papier de couleur

 

 
 

Affichage par année

418 affiches :

 




    [Kam naar de laatste taptoe !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Kam naar de laatste taptoe !!]. — Den Bosch Bois-le-Duc : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; pacifisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photos : la garde qui défile ; manifestants avec banderole "Militarisering stop taptoe donder op" ; logo pacifiste ]

    texte :

    Kom naar de laatste taptoe !!

    Breda, aksietien daagse, 21-30 aug.

    Taptoe
    — geldverspilling[…]
    — reklame […]
    — sluipende […]

    geen mens, geen cent, geen feest voor leger !

    onkruit, postbus 1281 Den Bosch


    sources :
     














    [Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]. — Carrara Carrare : Gruppi anarchici riuniti (Carrara), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier de couleur ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano e di tutti quelli che lottano per la casa

    Sembra che il problema della casa esploda d’un tratto, mentre è dall’introduzione della legge sull’equo canone che la situazione, già tutt’altra che rosea prima, si va deteriorando. Non è più possibile affittare case : l’unico modo per averne una è quello di comprarsela, per chi ha i soldi, o di occuparla per chi non li ha. Al di sotto delle esigenze che si sono venute a creare, le case popolari sono largamente insufficienti, mentre i contributi che i lavoratori si vedono trattenuti sulla busta paga sono puntuali, tutti i mesi. Questi giorni le occupazioni di case si succedono, tutte con motivazioni più che giustificate, che partono dalle precedenti condizioni abitative. Le recenti occupazioni di Codena e di Sorgnano assumono maggiore risonanza perchè ad essere occupate sono case che sarebbero state assegnate ad altri bisognosi.

    A Codena gli ocuupanti sottolineano che dei 12 appartamenti NESSUNO sarebbe stato assegnato ad abitanti di Codena, Bergiola e Bedizzano, e non è che in queste frazioni manchino coloro che da anni e anni continuano a presentare domande su domande.

    A Sorgnano addirittura la casa che è stata occupata la si era cominciata a costruire per gli abitanti di Sorgnano nel ’61, e ora questi se la vedono assegnare ad altri !

    Mentre gli appartamenti IACP da assegnare sono qualche decina, a fare le domande, con tutte le carte in regola sono centinaia. E senza contare tutti quelli che pur con lo sfratto e che vivono in condizioni malsane o disagiate non hanno fatto domanda : il problema ha assunto una vastità di dimensioni tale da superare ampiamente le singole occupazioni di questa o quella casa popolare o privata che sia.

    Cosa fa l’amministrazione comunale in questo frangente ? Se esistesse la volontà politica da parte degli amministratori, si potrebbe ad esempio stanziare una parte dei proventi del pedaggio marmi per destinarli alla costruzione di case per i lavoratori del marmo, tanto più che con il passaggio alle USL dell’ex Ente Soccorso Lavoratori Cave il comune si trova a risparmiare oltre 250 milioni l’anno. Ma la volontà politica è ben altra, visto che si mandano consiglieri di circoscrizione e galoppini di partito ad intimidire e scoraggiare gli occupanti delle case di Sorgnano e di Codena. Una cosa comunque l’amministrazione comunale ha fatto a Carrara : ha fatto affiggere un manfesto ipocrita demagogico e qualunquista nel quale “invita” i proprietari a dare in affitto la casa “garantendo” che l’affitto sarà pagato secondo equo canone !...

    La popolazione deve sapere che in casi come questo l’amministrazione non può tentennare o corteggiare i padroni di casa. Requisire le case vuote, abbandonate e sfitte, cosa si aspetta a farlo ?

    Carrara, 10-11-’81

    Gruppi Anarchici Riuniti P.zza Matteotti 31 - Carrara (stampa...)


    sources :
     

    1981
    Affiche liée















    [Les anarchistes au Peuple de Paris]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les anarchistes au Peuple de Paris]. — Paris : [s.n.], (Édit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : collection particulière  ; FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Ça ira, le (Paris, 1888-1889)  ; Révolte, La (Paris, 1887-1894)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ]

    texte :

    Élections législatives du 27 janvier 1889.

    Les Anarchistes au Peuple de Paris

    Nos maîtres nous appellent aux urnes. — Qu’allons-nous y faire ?

    Choisir sur les proclamations des candidats celui qui promet le plus de réformes ? À quoi bon !

    Les législateurs peuvent être scélérats ou honnêtes ; peu importe ! Nos misères n’en seront ni augmentées ni atténuées.

    Que nous font leurs dilapidations, leurs vols, ou leurs économies, à nous qui n’avons rien ?

    Le gouvernement (monarchique ou républicain), est toujours aux ordres des capitalistes, sa seule mission est de faire respecter leurs richesses.

    Toutes nos souffrances, toutes nos peines n’ont d’autre cause que l’organisation sociale actuelle, basée sur la propriété individuelle.

    Tant qu’une poignée d’hommes pourront faire trimer l’ouvrier à leur profit ; tant que la terre, les usines, toutes les richesses sociales resteront entre les mains des fainéants, il ne pourra y avoir pour le Peuple d’amélioration.

    Les républicains de la veille, proscrits de l’Empire : Clémenceau, Floquet, etc., eux en qui le Peuple avait toute confiance, ont-ils pu faire, depuis qu’ils sont au Pouvoir, une seule loi en faveur de l’ouvrier ?

    Non ! — Donc, le salut n’est pas au fond des urnes.

    Voter, c’est consacrer l’autorité, la rendre forte de notre approbation. Voter, c’est souscrire à notre exploitation, l’affirmer juste et immuable.

    Abstenons-nous !

    Voter pour Jacques, c’est voter le maintien de la misère actuelle, donner raison au Gouvernement.

    Mais, n’allons pas par répugnance pour Ferry-Floquet, nous jeter dans les bras d’un nouveau maître !

    Boulanger élu, qu’adviendra-t-il ?

    La dissolution de la chambre ! Une Constituante. Puis une nouvelle Constitution… Or, nous ne vivons pas de Constitution, mais de pain !

    Quel que soit ce Gouvernement de demain, il y aura toujours des patrons, des propriétaires, des rentiers, des parasites, pour vivre de notre travail.

    Alors rien de changé sauf l’étiquette.

    Voter pour Boulanger, c’est raffermir le principe d’autorité qui est en discrédit. C’est ne tenir aucun compte de l’expérience de tout un siècle qui nous montre — malgré les inventions et les découvertes modernes — le Peuple aussi exploité sous la République actuelle, que sous la Royauté et l’Empire.

    Voter pour Boulanger c’est attendre d’une nouvelle incarnation gouvernementale le bien-être que seule la Révolution nous donnera.

    Ni Jacques !! Ni Boulanger !!

    Reste le menu fretin ; devons-nous voter pour Boulé ou un des candidats socialistes ? Pas davantage ! ce serait croire encore au suffrage universel, dont quarante années nous prouvent la duperie.

    Garder notre vote, c’est garder notre dignité et notre droit de Révolte !

    Nous seuls connaissons nos besoins : c’est une folie que se nommer des maîtres !

    Aujourd’hui, il n’y a plus que deux partis en présence ; d’un côté : les socialistes qui se réclament du vote, la tourbe des vieux partis, monarchistes, impérialistes, républicains, boulangistes.

    D’un autre côté : les Anarchistes, négateurs de l’autorité sous toutes ses formes : religieuse ou scientifique, capitaliste ou patronale, familiale ou étatiste. Ceux qui ne veulent vraiment : Ni Dieu Ni Maître, car l’Autorité est la cause première de la Propriété Individuelle et de l’oppression que nous subissons.

    Il ne s’agit plus de changer de maîtres, mais de conquérir par la Force, la Terre et ses richesses, qu’une minorité de fourbes s’est appropriée.

    Ce n’est qu’en détruisant toutes les institutions, tous les monuments du passé, que disparaîtront à jamais les lèpres hideuses de la Société actuelle, et que l’Humanité trouvera sa voie de Justice et de bien-être pour tous.

    Mais, pour atteindre ce but, il faut que l’esprit de Révolte germe, grandisse dans nos cerveaux, et se manifeste par des actes énergiques et audacieux !

    C’est par ce chemin et non par celui du Vote, que nous ferons la Révolution victorieuse.

    Ne votons plus : Agissons.

    Vive la Révolution Sociale & l’Anarchie !

    Pour plus de développement de l’Idée Anarchiste, lire le Ça Ira et la Révolte, hebdomadaires.

    Impr. du Ça ira, rue du Buisson-St-Louis, 29 — Vu : le Candidat abstentionniste [XXX ?]

    Document CIRIP Droits réservés — 24 juin 1983 — Imprimerie Edit 71 - 22, rue d’Annam - 75020 Paris - tél. 636.89.09


    sources :

    Reproduction moderne.

    Affiche (APP : Ba 76) citée dans la note 38 de la page 235 de : Angenot, Marc.— Topographie du socialisme français, 1889-1890. — nouvelle éd. — Montréal : Discours social, 2005. — 347 p.


    1889
    Affiche liée