberté qui importe, pas la lâcheté du statu quo de l’aménagement de la contrainte.
Une prison acceptable est une prison qui brûle !
On parle déjà d’une trentaine de morts en détention depuis le début de l’année. On ose encore nous parler de suicides et d’accidents... On ose insinuer qu’il est anodin de se pendre dans une prison, qu’il est anodin de mourir « accidentellement » sous les coups des matons ou d’autres détenus. On nous parle de « suicides » pour faire croire que ce n’est pas l’Administration Pénitentiaire et l’État qui tuent. Mais nous affirmons que chaque mort en prison est un assassinat de l’Administration Pénitentiaire et de l’État. Considérer les choses autrement, c’est affirmer que les conditions de vie du dehors et du dedans sont les mêmes. C’est affirmer que la prison n’existe pas. Et pourtant le dedans et le dehors ne se différencient que par leur degré d’intensité. La prison n’est rien d’autre que le reflet exagéré de cette société qui se regarde dans un miroir grossissant.
Tout est pire que dehors en prison, et pourtant, tout est tellement pareil que dehors...
La même merde, les mêmes mécanismes autoritaires, la même domination, la même violence inhérente à la paix sociale, le même fichage, les mêmes rapports dégueulasses entre les gens, qu’ils soient économiques ou sociaux.
Il est si difficile de parler sereinement de la prison. Il est si difficile de ne pas se laisser plomber par l’atmosphère poisseuse qu’elle disperse autour de nos vies. Mais ce ne sont pas des larmes qui en viendront à bout, au contraire, on ne peut que se noyer avec des larmes. L’indignation, elle, n’a jamais fait tomber un seul mur, et l’on ne viendra jamais à bout de la prison par le biais du Droit ou de la Loi, puisque c’est de leurs pierres qu’elle est construite.
Dans cette société qui a besoin d’enfermer : prisons, psychiatrie, centres de rétention, gardes-à-vue, internats, écoles, maisons de retraite, camps humanitaires, usines, hôpitaux, centres éducatifs fermés, barres d’immeubles, établissements de réinsertion scolaire etc. Dans cette société où certains font le choix de devenir mâtons, juges ou flics, notre choix est clair : Feu à toutes les prisons. Feu à l’État.
Les prisons doivent être détruites une par une, pierre par pierre, maton par maton, juge par juge.
Détruisons les prisons en détruisant la société, parce qu’une société qui a besoin d’enfermer et d’humilier est elle-même une prison.
Détruisons les prisons avec rage et joie.
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-Feu-a-toutes-les-prisons : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, juin 2011 » (10 juin 2011).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (blanc sur noir) ; dessin (heroic-fantasy, 7 punks et un hibou derrière un feu) ]
- texte :
Frost Punx Picnic VII
Love Potion (Schneller melodischer HC, DK) - Depths of insanity (Alte Schule Crust/Metal, Bremen) - Cyness (Grinf Gind Grind, Postdam) - T-34 (Alte Schule der Fixen Derben mache, Hannover) - MVD (Krustige Punk-Keule, Berlin) - Punk-o-Mat (punk-karaoke-sensation, D’Dorf) - Martyrdöd (Crust-Zerstörung, S) Bluttat (HC/Punk-Klopper der ersten Stunde, Loakl) - Hellborn Messiah (Metallischer HC, Freiburg) - Planks (Dampfwalze, made in Mannheim) - Childrend of Technololy (rustikaler Matalpunk, I) - Protest Grotesk (Hoffungstäger des Motörhead-Punk, ’Pott) + spezial Gäste
25.+26.02.11 az Mülheim
Punk-Seminar+ Ofen + Kickerturnier + Essen + Disco + Quiz + Bier
Schlafplätze Vorhanden (Isomatte Mitbringen)
Info 0208/4445633 + www.frostpunk.de
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte (sur l’incendie du centre fermé 127bis à Steenokkerzeel) ; photo (femme, en sous-vêtements et lunettes de plongée, tirant la langue) ; fondphoto (silhouettes écrivant « Liberté » dans la neige) ]
- texte :
Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam…
Onlangs nog besloten enkele gevangenen kun cel in het asielkamp van Steenokkerzeel in brand te steken. Een slaapzaal gaat in vlammen op. Eens de flikken ter plaatse gekomen, werd een hele vleugel ontruimd en een veertigtal gevangenen snel overgeplaatst naar andere centra. Alles werd in het werk gesteld om ontsnappingen te voorkomen. Veel meer weten we niet. Maar we weten dat deze daad ons aanspreekt, hij heeft weinig verdere precisering nodig. Aangezien de Staat, en zijn lijkenpikkers van dienst de journalisten, tracht om de daden van rebellie aan mogelijks medeplichtige ogen te onttrekken, veranderde de versie van de feiten alvorens ze aan de marge van de nieuwtjes verdween. Het doet er ons weinig toe of één persoon dan wel vier personen gehandeld hebben die avond, of de materiële schade aanzienlijk was of niet ; wat ons inspireert is de keuze om te handelen, direct, zonder wat dan ook te vragen, tegen wat ons opsluit.
In een poging deze uitbarstingen van revolte uit te doven, presenteert de Staat zijn antwoorden. Tien nieuwe gevangenissen worden de komende jaren gebouwd. Op enkele stapper van het bestaande gesloten centrum bouwen verbeten of net gelaten arbeiders, voor de rekening van Besix en Valens aan een nieuw kamp voor weerspannigen. Zoals diegenen die net hun cel in de fik staken. Een daad die niet alleen staat.
Sinds jaren woedt de agitatie rondom de gevangenissen. Rebellieën volgen elkaar op, net zoals de ontsnappingen en de confrontaties met de cipiers. Buiten vinden de revoltes echo’s. Rellen breken uit in sommige buurten, de collaborateurs van de gevangeniswereld worden geviseerd. De bedrijven die de kerkers bouwen, diegenen die de deportatiemachine doen draaien, de flikken van alle slag, allen delen ze in de klappen.
Tegenover de bedwinging van éénieders vrijheid komt het erop aan om diegenen aan te vallen die zich inspannen om deze wereld van opsluiting in stand te houden, aan de haard, in de kerk, op school en op het werk.
Omdat het nooit te vroeg is om te revolteren, omdat een strijd tegen elke vorm van autoriteit en overheersing hetgene waar we naar verlangen reeds onthult.Maak kapot wat je kapot maakt
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo et graphisme à dominante rouge et noire (Visage coupé en deux : à droite, photo du visage d’une vieille personne (photo utilisée par plusieurs centres de santé sur internet), à gauche, visage en rouge et noir) ]
- texte :
Rigueur, chômage, précarité, retraites
L’État et le patronat ruinent nos vies pour leurs profits
Luttons pour la répartition égalitaire des richesses
www.c-g-a.org
CGA, Coordination des groupes anarchistes
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; filigrane (« A cerclé ») ]
- texte :
La prison, c’est
- un suicide tous les trois jours
- un salaire de misère pour un boulot d’esclave !
- la négation totale de a dignité humaine par la surveillance et la violence !
Le système carcéral, c’est
le vrai visage du capitalisme et de la répression étatique !
La prison a fait son temps, qu’elle crève avec le capitalisme et l’État
Révolution sociale et libertaire !
Fédération anarchiste
145, rue Amelot - Paris 11 — www.fédération-anarchiste.rg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte (sur Fukushima, le nucléaire en France et dans le monde) ; montage photo (trois personnes avec masques à gaz devant champignon atomique) ]
- texte :
La routine du désastre
Les nouvelles de la catastrophe de la centrale atomique de Fukushima au Japon tournent en boucle. Les infos fusent pour l’instant, c’est un véritable bombarde-ment, mais rien ne perce.
Les journalistes, experts et politiciens se garderont bien de préciser que derrière la catastrophe, c’est un quadrillage et une gestion militaires qui s’instaurent. En plus d’être contaminé, chacun sera en permanence contrôlé, testé, mesuré, surveillé, et déplacé dans des zones où toute liberté, initiative individuelle, et par-celle d’autonomie, auront disparu sous le règne kaki.
Leur propagande préfère faire croire que ces opérations désespérées d’acheminement d’eau, de sable que leurs mesures martiales de confinement et leurs pauvres distributions de pastilles d’iode ont pour but notre santé. Pourtant si c’était vrai, un petit nombre de pays ne la mettraient pas en péril permanent en s’engageant dans la voie du nucléaire. Derrière cette monstruosité se cachent d’énormes intérêts économiques et stratégiques. Depuis le début, nucléaires civil et militaire sont complètement imbriqués, et l’histoire du développement de cette technologie est entièrement liée à un jeu mortifère entre puissants.
La routine du désastre est déjà présente, à travers la multiplication quotidienne de ce que ces autruches du nucléaire qualifient par euphémisme d’« incidents ». Ils nous promettent par exemple maintenant de vérifier l’état actuel des 58 réacteurs du territoire français, mais ne disent bien sûr rien des problèmes insolubles posés par les déchets radioactifs qui dorment sous nos pieds dans près de 1000 sites, ni des nombreux cancers et leucémies que subissent celles et ceux qui vivent aux abords des installations nucléaires. Sans compter toutes les barbouzeries au Niger et au Gabon, où Areva exploite la main d’œuvre locale en la condamnant à une
mort lente en même temps que toutes celles et ceux qui habitent près des mines d’uranium.En vrai, on pourrait tout de suite se passer du nucléaire et du monde qui le produit. Les écologistes et autres ONG à la sauce verte ne parlent que d’une pseudo « sortie » du nucléaire d’ici 20 ou 30 ans, pour ne pas froisser leurs soutiens étatiques et leurs potentiels électeurs. En véritables sauveteurs du capitalisme, ils espèrent occuper un rôle de contre-experts pour être associés à sa gestion actuelle.
L’État tient le rôle du pompier pyromane. Il est celui qui a mis en place tout ce merdier et qui fait main-tenant mine d’être le protecteur, le seul à pouvoir assurer la sécurité des populations.
Jamais .e monde renverser n’avait trouvé de meilleur garant. Un possible figé qui, à part connaître l’empoisonnement et la militarisation de cette planète, verra à peu près toujours les mêmes en haut et les autres en bas, les mêmes qui « savent » et les autres qui suivent.
Ce qu’ils craignent réellement, ce n’est pas le désastre en cours et à venir, ce ne sont pas non plus les appels de leurs sbires citoyennistes à une « meilleure » gestion de l’existant, tous parlent encore la même langue du mal nécessaire.
Ce qu’ils ont par contre à redouter ce sont des luttes contre le nucléaire et le monde qui va avec.
Parce qu’ils nous moudraient tous cobayes résignés et désemparés. Parce que la liberté commence par le sabotage de ce monde qui nous détruit.
Ni cobayes ni moutons,
Fin mars 2011- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; peinture (gâteau avec bougies "30" et pylône radio émettant) ]
- texte :
Les 30 ans de Radio Libertaire
Radio libertaire 89.4 MHz
http://rl.federation-anarchiste.org
Il existe au moins deux versions : fond bleu sur papier couché épais, fond bleu-mauve sur papier ca80 g.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; peinture (gâteau avec bougies "30" et pylône radio émettant) ]
- texte :
Les 30 ans de Radio Libertaire
Radio libertaire 89.4 MHz
http://rl.federation-anarchiste.org
Il existe au moins deux versions : fond bleu sur papier couché épais, fond bleu-mauve sur papier ca80 g.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; peinture (gâteau avec une bougie noire et pylône radio émettant) ]
- texte :
Les 30 ans de Radio Libertaire
Radio libertaire 89.4 MHz
http://rl.federation-anarchiste.org
Il existe au moins deux versions : sur papier couché épais, fond sur papier ca80 g.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; gsaphisme (bras levant drapeau noir, bras levant un micro) ]
- texte :
Les 30 ans de Radio Libertaire
Radio Libertaire 89,4 MHz
http://rl.federation-anarchiste.org- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin : Anarchik ? souriant et allumant une bombe de libres et journaux ]
- texte :
Librairie champêtre libertaire
Dimanche 29 mai 2011, de 10 à 19 heures au Château de Ligoure, Le Vigen - 87
[plan d’accès]
Entrée libre — Repas prix libre
[dessin]
Défaites… vos idées toutes faites sur l’Anarchie
Organisé par le Cira Limousin (Centre international de recherches sur l’Anarchisme)
Imprimerie 34, Toulouse
L’affiche contient une coquille « (Centre Internationnale…) ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (blanc au noir) : mise en page type article autour d’une image) ; dessin : personnages au dessus du crane avec code barre ]
- texte :
Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas
Nous pucer comme du bétail : voila le dernier projet des élus de Lille Métropole. C’est prévu pour fin 2011.
Les puces RFID sont de minuscules étiquettes électroniques qui contiennent des informations personnelles (nom, prénom, adresse, mail, photo…) et sont lisibles à distance. Bientôt, elles équiperont les cartes et les tickets de transport de toute la région : bus, métro, TER, tram, parkings, vélos « libre service »… Finis les tickets en papier, la carte à puce sera obligatoire et permettra à Transpole de contrôler et d’enregistrer tous nos déplacements.
Le fichier des clients de Transpole sera échangé avec des enseignes commerciales « partenaires ». À partir de nos profils et habitudes de déplacements, nous serons assaillis de publicités personnalisées.
La « liste noire » des fraudeurs sera échangée avec la SNCF et les réseaux de bus du bassin minier, Douai, Valenciennes et Dunkerque. Les contrôleurs munis de leur « Compteur de courtoisie » auront accès à l’identité des voyageurs et pourront mettre des amendes plus ou moins chères selon le nombre d’amendes déjà reçues par le porteur de la carte.
Mais ce n’est pas tout. Pour 2012, Lille Métropole veut étendre le Pass transport pour un faire une « Carte de Vie Quotidienne ». Nous devrons biper à l’entrée des bibliothèques municipales, des cantines scolaires, des salles de sport, des cinémas locaux, des crèches… Et cette carte pourra servir de moyen de paiement.
Nous ne sommes pas du bétail ou des numéros qu’on gère, contrôle et surveille en temps réel. Nous ne voulons pas être les proies des marchands de bonheur. Nous ne voulons pas être des éternels suspectEs. Nous voulons fuir ce contrôle total. Nous voulons rester anonymes et avoir droit à l’oubli. Nous fuirons cette course infernale qui nous oblige à être toujours plus mobiles, justes bons à consommer, vendre ou fabriquer des merdes.
« Ce mauvais scénario de science-fiction n’est pas une fatalité. Nous le ferons trébucher. »
Affiche peut-être éditée par la Mutuelle des fraudeurs et un collectif Anti-RFID.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte manuscrit ; dessin silhouetté : femme sautant par-dessus une barrière de transport (type métro parisien) ]
- texte :
Mutuelle des fraudeurs
transport gratuit pour tous
[dessin]
Affichée notamment lors d’une soirée de soutien à la mutuelle des fraudeurs, à Lille, au Centre culturel libertaire (CCL, 22 janvier 2011). Photocopie A3. Cette affiche existe aussi en banderole.
À noter que la manœuvre de fraude imagée correspond aux transports à Paris, par exemple (du fait de la barre franchie en sautant), mais pas à ceux de la région de Lille (absents à l’époque).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin : patron à cigare tendant, au bout d’une perche, une carotte orange à un âne à « A cerclé » boudant sur un tabouret ]
- texte :
Ni carotte ni bâton, refusons leur consommation !
[dessin signé] Lasserpe
Ni croissance, ni patron, autogestion !
Fédération anarchiste
www.federation-anarchiste.org
Impression quadri sans indication d’imprimerie.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (beaucoup de légendes) ; carte de France ]
- texte :
Nucléaire : danger permanent
[…]
Réseau sortir du nucléaire
Agissez avec nous pour un monde sans nucléaire !
[…]
3e édition : juillet 2011. Imprimé sur papier recyclé à 100 % avec des encres végétales par un imprimeur labellisé Imprim’Vert.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (sur fond beige doré avec « A cerclé » rouge) ; montage photographique couleurs central : dirigeants politiques, économiques et religieux et militaires tenant des carottes et se gardant des sacs d’euros ; ils ont perchés en haut du montage, sur un robot et entourés d’hélicoptères militaires lachant des logos (Secours populaire français, Restaurants du cœur, Bourse aux vêtements) ; sur le bas : policiers casqués protégeant un coffre-fort géant et des sacs d’euros, gens massacrés, ouvriers ]
- texte :
Pour les anarchistes, l’autogestion, ce n’est pas gérer son propre patrimoine,
[montage photographique]
c’est exproprier le patronat, détruire l’État,
c’est supprimer le profit privé ou d’État, la hiérarchie, le salariat,
c’est décider ensemble des conditions de travail, des types de production,
c’est le moyen de construire une société égalitaire et libertaire.
Révolution sociale et libertaire !
www.federation-anarchiste.org
Impression quadrichromie, sans indication d’imprimeur.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; filigrane (milicienne de la guerre d’Espagne allumant une bombe/grenade) ]
- texte :
Pour ses 30 ans, Radio libertaire allume les bougies !
Débats, concerts, restauration
Samedi 29 octobre
14 h
Philosophies anarchistes. Eduardo Colombo, Irène Pereira, Zones d’attraction (Charlotte Hess, Valentin Schaepelynck, Marcello Vitali-Rosati), Hugues Lenoir (Chroniques syndicales).15 h
Historique de l’Internationale anti autoritaire avec René Berthier
Présentation des Rencontres internationales de l’anarchisme, Saint-Imier 2012, avec May Dubuis et Michel Nemitz de la Fédération des Montagnes (Suisse).16 h
Féminismes et anarchistes. Avec « Femmes libres » et Maria Eleonara Sanne (chercheuse - Zones d’attraction).17 h
Edouard Nenez et les Princes de Bretagne, punk rock18 h
Roçé, rap et plus19 h
Black Stout, punk rock street21 h
Joke, rock coulé dans l’est de l’Europe punkDimanche 30 octobre
14 h
L’autogestion : histoires et pratiques. Avec Remi Hess (socianalyste), animé par Serge (Trous noir, La Plume noire).15 h
L’expérience des GEM (groupe d’entraide mutuelle) avec Sylvie.16 h
Les alternatives en acte avec Françoise Attiba (centre Artaud, Reims, GEM la Locomotive).
Le Lycée autogéré de Paris, AMAP, Dionyversité, la Conquête du pain.17 h
Pennequin Pauvros, poésie sonore et visuelle18 h
Céline Pessoa, chanson française19 h
Serge Utgé Royo, chanson française20 h
Tomasi, chanson française21 h
Les Chanteurs livreurs, chanson françaiseRadio libertaire fête ses 30 ans !
Le 29 et 30 octobre de 13 h à 22 h
Salle Olympe de Gouges, 11, rue Merlin, 75011 Parisrl.federation-anarchist.org [logo (chat de RL avec chapeau de fête) :] Radio libertaire : la voix sans maitre !, 89.4 MHz
TdL / 21 octobre 2011
Affiche parue encarté dans Le Monde libertaire n° 1648 (27 octobre-2 novembre 2011).
Une erreur sur l’adresse web (« anarchiste » écrit « anarchist ») ; une erreur de nom (« Pereira » écrit « Peireira »).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]
- texte :
Quelle liberté ?
Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.
En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...
Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?
Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.
Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.
Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.
Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.
Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.
Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.
Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.
Pour un monde sans maîtres ni esclaves
Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; montage (photo [pétales rouges enroulés) et peinture) abstrait ? (personnage au micro) ]
- texte :
Radio libertaire 89,4 MHz FM
radio-libertaire@federation-anarchiste.org
rl.federation-anarchiste.org© Édouard Nono
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo re structurées en bandes colorées horizontales et multicolores) ]
- texte :
Radio Libertaire 89.4 MHz FM
rl.federation-anarchiste.org — radio-libertaire@federation-anarchiste.org
Imprimée sur carte couchée, du côté rugueux.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (peint, blanc sur noir) ; peinture (chien habillé portant un drapeau « Ni dieu, ni maitre ») signé : Les Chats pelés ]
- texte :
Radio libertaire fête ses 30 ans
Le 29 et 30 octobre, de 13 h à 22 h
Salle Olympe de Gouges - 15, rue Merlin, 75011
M° Père Lachaise, Voltaire
Débats - Concerts - Restauration
Radio Libertaire - 89.4 MHz — http://rl-federation-anarchiste.org
imprimerie.ravinbleu.org
Reprise, avec nouveau texte, de l’affiche des 25 ans par Les Chats pelés : « Radio libertaire, 25 ans ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (chien portant une drapeau noir « Ni dieu ni maitre ») signé Les Chats Pelés ]
- texte :
Radio libertaire fête ses 30 ans
Le 29 et 30 octobre de 13h à 22 h
Salle Olympe de Gouges • 15, rue Merlin, 7501
M° Père Lachaise, VoltaireDébats — Concerts — Restauration
Radio Libertaire 89.4 MHz — http://rl.federation-anarchiste.org
Affiche parue dans Le Monde libertaire n° 1647 (20-26 octobre 2011). Reprise d’une affiche des 25 ans de Radio libertaire. Il en existe d’autres tirages.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (dessin circulaire avec chat noir émettant des ondes contenant une étoile noire « Ni dieu ni maitre ») dans un cadre clouté par des « A cerclé » ]
- texte :
rl.federation-anarchiste.org — radio-libertaire@federation-anarchiste.org
Radio libertaire, 89.4 MHz FM
ni dieu ni maitre
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (parfois en pseudo 3D) ; dessins (nombreux drapeaux noirs, en 3D avec « A cerclé ») ; fond pseudo-cartographique au trait) ; impression en quadri à dominante rouge et noire ]
- texte :
Radio libertaire
89.4 MHzhttp://rl.federation-anarchiste.org
fête ses 30 ans !
Salle Olympe de Gouges
le 29 et 30 octobre, de 13 h à 22 h
15, rue Merlin, 75011
débats — concerts — restaurationAffiche parue dans Le Monde libertaire n° 1646 (13-19 octobre 2011) [1].
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image : policier casqué avançant avec une matraque (multiplié à 11 exemplaires), hélicoptères (3 exemplaires) ]
- texte :
Raid policier à Wazemmes
53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?
Une autre affiche — de même titre et également non signée — a souvent été placardée conjointement : Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?. Les arrestations ont eu lieu au concert programmé ici : Soirée de soutien à La Brique : moins de flics, plus de hip-hop le 14 janvier 2011.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte, non signé, dans un cadre, encre bleue ]
- texte :
Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?
Vendredi 14 janvier 2011, une soirée de concerts hip-hop est organisée au Centre culturel libertaire (CCL), rue de Colmar. L’affiche qui annonçait « Plus de hip-hop moins de flics » a sans doute titillé la bleusaille qui a chopé la première occasion pour faire une bonne vieille rafle comme la France sait si bien les mener. Un surnom de tagueur écrit dans la poussière d’une devanture, et voilà l’occasion pour les flics de provoquer le public, de faire monter la pression. Des méthodes habituelles dans les quartiers à pacifier.
À Wazemmes, la présence continue des flics s’est intensifiées avec l’installation du nouveau commissariat central. Si bien qu’ils se sentent suffisamment à l’aise pour briser les vitres du CCL, gazer et faire une rafle massive : 53 personnes asphyxiées, frappées, arrêtées puis humiliées et encore frappées en garde à vue. Une rafle comme Lille-Sud ou la rue Jules Guesde en ont déjà connues qui s’est conclue avec l’inculpation de deux personnes désignées au hasard. Depuis lors, la presse locale a fait son travail de relais docile du message policier, avec son corollaire de mensonges, et construit la désinformation. Pas question pour eux d’aller chercher plus loin, alors même que les liens entre la police lilloise et l’extrême-droite ne sont plus à démontrer et que la haine déployée par les flics avait ici clairement un goût de vengeance contre un lieu militant antiraciste et antiautoritaire.
Cette histoire n’est pas une malencontreuse bavure ou un excès de zèle de la part de quelques agents : à Lille comme ailleurs, la police a pour but de maintenir l’ordre social existant. Elle est donc prête à tout pour écraser ceux qui refusent de jouer le jeu de cette société, avec ses gagnants bien propres sur eux, et la foule des perdants, toujours les mêmes, qui devraient se tuer au boulot ou crever au chômage. Toutes les méthodes sont bonnes : écraser pour l’exemple, abattre, mutiler par tirs de flashball, ou à coups de tonfa ou de taser. Nous faire baisser la tête pour sauver ce paradis de riches. Et quand ce ne sont les corps qui sont broyés, l’occupation du territoire, les contrôles systématiques, la vidéosurveillance, les vigiles, etc., se chargent de nous étouffer à petit feu.
La fonction sociale de la police n’est plus à démontrer et c’est bien l’excellence de la police française en gestion de population qui a failli l’amener en Tunisie à mater les insurgés.
De la Tunisie à la France, en passant par l’Algérie et ailleurs, vive l’insurrection !
L’affiche signalée dans le texte est visible ici. Une autre affiche a été placardée conjointement : Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte et dessin mêlés ; tirages en N&B ou noir & rouge ]
- texte :
Vendredi 21 jan
CCL Lille prix libre Strickly antifa
Fabulous Bastards, Chuche my Gaillette, The Black’s Cadillac (ska/reggae, Lille), Boston Bastards (punk hXc, Calais) + guests ! EBones
This is NP2C !
Turbulences sociales : solidaires - égalitaires - libertaires
Propos et comportements sexistes ou homophobes ne seront pas tolérés.
Fichier original en noir et rouge, tirage photocopies en noir et blanc. Soirée organisée pour la sortie d’un vynil : http://luttennord.wordpress.com/2011/01/20/oi-oi-oi-this-is-np2c-vinyl-release-centre-culturel-libertaire-vendredi-21-janvier-2011-2100/.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen]
[Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Face à leur justice, on ne se taira pas !]
[Face à leur justice, on ne se taira pas !] / Albert Foolmoon. — Lille : CRRIMMS (Collectif de Résistance à la Répression et à l’Intimidation des Militants et des Mouvements Sociaux), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 33 cm.
sources :
[Festival Maloka contre le sommet du G8]
[Festival Maloka contre le sommet du G8]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries : Maloka, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Feu à toutes les prisons !]
[Feu à toutes les prisons !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 42 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2009 |
![]() 2009 |
[Frost Punx Picnic VII]
[Frost Punx Picnic VII]. — Mülheim an der Ruhr : Frost Punx, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 59 cm.
sources :
[Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]
[Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[L’État et le patronat ruinent nos vies pour leurs profits]
[L’État et le patronat ruinent nos vies pour leurs profits]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 40 × 60 cm.
sources :
[La prison c’est…, le système carcéral c’est…]
[La prison c’est…, le système carcéral c’est…]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir ) ; 64 × 45 cm.
sources :
[La routine du désastre]
[La routine du désastre]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Les 30 ans de Radio Libertaire]
[Les 30 ans de Radio Libertaire]. — Paris : Radio libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Les 30 ans de Radio Libertaire]
[Les 30 ans de Radio Libertaire]. — Paris : Radio libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Les 30 ans de Radio Libertaire]
[Les 30 ans de Radio Libertaire]. — Paris : Radio libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Les 30 ans de Radio Libertaire]
[Les 30 ans de Radio Libertaire]. — Paris : Radio libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Librairie champêtre libertaire 2011]
[Librairie champêtre libertaire 2011] / Gerhard Seyfried. — Limoges : CIRA Limousin (Centre international de recherches sur l’anarchisme), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2003 |
[Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]
[Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]. — Lille : Collectif contre les RFID (Lille) : Mutuelle des fraudeurs, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce ) ; 47 × 32 cm.
sources :
[Mutuelle des fraudeurs : transport gratuit pour tous]
[Mutuelle des fraudeurs : transport gratuit pour tous]. — Lille : Mutuelle des fraudeurs, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2014 |
[Ni carotte ni bâton, refusons leur consommation ! Ni croissance, ni patron, autogestion !]
[Ni carotte ni bâton, refusons leur consommation ! Ni croissance, ni patron, autogestion !] / Lasserpe. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 64 × 46 cm.
sources :
[Nucléaire : danger permanent]
[Nucléaire : danger permanent]. — Lyon : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 69 × 50 cm.
sources :
[Pour les anarchistes, l’autogestion, ce n’est pas gérer son propre patrimoine]
[Pour les anarchistes, l’autogestion, ce n’est pas gérer son propre patrimoine] / Olivier (groupe Évreux de la FA). — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 63 × 44 cm.
sources :
[Pour ses 30 ans, Radio libertaire allume les bougies !]
[Pour ses 30 ans, Radio libertaire allume les bougies !]. — Paris : le Monde libertaire : Radio libertaire, (3A (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 46 × 32 cm.
sources :
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Radio libertaire 89,4 MHz FM]
[Radio libertaire 89,4 MHz FM] / Édouard Nono. — Paris : Radio libertaire, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Radio Libertaire 89.4 MHz FM]
[Radio Libertaire 89.4 MHz FM]. — Paris : Radio libertaire, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Radio libertaire fête ses 30 ans]
[Radio libertaire fête ses 30 ans] / les Chats pelés. — Paris : Radio libertaire, (Ravin bleu). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 40 × 60 cm.
sources :
![]() 2006 |
![]() 2011 |
[Radio libertaire fête ses 30 ans]
[Radio libertaire fête ses 30 ans] / les Chats pelés. — Paris : le Monde libertaire : Radio libertaire, (3A (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 46 × 32 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2006 |
[Radio libertaire, 89.4 MHz FM]
[Radio libertaire, 89.4 MHz FM]. — Paris : Radio libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Radio libertaire, 89.4 MHz, fête ses 30 ans !]
[Radio libertaire, 89.4 MHz, fête ses 30 ans !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : le Monde libertaire : Radio libertaire, (3A (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 46 × 32 cm.
sources :Notes
[1] En même temps que l’affiche « Traffic au Campus, 26 octobre 2011 »
![]() 2011 |
[Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?]
[Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier jaune ) ; 37 × 55 cm.
sources :
[Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?]
[Raid policier à Wazemmes, 53 personnes arrêtées… et combien de contrôles quotidiens ?]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Release party This is NP2C !]
[Release party This is NP2C !]. — Lille : Turbulences sociales, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : rouge , noir ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Rencontre-débat avec Normand Baillargeon]
[Rencontre-débat avec Normand Baillargeon] / Charb. — Merlieux-et-Fouquerolles : Bibliothèque sociale de Merlieux : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pierre-Kropotkine (Merlieux), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.