couleur en dégradé

 

 
 

Affichage par année

65 affiches :

 



    [Mystag]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mystag] / Harfort. — Paris : Mystag, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quatre ou plus  : rouge , noir , vert , jaune , texte en défonce , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 118 × 78 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte : titre ; image : extraits d’un spectacle d’illusionnisme ]

    texte :

    Mystag

    Harfort [signature]

    imp. Harfort — Paris


    sources :
     



    [Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]. — Milano Milan : 912 (ed.), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois  : rouge , bleu , vert , couleur en dégradé , papier kraft ) ; 70 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1968
    • Noms cités (± liste positive)  : Living Theatre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte surmonté d’une étoile rouge et de guérilleros asiatiques ]

    texte :

    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon

    Le Festival d’Avignon se présente cette année comme un « Festival pas comme les autres » : on y invite, on y programme la contestation au sein des Assises du Théâtre et, en même temps qu’une violente campagne de presse (*) prend pour cible la troupe du Living Théâtre, hôte officiel, de nombreux jeunes font déjà l’objet d’interpellations, de contrôles de la part de la police dans les rues de la ville. L’ambiguité règne. Dans ces conditions il nous a paru utile de proposer à la réflexion des participants comme des organisateurs — car il va sans dire que le débat est d’ores et déjà élargi à tous ceux qui se sentent concernés par l’impact que les « événements de mai » ont eu et continuent d’avoir sur le fonctionnement « normal » des institutions qu’elles soient culturelles ou politiques — les questions que voici :

    S’appuyant sur des enquêtes sociologiques, certains déplorent que le Festival d’Avignon soit bourgeois : c’est à dire que, seul un pourcentage dérisoire de travailleurs s’y rende. De fait, son public est en grande majorité composé de touristes et de membres des classes moyennes ou dirigeantes, comme c’est le cas d’ailleurs pour les Maisons de la Culture. Il s’agit donc d’une culture de classe sur laquelle les problèmes politiques et économiques des travailleurs urbains ou ruraux n’ont pas ou très peu d’incidence. En établissant un rapport mercantile avec leur public les producteurs et les propriétaires de cette culture servent automatiquement les intérêts d’une catégorie sociale au détriment d’une autre ; mais ce n’est pas tout, la culture industrielle qu’elle soit de « droite » ou de « gauche » agit dans le sens de la contrerévolution permanente puisqu’elle transforme forcément sa clientèle en une masse de robots amor-phes bons à consommer du tout-cuit culturel et à tomber dans le panneau des loisirs organisés. L’université en crise, la culture en crise sont indissociables du capitalisme. Elles disparaîtront avec lui. Que peut-on faire pour hâter cette disparation ?

    La contestation effective de la fonction coercitive assumée par la culture dans le cadre légal de la société d’exploitation ne commencerait-elle pas par la mise en cause directe et radicale de l’existence même d’une industrie du spectacle ? Toute contestation intégrée dans le circuit officiel ou commercial n’est-elle pas a fortiori Institutionnalisée, châtrée et récupérée par le Pouvoir ? Tant que l’Infrastructure aliénante et répressive sur laquelle repose la culture n’est pas AVANT TOUT globalement contestée, peut-il s’agir d’autre chose que d’une contestation elle-même aliénée, limitée, symbolique ?

    Les contrôleurs de la culture (officielle ou officieuse) en exerçant leur monopole sur les moyens de création et de diffusion, ne renforcent-ils pas l’appareil répressif de l’état policier au même titre qu’un gouvernement faisant réoccuper la Sorbonne ou l’Odéon par CRS et Préfet de Police interposés ?

    Dans toute perspective autre que conservatrice et réformiste, le rôle joué par les intermédiaires et les contrôleurs (producteurs, directeurs de musées, de théâtres, de galeries, de maisons d’éditions, ministres des affaires culturelles, etc.) n’est-il pas à abolir purement et simplement ? Toute conception de la culture en tant que domaine réservé à des spécialistes rémunérés n’est-celle pas, en fait, repressive et autoritaire ?

    Toute éventuelle mise en marche d’un processus de création collective et permanente — non reservée à une « élite » — ne poserait-elle pas a priori la nécessité d’en finir avec tout divorce entre « l’art » et « la vie », toute distinction entre les activités artistiques et les activités politiques et sociales quotidiennes ? L’acte créateur étant enfin déba-rassé de la censure qui l’annule ? L’inconscient enfin dégagé du régime policier qui le nie ?

    La culture industrielle, de même que l’université bourgeoise, ne constitue-t-elle pas un écran de fumée destiné à rendre impossible, à interdire toute prise de conscience et toute activité politique libératrice ? Le théâtre qu’il soit conventionnel ou d’avant-garde, ne véhicule-t-il pas cet interdit du fait qu’il substitue la représentation à l’action directe ?

    Le théâtre idéologique, en particulier, quelles que soient ses intentions et son « contenu », n’est-il pas respon-sable de la situation aliénante et sous-développante où il place ses spectateurs ?

    Le théâtre et le cinéma de grande consommation ne secondent-ils pas l’appareil repressif de la classe dirigeante en ceci qu’ils contrôlent et determinent l’image que les consommateurs se font d’eux-mêmes ?

    Est-il possible de contester efficacement le système capitaliste sans mettre d’abord en question le rôle que l’on joue soi-même dans ce système ? Les intellectuels et les artistes (acteurs, peintres, écrivains, etc.) qui ont pris en marche le train du « mouvement de mai » et qui se sont contentés d’exprimer des revendications corporatistes quan-titatives n’ont-Ils pas, de ce fait, exploité la dynamique de ce mouvement aux mêmes fins que l’Etat et que les partis ?

    Les différentes forces de l’ordre (des gardiens de la paix à la DST) qui ont joué sur le théâtre des opérations de mai le rôle que l’on sait, interviendront-elles dans la crise de la culture de la même manière qu’elles sont interve-nues dans la crise universitaire, c’est à dire avec des gaz asphyxiants, des grenades offensives, des matraquages intensifs, des ratonnades, des arrestations, des perquisitions, etc. ? Quel peut-être le rôle des nombreux gardes mobiles, CRS, inspecteurs en civil actuellement en service dans la ville d’Avignon ? Quel rôle l’administration du Festival, le Préfet du Vaucluse ou le Ministère des Affaires Culturelles envisageraient-ils de leur faire Jouer si un mouvement se dessinait parmi les participants au Festival qui tendrait non pas à moderniser ni à améliorer la culture Industrielle d’État (subventionnée) mais à l’abolir et à la remplacer ?

    Comment, alors qu’en Avignon, l’industrie du spectacle s’est intégrée à l’industrie du tourisme au point d’y être complètement soumise est-il possible de prétendre à une réelle liberté d’expression et d’action ? La mise en condi-tion est-elle plus tolérable lorsqu’elle porte un masque « artistique » ?

    Quand, à travers le monde un important courant créateur agit depuis plusieurs années dans le sens du théâtre de rue, gratuit et libre, préoccupé prloritairement par l’action politique, comment peut-on à la fols lui interdire les rues d’Avignon et prétendre organiser un « Festival de la Contestation » ?

    Quels seraient les problèmes posés par la constitution, à l’occasion du Festival d’Avignon, d’un double pouvoir face à celui de l’État et des « autorités », qui répondrait à un désir collectif et qui ne se limiterait pas aux bavardages entre spécialistes de la culture soucieux de conserver leurs rôles privilégiés ?

    En cette période de reflux et de répression, la question qui se pose à nous n’est-elle pas encore et toujours celle de l’exercice par TOUS du droit de l’homme à disposer psychiquement et socialement de lui-même ?

    Le Comité d’Action, juillet 1968

    (*) Cf. Le Méridional des 28 juin et 10 juillet. Les acteurs du Living Théâtre y sont présentés comme des « énergumènes en haillons », des « primates » et on parte de « commandos » chargés de les corriger.

    Ed912 Milano (printed in Italy)


    sources :
     



    [40 years of struggle Spanish workers still, 1936-1976]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    40 years of struggle Spanish workers still, 1936-1976] / Carles Fontserè Carrió. — New York : Come ! Unity Press : International Libertarian Labor Fund, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 44 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : exil et exilés
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1936-1939
    • Noms cités (± liste positive)  : Abad de Santillán, Diego (1897-1983)  ; Bluestein, Abraham "Abe" (1909-1997)  ; Granell, Eugenio Fernández (1912-2001)  ; Souchy, Augustin (1898-1984)
    • Presse citée  : Freie Arbeiter Shtime (1890-1977)
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; galas et actions de soutien  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (paysan à la faucille « Llibertat ! ») par Fontserè ]

    texte :

    40 years of struggle Spanish workers still - 1936-1976

    40th anniversary libertarian revolution halting Franco

    Benefit for the underground libertarian unions of the

    National Confederation of Labor (CNT)

    Monday July 19 - 7 PM

    Diego Abad de Santillán
    ’36 : directorate of the CNT
    ’76 : in the CNT underground

    Augustin Souchy
    ’36 : headed CNT internat’l dept’
    ’76 : author & lecturer on Spain

    Eugenio F. Granell
    ’36 : fought with POUM forces
    ’76 : editor of España libre

    Abe Bluestein
    ’36 : CNT’s English-language spokesman
    ’76 : Chan, Int. Libertarian labor Fund

    auspices

    International Libertarian Labor Fund

    On July 19th 1936, workers in the CNT stifled a Franco coup in Barcelona and elsewhere and set up free collectives. Franco won in the end only with the aid of the US, Hitler, Mussolini and the Western democracies.

    Today, we too have a chance to change the course of history. To aid the world’s only mass libertarian working-class movement — now surfacing deflanty in Spain’s seething underground in opposition to totalitarians of right and left, you can send your CNT donation to

    International Libertarian Labor Fund
    PO Box 733 Cooper Station
    New York, NY 10003
    Telephone : (212) 477-3355

    Sponsored by
    Ad hoc CNT committee
    Catholic Peace Fellowship
    Freie Arbeiter Stimme
    General Defense Committee
    IWW Forum (Indust’l Workers of the World)
    Libertarian Book Club
    Local internacional de Nueva York, CGD
    and many distinguished individuals

    [drawing] (Original Catalan CivilWar poster)

    Community Church of NY

    35th St. West of Park ave. Optional Contribution

    Air conditioned

    [text & logo Come ! Unity Press :]
    Done at Come ! Unity Press (13 E 17 Street. NYC 10003 (212) 675-3043), a cooperative where we learned to do this printing. The press does not demand $ from us or other movement people who print materials that provide equal access to the poor. The press needs the broad support of many donations monthly piedges of $2, $5, $7, energy, food, skills, joint benefits, etc to continue movement access to printing facilities. Don’t let this be the last month ! Your Move !ment


    sources :
     

    [ca  1980]

    [ca  1980]

    1982

    [s.d.]

    1976

    [ca  1982]

    2017

    2009

    1999

    [ca  1975]

    [s.d.]
    Affiches liées



    [Nobody for president]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nobody for president] / Calogero. — New York : Come ! Unity Press, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : bleu , brun , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 28 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin répétitif (foule immense) par Calogero ]

    texte :

    Survival by sharing Come ! Unity Press 13E17 St NYC 675-3043

    Done at Come ! Unity Press (13 E 17 Street. NYC 10003 (212) 675-3043), a cooperative where we learned to do this printing. The press does not demand $ from us or other movement people who print materials that provide equal access to the poor. The press needs the broad support of many donations monthly piedges of $2, $5, $ ?, energy, food, skills, joint benefits, etc to continue movement access to printing facilities. Don’t let this be the last month ! Your Move !ment

    Nobody for president

    Survival by sharing Come ! Unity Press 13E17 St NYC 675-3043

    Done at Come ! Unity Press (13 E 17 Street. NYC 10003 (212) 675-3043), a cooperative where we learned to do this printing. The press does not demand $ from us or other movement people who print materials that provide equal access to the poor. The press needs the broad support of many donations monthly piedges of $2, $5, $7, energy, food, skills, joint benefits, etc to continue movement access to printing facilities. Don’t let this be the last month ! Your Move !ment


    sources :
     





    [L’appel du 18 joint]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’appel du 18 joint]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : vert , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; drogue  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Alternative libertaire (Belgique : 1976-2005)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins ; pétition ]

    texte :

    Libération — Alternative

    L’appel du 18 joint

    Cigarettes, pastis, aspirine, gros rouge, calmants, font partie de notre vie quotidienne. En revanche, un simple « joint » de cannabis (sous ses différentes formes : marijuana, haschich, kif, huile) peut vous conduire en prison ou chez un psychiatre.

    Des dizaines de documents officiels (notamment les rapports La Guardia aux États-Unis, Wootton en Grande-Bretagne, Le Dain au Canada) ont démontré que le cannabis n’engendre aucune dépendance physique, contrairement aux drogues dites « dures », telles que l’héroïne, mais aussi au tabac ou à l’alcool, et n’a aucun effet nocif comparable (« Pas même une bronchite, sauf chez les grands fumeurs », a écrit aux États-Unis le directeur de l’Institut national contre l’abus des drogues). Le contenu de ces documents n’a jamais été porté à la connaissance du public français, on a préféré laisser la grande presse mener des campagnes d’intoxication fondées sur des mensonges ineptes.

    Dans de nombreux pays déjà — États-Unis (Californie, Oregon, Alaska), Pays-Bas, Canada…, la législation sur le cannabis a été considérablement adoucie. En France, on continue d’entretenir la confusion entre drogues dures et drogues douces, gros trafiquants, petits intermédiaires et simples usagers. Cela permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde : depuis 1969, la police peut perquisitionner chez n’importe qui, sans mandat, à toute heure du jour ou de la nuit, sous prétexte de drogue. Cela permet des arrestations massives de jeunes et des quadrillages policiers. Cela sert à justifier la détention de centaines de personnes, petits revendeurs ou fumeurs de cannabis, quand tout le monde sait que des gros bonnets de l’héroïne sont en liberté. Ces emprisonnements, bien sûr, sont sélectifs et frappent en priorité la jeunesse, surtout la jeunesse ouvrière et les immigrés, particulièrement dans les régions.

    Or, des milliers et des milliers de personnes fument du cannabis aujourd’hui en France, dans les journaux, les lycées, les facultés, les bureaux, les usines, les ministères, les casernes, les concerts, les congrès politiques, chez elles, dans la rue. Tout le monde le sait. C’est pour lever ce silence hypocrite que nous déclarons publiquement avoir déjà fumé du cannabis en diverses occasions et avoir éventuellement, l’intention de récidiver. Nous considérons comme inadmissible toute forme de répression individuelle, soumise à l’arbitraire policier et entendons soutenir activement tout ceux qui en seraient les victimes. Nous demandons que soient prises les mesures suivantes :
    — dépénalisation totale du cannabis, de son usage, sa possession, sa culture (autoproduction) ou son introduction sur le territoire français en quantités de consommation courante.
    — ouverture de centres d’information sur les substances psychotropes, en ordre alphabétique : alcool, cannabis, cocaïne, héroïne, LSD, médicaments, tabac, etc.

    Nous n’avons que faire de la légalisation de la marijuana, ni de sa commercialisation. Si des trusts à joints s’en emparent, c’est une question de société. Ce texte n’est pas un appel à la consommation. Il vise seulement à mettre fin à une situation absurde.

    Affichez-moi !

    Dans la société de la norme et de la grande déprime…

    on a les plaisirs qu’on veut bien se donner …

    Les premiers signataires

    Abrahams Jean-Jacques, Annabel, Areski, Dr. Atlan H., Alessandrini Paul. Alessandrini Marjorie. Arietta Adolfo, Anquetil Gilles. Backman René, Bourgeade Pierre. Béranger François. Berger Claude. Bizot Jean-François, Baratier Jacques. Bastide Jean-Pierre. Bouteille Romain, Bardet Vincent. Bodevent Jean-Louis, Barouh Pierre, Bost Jacques-Laurent, Bok Philippe (médecin), Colombel Jeannette, Coste Patricia, Chesneaux Jean, Copi, Clémenti Pierre. Castagnet Paul, Copferman Émile, Carpentier Jean (médecin), Cahiers du Cinéma, Calvet Louis-Jean, Cullaz Maurice, Deleuze Gilles, Duits Charles, Dollé Jean-Paul, Dupré Jean-Louis, Dubois Bernard, Davezies René, Devy Michel, Dachy Mare, Dautin Yvan, Delessert Philippe, Dosse Roger, Druillet Philippe, Dietlin Éric, Dubenton Anne, Erlinguer Serge (médecin), Fromanger Gérard, Font Patrick, Ferré René, de Fréminville Bernard (médecin), Fluence, Fourastié Philippe, Glucksman André, Grasset Jean-Baptiste, Geismar Alain, Guattari Félix, Gotlib, Gébé, Gir Moebius, Haines Jim, Held Jean-Francis, Houdart Blandine, Huppert Isabelle, Isserman Dominique, Ithurriaque Jean (médecin), Jaubert Alain, Jacquot Benoît, Kalfon Jean-Pierre, Kouchner Bernard (médecin), Karsentv Serge, Kan Alain, Levy-Leblond Jean-Marc, Levy-Leblond Élisabeth (médecin), Le Forestier Maxime, Landau Maria (médecin), Letté Jean-Paul, Lyotard Jean-Francois, Lauten Élodie, Lacroix Hugo, Levaillant Yvan, Lagrange Valérie, Laperrousaz Jérôme, Laffont Bernadette, Leclerc Henri (avocat), Mandryka, Mallerin Daniel, Marc’0, Matricon, Mercadet Léon, Matzis Costa, Meunier Jean-Louis, Magny Colette, Muchnik Nicole, Morello Dominique, Maulineux Maud, Mercanton Isabelle, Morin Edgar, Manceaux Michèle, Mémmi Michael, Merleau-Ponty (avocate), Negroni François, Najman C., Nicoulaud Gilles, Oswald P.J., Oswald Hélène, Ogier Bulle, Orla, Pinhas Richard, Pleyney Marcellin, Pradalié Philippe, Pasquet Sylvaine, Rauch Alain, Revault d’Allonnes, Reed Will, Renault Philippe, Rouzaud Jean, Ribbes Jean-Paul, Rochefort Christiane, Roche Raguenés Jean, Righini Marielle, Rosso Serge-Bruno, Richard Jean-Vincent, Sollers Philippe, Saint-James Daniel, Sarduy Severo, Sery Patrick, Samuel Laurent, Savary Jérôme, Simmonet Dominique, Szejer Myriam (méd.), Tavernier B., Timsit (avocat), Topor, Tobias, Thérame Victoria, Verthomme Hugo, Vannoni Patrice, Varela José, Van Eersel, Patrice, Vasca Jean, Verdier Joan Pau, Val Philippe, Yelnik Jean-Benoît, Zouiou, France Léa, Sami Avari, François Chatelet.

    Nous ! et vous ?


    sources :

    Affiche en page centrale du journal Alternative libertaire n° 30 (1er décembre 1977), publié sans doute conjointement avec Libération.






    [Insoumission totale... Gala de soutien antimilitariste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Insoumission totale... Gala de soutien antimilitariste]. — Lyon : [s.n.], (IPN/AIPN (Ateliers d’Impression Presse Nouvelle, Lyon)). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : rouge , vert , couleur en dégradé ) ; 77 × 55 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ Texte ; dessin (personnage étranglé par un bras « justice » et un bras « armée ») ]

    texte :

    Insoumission totale…

    — 25 personnes, inculpées de provocation à la désertion et à l’insoumission, passent en procès l e30 janvier à 14 h à la 5e chambre correctionnelle.
    — Inculpation qui fait suite à la distribution d’un tract, le 28 mai 1977 à Villeurbane, lors de l’arrestation d’un insoumis.
    — Pour affirmer votre soutien aux insoumis (ils risques 2 ans de prison !) et à leur lutte, venez nombreux à ce procès.

    Gale de soutien antimilitariste

    Vendredi 27ãnvier, 20 h, Centre Pierre Valdo ; 176, rue Pierre-Valdo, Lyon 5e (bus n° 30)

    Chanson, bouffe, bal folk… participation aux frais !

    Groupe Insoumission ACLR - 13, rue Pierre-Blanc, Lyon 1er

    imprimé Atelier Impression Presse Nouvelle - Lyon


    sources :
     















    [Rock against brouillage, Radio Lille 80]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rock against brouillage, Radio Lille 80]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : couleur en dégradé ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : censure  ; communication : radio & audiovisuel*
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : autre presse
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (visage, tube de dentifrice ? marqué « 94 MHz FM) ]

    texte :

    Vendredi 21 novembre, dè s19 heures

    chapelle universitaire

    Lille 60 bd Vauban

    Rock against brouillage

    avec les groupes
    Agence TASS - Marseguerra - Stocks

    seule radio, libre, non transmise sous perfusion

    entrée 20 F en soutien à Radio Lille 80

    studios : Maison de la nature et de l’Environnement, 23 rue Gosselet, Lille

    stands infos, bouffe, boissons
    sonorisation Sonor et Machinason


    sources :

    Radio Lille 80 a existé en 1980-1981, créée notamment par un ancien de Radio Libre 59, elle même créée par des anciens de Radio Campus (créée en 1969), elle sera saisie le 16 avril 1981.
    cf. http://www.schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=1889
    Elle deviendra Radio Lille (1981-1986) puis Viva (1986-....).

















    [Concorso musicale, complessi svizzeri = concours musical, groupes suisses : 1986-87 Rockaus Zappia, Lugano]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Concorso musicale, complessi svizzeri = concours musical, groupes suisses : 1986-87 Rockaus Zappia, Lugano]. — Lugano ; Zürich Zurich : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quatre ou plus  : couleur en dégradé ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    affiche en dégradé bleu, rouge, jaune et marron sur papier recyclé

    [ texte ; photo (forêt en hiver avec la neige ; dessin (aigle ?) ]

    texte :

    Concorso musicale, complessi svizzeri = concours musical, groupes suisses : 1986-87 Rockaus Zappia, Lugano

    Green Friends, CH-6911 Breno

    Woodlife-Festival-Malcantone

    Toutes les 2 semaines, du 7.6.86 au 20.3.87 sera organisée une sélection des meilleurs groupes de chaque canton qui seront par la suite choisis pour la Woodlife-Festival du 4.-12.7.87 Malcantone.

    Dal 7.6.86 al 20.3.87 verra organizzata ogni 2 sellimane una selezione dei migliosi complessi di ogni cantone che verrano in seguito promossi il Woodlife-Festival del 4.-12.7.87 Malcantone.

    Inscriptions avec Demo-cassette et informations à :
    Iscrizioni con Demo-cassette e informazioni da :
    Rockhaus Zappia, Rene Slübi, via Carono 6, 6900 Lugano, Tel. 094/54 14 04

    Probenummer verlanger Öko-journal, Postfach 745, 8021 Zürich, Tel. 01 - 462 77 03

    Carta riciclata originale - fabbricata senza inquinemento d’acqua, senza candeggio e colorazione
    Papier recyclé original - fabriqué sans pollutions des eaux, sans blanchiment et sans coloration


    sources :