antimilitarisme
427 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
version du Libertaire du 6 avril 1921
Union anarchiste. — Groupe des jeunesses
Contre la guerre !
Contre le crime !
Pendant cinq années des hommes se sont entre-tués avec une férocité inouïe. Quinze millions d’entre eux sont tombés dans cette lutte sanglante qui devait à jamais supprimer le militarisme et abolir la Guerre. Hélas ! Vous anciens combattants, vous les mères dont on a tué les fils, quelle cruelle désillusion quand vous vous êtes aperçus que toutes les promesses faites par les gouvernants ne sont que mensonges et tromperies.
La guerre a tué les enfants du peuple au plus grand intérêt des profiteurs de la mort.
Travailleurs manuels et intellectuels, les gouvernants trouvent que vous n’avez pas assez souffert que le sang n’a pas assez coulé, puisqu’à nouveau ils parlent de mobilisation, puisqu’à nouveau la terrible menace est que sur nos têtes « la menace de la guerre ».
Nous, jeunes fils de travailleurs, qui avons grandi dans la misère et la souffrance, nous jeunes anarchistes, nous vous disons : « ne commettez pas l’erreur de 1914 ».
Aux mères, nous crions : « Ne donnez plus vos fils ».
Aux hommes, à ceux qui vont être appelés : « Refusez de répondre à l’autorité du capitalisme, refusez de partir ».
Aux jeunes, à ceux qui viennent d’être mobilisés : « Refusez de faire leur guerre, refusez d’obéir » ; à tous nous crions « Ne faites plus de la terre un immense charnier » et unissant nos efforts aux nôtres, vous hâterez l’avènement d’une humanité meilleure, la grande famille universelle.
Guerre à la guerre !!
À bas les frontières !!
Vive la révolution sociale !!!
Le Groupe des Jeunesses anarchistes
Affiche annoncée dans Le Libertaire du 6-13 mai 1921 (2e série, 3e année, n° 120).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Travailleurs,
Une nouvelle et sinistre comédie se joue.
En 1914, ce fut la mobilisation nette et brutale de tous les hommes valides, l’envoi pendant quatre ans de millions d’hommes dans la fournaise.
Aujourd’hui on prépare une mobilisation plus sournoise mais aussi dangereuse que la dernière. Déjà notre gouvernement menace de rappeler deux classes démobilisées pour leur faire remplir le rôle de gendarmes.
« Il faut que l’Allemagne paie », disent nos gouvernants. Lancés sur cette pente, jusqu’où iront-ils ? Sera-ce dans votre intérêt ? Après la dernière guerre, les capitalistes, organisant sciemment la chômage, vous ont acculés à la misère. Ne craignez-vous pas que celle qui se prépare ne vous forge de nouvelles chaînes d’esclavages ?
En régime capitaliste, il ne peut être question de défense nationale. Il ne faut plus accepter une telle hérésie. Les femmes ont-elles élevé leurs enfants pour les envoyer à la mort en même temps que leurs maris ? Les anciens combattants ont-ils déjà oublié le souvenir des souffrances vécues pendant cinquante-deux mois ?
Si les capitalistes veulent la guerre, qu’ils la fassent aux-mêmes. Quant au peuple, son devoir est de refuser de répondre à l’ordre de mobilisation et, comme le criait jadis M. Briand, notre actuel Président du Conseil, d’y répondre par
L’insoumission et l’insurrection
Travailleurs, tenez-vous au courant de la situation politique actuelle, prenez conscience de votre force, souvenez-vous des 1.700 morts de la dernière guerre, et décidez-vous à user de tous les moyens pour empêcher le retour d’une telle calamité.
Tous debout ! Guerre à la guerre ! À bas le militarisme !
Groupe du XIIIe de l’Union anarchiste — Ligue des réfractaires
Affiche annoncée dans Le Libertaire du 6-13 mai 1921 (2e série, 3e année, n° 120).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Section française de l’Internationale Antimilitariste
Debout contre le Militarisme !
La classe 19 est toujours prête à être sacrifiée ainsi que les classes 20 et 21 pour l’annexion de la Ruhr, pour le profit de nos exploiteurs.
La source du mal n’est pas encore tarie pour l’idole Argent !!!
Il faut de nouvelles victimes, après 52 mois d’une effroyable boucherie où des millions d’hommes se sont massacrés sans savoir POURQUOI,
Pendant que les Schneider, les Krupp, les Loucheur, les Vilgrain et autres barons de la finance s enrichissaient sur ces cadavres.
PEUPLE ! peut-être demain sur l’ordre des bandits qui nous gouvernent, tu seras appelé pour une nouvelle boucherie.
Accepteras-tu encore de revoir le sang couler en ruisseaux, les villages incendiés et les habitants s’enfuir en marchant sur des cadavres, suivis d’hommes transformés en brutes assassinant des vieillards, des femmes et des enfants au nom de patrie, du droit des peuples et de la civilisation ?
Abandonneras-tu encore une fois ta dignité d’homme pour redevenir un bandit en uniforme commandé par des assassins galonnés.
C’en est assez !!! N’accepte plus de redevenir un meurtrier et refuse de te rendre à l’ordre de Mobilisation !!!
Et vous les mères, les épouses et les sœurs, donnez le courage à vos Fils, à vos Compagnons et à vos Frères de ne plus participer au massacre qui pour tous est le deuil, la douleur et la misère
PEUPLE, désormais il ne suffit plus de manifestations platoniques et sans lendemain, mais il te faut répondre aux provocations des agents de la bourgeoisie par les moyens qu’ils emploient à ton égard,
car les dix-sept millions de morts, victimes du capitalisme international, demandent justice et seule la révolution sociale pourra les venger.
À bas la Guerre ! — À bas le Militarisme I
Vive l’Anarchie !!
Le groupe des réfractaires.
1921 ou 1923 ? Trouvé au Centre culturel libertaire de Lille (CCL).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
version du Libertaire du 13 avril 1921
Comite d’action des jeunesses
La mobilisation, c’est la guerre !
Ne partez pas !
Pendant cinq ans, les hommes se sont entr’égorgés et ont fait de la terre un immense charnier. Quinze millions d’entre eux sont tombés dans cette lutte sanglante qui devait à jamais supprimer le militarisée et abolir la guerre,
À l’heure actuelle, le militarisée français, héritier du militarisée allemand, prépare une nouvelle et criminelle aventure.
Face aux événements qui viennent de surgir, nous nous dressons, nous les jeunes, contre la folie guerrière des gouvernants de ce pays.
Nous ne voulons pas que l’on puisse disposer de notre liberté et de notre vie pour une cause qui 11 est pas la nôtre.
Nous ne voulons pas, en revêtant la livrée militaire, servir d’instruments à la bourgeoisie prétendant représenter la nation.
Face à la Mobilisation, face à la Guerre, nous crions aux jeunes ouvriers de ce pays : « Ne partez pas », vous ne serez pas les artisans des fortunes que les Loucheur et les Hugo Stinnes édifieront en exploitant les charbonnages de la Ruhr.
Contre le Capitalisme international, vous opposerez la Solidarité internationale des travailleurs.
Mères ! Vous ne donnerez plus vos fils. Le sang de millions de jeunes gens a assez souillé l’humanité.
Épouses ! Amantes ! Défendez votre bonheur.
Camarades ! Refusez de partir, épargnez dans vos foyers la souffrance et le malheur.
Révoltez-vous contre les assassins.
Guerre a la guerre, plus de frontières
Tous debout contre le militarisme.Pour les Jeunesses Communistes, A. Simondant
Pour les Jeunesses Anarchistes, Pierre Odéon
Pour les Jeunesses Syndicalistes, René GrondinAffiche annoncée dans Le Libertaire du 13-20 mai 1921 (2e série, 3e année, n° 121).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Élections législatives du 11 mai 1924 — Liste libertaire
Électeurs endurcis !
Plus de cinquante années de suffrage universel, pendant lesquelles le benêt populo a été constamment berné avec les mêmes boniments, ne vous ont pas encore démontré l’inanité, la nocivité même du bulletin de vote comme moyen de combat pour la défense de votre existence.
Nous le regrettons, nous vous plaignons fort, mais aussi nous ne désespérons pas d’être un jour entendus de vous.
En attendant, faites-nous le plaisir de nous lire jusqu’au bout ; ensuite vous retournerez à vos occupations. Mais si vous êtes des gens normaux, bien doués, nous vous mettons au défit de terminer la lecture de de cette affiche sans que votre cœur s’émeuve à la pensée des malheureux qui, cette année encore, ne sentiront qu’à travers les vitres opaques, les grillages ténus et les barreaux solides d’une prison, le renouveau qu’amène le printemps.
Ils en appellent à vous désespérément
Ils sont près de cent mille, dans les bagnes civils et militaires, qui ont mis en vous, peuple français, toute leur espérance. Ils n’ont plus cette confiance dans les parlements et ils ne comptent que sur vous et votre énergique action — ouvriers et hommes de cœur de tous les partis — pour les tirer de leur géhenne.
Qu’ont-ils fait ?
Beaucoup d’entre-eux n’ont pas fait cette guerre sans en trouver une nausée profonde et à la fin leur conscience l’a emporté sur tout : sur les préjugés patriotiques, sur les conseils intéressés des diplomates et des soudards, sur la crainte de l’avenir, et, bravement, ils ont déserté.
Beaucoup d’autres ont commis une de ces mille infractions que le code militaire napoléonien réprime si implacablement.
D’autres encore ont chapardé par ci par là de quoi ne pas mourir tout à fait de faim.
Tous ont très bien agi puisqu’ils n’ont fait aucun tort à leurs pareils en misère et en esclavage.
Nous, qui portons sur eux et leurs actes ce jugement approbatif, nous sommes des anarchistes. C’est dire que nous sommes disposés par nos conceptions à approuver tout ce qui sape cette société faite d’arbitraire sans nom.
Vous, qui êtes encore des électeurs, vous admettez la soumission aux lois et vous ne comprenez pas toujours, et approuvez encore moins, ceux qui se rebellent contre elles. Mais si vous êtes francs et honnêtes — et vous l’êtes — vous ne pouvez consentir à ce que ces « fautifs » demeurent en prison alors que les grands voleurs des régions dévastées et les généraux assassins sont couverts d’honneurs.
Ceux-là ont réhabilité l’humanité
Parmi les cent mille emprisonnés privés, depuis des années, des tendresses d’une maman, des caresses d’une compagne, des baisers si doux des tout petits, ils se trouvent des individus d’élite qui méritent, outre votre fraternelle pitié, tout votre admiration.
Émile Cottin, Gaston Rolland, Jeanne Morand sont de ceux-là.
L’opinion publique s’est déjà prononcée en leur faveur sans que leurs bourreaux lâchent prise. Il faut que la pression populaire se renouvelle et vainque cette fois.
Émile Cottin voulut venger les morts de la guerre et blessa légèrement le sinistre et jusqu’auboutiste effréné Clemenceau.
Voici ce qu’il écrit à son frère : « Après cinq années d’emprisonnement, je me trouve dans le même état d’esprit qu’aux premiers jours de mon incarcération. Je ne regrette point ma jeunesse perdue et je donnerais de grand cœur ce qui me reste de vie pour que les hommes n’aient plus de raisons de s’entretuer jamais. »Gaston Rolland s’est refusé à porter les armes ; il a préféré obéir à sa conscience plutôt qu’à la soldatesque avide de carnage.
Entendez-le déclarer au Conseil de guerre : « Je ne me repends de rien. Ce n’est pas par couardise, ni par intérêt personnel que je suis insoumis. Si je l’avais voulu, ma connaissance de l’acier m’aurait ouvert les portes d’une usine. Mais je me refuse à fabriquer des instruments d’assassinat aussi énergiquement qu’à assassiner moi-même. Je suis insoumis par principe. »Jeanne Morand fit du pacifisme durant la guerre et vit la patte de la « Justice » s’abattre sur ses faibles épaules. Récemment il lui fut refusé de se rendre au chevet de sa mère mourante.
Et voici la lettre qu’elle adressait alors au gardes des Sceaux : « Voilà près d’un mois que je fais vainement appel à votre esprit de justice et à vos sentiments d’humanité — que je vous implore pour ma mère, non pas pour moi — c’est à croire que votre cœur est de pierre et que la Justice à laquelle vous présidez est tout simplement l’Injustice. »Vous ne voterez pour nous, ni pour personne
Passants, qui nous lisez, nous ne venons pas quémander vos suffrages. Nous serions heureux si nous avions réussi à attirer votre attention attendrie sur le sort des embastillés qui ne sont pas plus coupables que nous et vous, beaucoup moins que ceux qui nous gouvernent, et qui ont bien droit aussi, n’est-ce-pas, au peu de libertés qui nous sont accordées.
Ne pensez pas les libérer en votant blanc, tricolore ou rouge.
Pour les libérer il faut être prêts à vous libérer vous-mêmes et ce n’est pas votre cas puisque vous vous apprêtez à aller voter, à vous donner des maîtres, des lois et des prisons.
Hélas ! par votre faute, les cent mille emprisonnés risquent fort de voir durer leur supplice.
Mais il se peut que quelques-uns d’entre-vous aient parcouru cet appel avec fruit ; alors soyez des nôtres, apprenez à mieux nous connaître, approfondissez nos doctrines et joignez-vous à nous dans nos manifestations pour toute l’amnistie.
Commencez par lire chaque jour le Quotidien anarchiste Le Libertaire
ce sera déjà entre vous et nous le commencement du lien de solidarité qui deviendra de plus en plus indestructible.
Vive l’amnistie et l’anarchie !
Vu, le candidat
[marque syndicale] [Imp. "La Fraternelle", 55, rue de Pixéricourt, Paris ?]
Affiche est tirée du livre de Violette et Juanito Marcos : Itinéraire d’un anarchiste : Alphonse Tricheux, 1880-1957, éditions Loubatières, Toulouse, mars 2011.
Il s’agit peut-être de l’affiche annoncée dans Le Libertaire du 17 avril 1924 (30e année, série 3, n° 122) :
Notre campagne antiparlementaire
Une affiche est prête
Notre première affiche, celle ayant trait à la question de l’Amnistie, est éditée.
Vous la trouverez, camarades de la région parisienne, dans nos bureaux, 9, rue Louis-Blanc. tous les jours, de 9 heures à midi et de 11 heures à 19 heures.
Les amis de province la recevront, en autant d’exemplaires qu’ils désireront, en s’adressant à Rouaux, au Libertaire, 9, rue Louis-Blanc.
D’ailleurs vous êtes, les uns et les autres, priés de vous entendre avec ce camarade pour tout ce qui concerne la campagne antiélectorale et les renseignements dont vous pourriez avoir besoin.
Envoyez les fonds toujours à notre administrateur en utilisant le chèque-postal Lentente 656-02.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
UNION ANARCHISTE
À bas la guerre !…
Cinq années de carnage n’ont pas assouvi la soif de sang des vampires capitalistes.
Aux fabricants d’instruments de meurtre, il faut des débouchés. Aux industriels, il faut à bon compte des matières premières.
Le Maroc, qui détient dans son sol des richesses immenses, a éveillé les convoitises des requins de la Finance et de l’Industrie.
Les Gouvernants espagnols et français, à la solde, comme tous les gouvernants, des puissances d’argent, ont résolu de s’emparer de ce riche pays. Et ils n’hésitent pas à sacrifier des vies humaines pour ce but méprisable. Pour remplir les coffres-forts, chaque jour des hommes tombent frappés à mort.
Que font les politiciens ?
Socialistes, radicaux de toutes nuances, libéraux, soutiennent de leur vote et de leur parole, cette opération de brigandage et mêlent leurs aboiements à ceux des Maurras et Daudet, ces chiens qui, toujours, hurlent à la mort.
LES COMMUNISTES, eux, la dénoncent tapageusement, mais envoient des télégrammes de félicitations au dictateur marocain Abd-el-Krim qui soulève ses compatriotes au nom d’une soi-disant défense patriotique, mais n’est en réalité que l’agent d’autres puissances d’argent et ne rêve que d’établir sur les malheureux indigènes sa propre domination.
Prenant prétexte des poursuites exercées coutre eux, très courtoisement d’ailleurs, par le tortionnaire en chef Schrameck, les employés de Moscou, dictateurs en gestation, ameutent effrontément et trahissent la Classe ouvrière qu’ils prétendent servir.
Les Anarchistes sont contre toutes les Guerres
Logiques avec leur conception de liberté de l’individu, les anarchistes revendiquent pour les peuples coloniaux le droit de disposer d’eux-mêmes.
Seuls, ils ont le droit de dire aux Français, aux Espagnols et aux Marocains :
RÉVOLTEZ-VOUS !…
Mettez dans le même sac Painlevé, Caillaux el Schrameck, etc., sans oublier Briand, Primo de Rivera et son Alphonse, Abd-el-Krim et tous les aspirants dictateurs. Prenez conscience du rôle que l’on vous fait jouer et dont vous ne gagnerez qu’une mort misérable. Ne placez plus vos espoirs de vie meilleure et de paix humaine entre les mains des pantins de la politique, quelle que soit l’outrance de leurs discours ou l’éclat de leur drapeau.
Tous les politiciens trompent le peuple : tout est subordonné pour eux à l’intérêt de leur parti ou de leurs personnes.
On rendra la Guerre impossible en opposant aux appétits des capitalistes, des gouvernants, aux roueries intéressées des flagorneurs, la volonté agissante de ceux qui font les frais de toutes les guerres, exploités de tous pays et de toutes races.
D’autres carnages se préparent
Demain, profitant de l’apathie des masses ouvrières, les dirigeants organiseront de nouvelles hécatombes. IL NE FAUT PLUS QUE CELA SOIT.
Exploités, serfs du chantier, de l’usine, du bureau, préparez-vous à la résistance. Venez aider les anarchistes dans leur propagande anti-militariste, anti-patriotique, pour un idéal de justice et de paix. Assistez aux meetings qui se tiendront sous les auspices des organisations ouvrières qui ont su se soustraire à la tutelle des politiciens.
Il n’y a plus un instant à perdre.
CONTRE LA GUERRE MAROCAINE, POUR LA VIE
Contre toutes les guerres, TOUS DEBOUT !
LE COMITÉ D’INITIATIVE DE L’UNION ANARCHISTE.
Lisez chaque Samedi Le Libertaire, 9, Rue Louis-Blanc, le n° 25 cent. ; le 10 de chaque mois, La Revue anarchiste, 14, Rue Petit, Paris (19e).
[marque syndicale] Imprimerie de l’Union anarchiste
Archives nationales F/7/13172, dossier n° 2, A244 :
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_050130/c-22tl2jivg-v31knt5tf5sz/FRAN_0020_15859_L- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logo AIT ]
- texte :
[tampon]
Contra a guerra
[logo] AIT
Ao operariado mundial—A AIT e a CGT
Ao proletariado português
São passados onze anos sôbre aquele funesto 1 de Agosto em que os modernos Estados, como instrumentos dos diversos grupos de interêsses imperialistas, pronunciaram com a declaração da guerra a sentença de morte a milhões de sêres.
Mais de quatro anos durou o assassinato internacional e por fim se evidenciou que se nenhum Estado ficava vencedor, o proletariado de todos os países foi, sem dúvida, o vencido. Confirmou-se uma vez mais que os que nada possuem nada têm que ganhar com uma guerra, antes, pelo contrário, têm tudo que perder.
Evocando falazes e mentirosas promessas a guerra foi levada a cabo. Seria a última, se disse… porque ficava abatido o militarismo prussiano.
O militarismo prussiano foi aniquilado ; porém, o seu espírito triunfou internacionalmente. A Europa conta hoje com mais de seis milhões de soldados em armas, quere dizer, com unia cifra superior à de 1914. Depois de desarmadas a Alemanha e a Áustria as grandes potências aliadas, nos últimos anos, têm gasto mais nos seus armamentos cio que em 1913 todos os países juntos.
Todos os governos contam com uma guerra próxima e para ela se preparam ; estadistas de destaque declaram pùblicamente que a Europa vai a caminho de umanova catástrofe.
¿ Seria possível outra coisa ? ¿ Foi abolida cima só das causas que produzem as guerras ?
¿ Modificou-se o mais insignificante dos princípios que fundamentam a nossa sociedade ? ¿ Tem tido alguma das conferências cio desarmamento, da chamada Sociedade das Nações, mais êxito que as famosas conferências da paz do czar Nicolau e do imperador Guilherme ? Trocaram as personagens, ficando de pé o sistema.
Ninguém põe hoje em dúvida que as causas da guerra residem nas condições económicas ela nossa ordem social capitalista e que são organizadas pelo Estado, por incumbência dos seus mandatários. Pois bem ; o capitalismo domina porque se crê imutavel, e o Estado, como aparelho militar de fôrça, faz hoje o mesmo que antes de 1914. ¿ Como poderia iludir-se largamente a guerra sob essas circunstâncias ? A abolição da guerra é impossível sem a destruição das tuas causas : o capitalismo e o militarismo. Tôda a acção contra a guerra que não afecte a presente sociedade em seus fundamentos, tôda a conferência de paz dos governos, todo o intuito de desarmamento por parte dos parlamentos ou Sociedade das Nações serão infructuosos por conseguinte e só podem ter a significação de iludir as massas sôbre os verdadeiros propósitos dos governantes e de distrair a atenção pública dos preparativos bélicos dos Estados.
Pois os Estados—tenham êles um disfarce burguês ou social-democrata—preparam-se febrilmente para uma nova extirpação em massa dos povos, com nicles cada vez mais bárbaros. Se outrora se faziam as guerras em “defesa da pátria”, êsse ponto de vista hoje está desvanecido. Pois, se a guerra passada não foi mais que um assassinato colectivo mecanisado na frente, a guerra próxima significa uma campanha ele aniquilamento de povo contra povo.
A “frente” a constituirá a “pátria” inteira. Contra a moderna guerra de gases—como o reconheceu no seu relatório a comissão da Sociedade das Nações—é impossível uma defesa conveniente. Tôda a população civil se verá ameaçada pelo furacão guerreiro. Enquanto que os povos clamam pelo desarmamento, para evitar a catástrofe ameaçadora, cujo horror apocalíptico nenhuma fantasia pode descrever, trabalham os químicos nos laboratórios governamentais em descobertas cada vez mais terríveis de destruição. A sciência moderna, em logar de servir a vida, é só a prostituta da morte.
Com razão indica o relatório sôbre gases deletérios o perigo a que uma nação se expõe ase deixa mexer na sua segurança, por unia confiança demasiado grande nos tratados e acôrdos internacionais. Isso tem uma dupla significação por sair da Sociedade das Nações, a que, por outro lado, dois dos estados mais fortemente armados —a Rússia dos Sóvietes e os Estados Unidos—não pertencem.
Quando por outro lado se tem em conta a influência da política imperialista do petrólio nos Estados e a significação extraordinária dêste lubrificante na técnica da guerra, põe-se claramente a descoberto que a Sociedade das Nações, onde se reúnem os interêsses do capital petroleiro japonês e anglo-holandês contra o trust norte-americano “Standard Oil C.°,” não é mais que uma liga de interêsses imperialistas,—não uma liga de paz, se não uma associação ele Estados, uma organização de guerra.
A luta contra a guerra não pode partir mais do que do próprio povo, e, assim, que cada povo, em primeiro lugar, se rebele contra o próprio govêrno e o Estado.
E’ uma exigência absoluta de auto-defesado proletaria do mundial o resistir enfim com a sua acção às preparações bélicas.
Porém, como ?
A responsabilidade da guerra — assim o têm afirmado sempre os socialistas—ante a humanidade e a história recai sôbre as classes dominantes.
Efectivamente.
Justamente, por isso, a classe operária não deve deixar mais tempo—e menos após 1914 — a responsabilidade da guerra e da paz à burguesia e ao Estado. E’ um verdadeiro crime deixar aos chefes do capitalismo a decisão sôbre a guerra e a paz, pois, segundo sua missão, o capitalismo conduz sempre à guerra e breve desencadeará uma nova hecatombe. Constitui um verdadeiro suicídio o facto dos trabalhadores abandonarem aos Estados capitalistas a decisão de problemas tão transcendentais, mesmo que êsses Estados sejam governados por governos « operários » socialistas ou bolxevistas, ou associado numa chamada “Sociedade das Nações”.
E’ tempo já de que os trabalhadores de todo o mundo, de todas as nações e de todas as raças, em lugar de preparar e pôr em execução a guerra como até aqui, na qualidade de cúmplices submissos, sob a responsabilidade das classes dominantes, tomem a responsabilidade da paz nas suas próprias mãos, como classe consciente, arrancando à burguesia a determinação sôbre os destinos do mundo, sôbre o seu próprio destino, e se convertam em propulsores da sua própria história.
E isso está ao nosso alcance. Somos nós, trabalhadores, os que formamos os exércitos e guarnecemos as armadas. Somos nós os que forjamos as armas, os nua construímos os barcos de guerra.
Somos nós os que produzimos os utensílios bélicos e transportamos os instrumentos de morte.
A guerra capitalista é a obra dos proletários que actuam dentro do ponto de vista capitalista e militarista.
A ameaçadora guerra do futuro só pode ser impedida se os operários manuais e intelectuais adquirirem consciência da responsabilidade da sua situação e actuarem de harmonia.
¡ Proletários de todos os países !
¡ Não confieis mais tempo nos govêrnos que constantemente vos têm enganado ! ¡ Voltai as costas aos partidos políticos que aspiram a constituirem-se em govêrno e que na hora decisiva não deixam a “patria” ficar vencida, ainda que seja só a patria dos ricos !
¡ Abri os olhos ! Penetrai a verdadeira essência daquela liga ele Estados que, sou verdade, só é uma aliança de guerra de um grupo de govêrnos capitalistas e que pomposamente se chama “Sociedade das Nações”.
Julgai os adversários da guerra, não pelas suas palavras, mas pelos seus actos ! Seja de vossa parte um exemplo frisante a negativa a fazer o serviço militar !
¡ Que o facto individual vos leve à acção colectiva !
¡ Transportai o campo de luta dos parta-lamentos às fabricas, da Sociedade das Nações aos quartéis e às armadas !
¡Tende presente o exemplo daqueles camaradas que se recusaram já à produção de material de guerra e se negaram a transportar tropas !
¡ Que essa conduta se transforme em táctica geral ! ¡ Organizai o boicote contra todo o trabalho de armamentos que faça possível a guerra !
¡ Estai atentos ! ¡ Por cada dia é mais ameaçador o perigo dum novo assassinato dos povos !
Tôda a ordem de mobilização deve ser para vós um sinal da greve geral imediata e de recusa colectiva ao serviço militar conto primeiro acto da revolução social que porá termo à exploração capitalista, no militarismo criminoso e à opressão do Estado.
¡ Contra a guerra, a revolução dos oprimidos ! Concluímos chamando a atenção para a seguinte resolução do segundo congresso da Associação internacional dos Trabalha-dores :
“O congresso resolve exortar as organizações aderentes a realizar em todas as cidades e aldeias de todos os países, no primeiro domingo de Agosto, manifestações antimilitaristas em comemoração do início da grande guerra mundial. Esses actos podem ser empreendidos em COMUM com outras organizações que não possam ser responsabilizadas pelo rebentar da grande guerra.”
Que o proletariado de todos os países demonstre no primeiro domingo de Agosto a suma oposição unânime contra a guerra e a sua aspiração por um novo sistema de vida.
¡ Abaixo o militarismo ! ¡ Viva a revolução social !
A Associação Internacional dos Trabalhadores
Berlim, Julho de 1925.1042-925 — Tip. Ass. Comp. Tipograficos—T. Aires Flôr, [86 ?]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Comité d’action libertaire
Lyon et banlieueSalle des fêtes de l’Unitaire
127, rue Boileau, 127Vendredi 22 janvier 1926, à 20 h 30
grande conférence publique et contradictoire
sur : l’objection de conscience et le service militaire obligatoire
par
Georges Pioch
La contradiction a été sollicitée par lettres recommandées auprès de l’Action française, de la Légion et de la Ligue des Droits de l’Homme
Participation aux frais : un franc
[marque syndicale] Imprimerie Nouvelle Lyonnaise - 3, rue Sainte-Catherine - Lyon.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Élections législatives de 1928
Amnistie !
Il y a quatre ans, les candidats quelle que soit la nuance de leur parti avaient inscrit à leur programme :
L’amnistie
Amnistie pleine et entière ajoutaient-ils pour la plupart.
Sous le signe du Cartel des gauches, on allait avoir, enfin, le droit de s’exprimer librement sur la terre de la Révolution et des « Droits de l’Homme » sans risquer des années d’emprisonnement.
Des engagements solennels et formels furent pris.
Électeurs, rappelez-vous !…
« Plus de Biribi, disaient les bons apôtres. Les Bagnes militaires et leurs pourvoyeurs, les Conseils de guerre dont l’arbitraire est définitivement condamné par tous disparaîtront à jamais. »
Les Lois Scélérates, votées en un moment de frousse intense par des parlementaires de toutes étiquettes, n’ayant plus de raison d’être, allaient être abolies.
C’était promis, c’était juré !
Avec un ensemble touchant, les électeurs alléchés par ces belles promesses envoyèrent au Parlement les candidats de gauche.
Ils y étaient la majorité. Qu’ont-ils fait ? Rien !…
Biribi existe toujours. La brutalité des chaouchs, les tortures infligées peur le simple plaisir de taire souffrir y sont toujours en usage.
Le Libertaire, qui n’est au service d’aucun parti politique mais est seulement, l’organe des opprimés, de toutes les victimes de l’autorité de l’autorité a dénoncé et dénonce chaque semaine les atrocités infligées à de petits gars de vingt ans, à des enfants du peuple, sacrifiés à un militarisme toujours plus arrogant.
Les Conseils de guerre fonctionnent, aujourd’hui, comme il y a quatre ans avec la même inhumanité.
Les lois scélérates sont devenues super-scélérates. Une magistrature servile les applique à tous les délits de presse et de parole contre tous ceux qui commettent le crime de ne pas trouver parfait le système capitaliste.
Il n’y a même plus besoin d’être anarchiste pour en subir les rigueurs. Les socialistes autoritaires, dits communistes, dont les théories sont diamétralement opposées aux doctrines libertaires, se voient condamnés a de multiples années de prison pour « propagande anarchiste. »
C’est aussi odieux que ridicule.
Il n’y a pas eu d’amnistie
Il a suffi, lorsque ce mot fut prononcé de voir se dresser un Poincaré ou un Barthon pour qu’il n’en soit plus question.
La législature qui vient de se terminer a failli à tous ses engagements. Les candidats de 1928 font les mêmes promesses que ceux de 1924.
Électeurs ouvriers, ne vous laissez plus duper !
Ne votez pas
Ce n’est pas en votant que vous libérerez vos fils, vos frères, vos amis qui peuplent les bagnes de la République.
Les politiciens qui vous promettent l’amnistie vous trompent.
Ne comptez pas sur eux.
Comptez sur vous et sur vous seuls.
Imposez l’amnistie !
Organisez-vous sur le terrain du travail en dehors de toute tutelle politicienne. Quand vous aurez conscience de votre force, l’amnistie — que tous les faiseurs de loi ne vous accorderont jamais — sera une réalité.
L’Union Anarchiste Communiste Révolutionnaire.
Tous les jeudis, lisez Le Libertaire, le n° 0 fr. 50.
Affiche présentée dans Le Libertaire du 30 mars 1928 (34e année, n° 153) :
Le texte publié ci-dessus est celui de notre seconde affiche format colombier pour notre campagne anti-parlementaire. Elle sera tirée aux premiers jours d’avril, et expédiée aux groupes et individualités qui en feront la commande en l’accompagnant du montant en chèque postal à J. Girardin c/c 1191-98, Paris, 72, rue des Prairies, XXe
Afin de régler le tirage et l’expédition dans un temps très court, nous prions nos correspondants de nous fixer le nombre des affiches qu’ils désirent avant le 7 avril) dernier délai.
Le prix du cent est fixé à 30 francs.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (« Les Semailles - La Récolte ») ]
- texte :
Poilu… souviens-toi toujours
Les Semailles
[dessin]
La Récolte
[dessin]
Voila le résultat des principes facistes [fascistes], étatiste, parlementariste, et de la sainte autorité sous toutes ses formes !!!
… Groupe de synthèse anarchiste …
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
Text
dessin (squelette, avatar de la guerre, lançant des avions gazer une ville) par [Gabor Wash ?]
- texte :
Einladung zu der am Montag,, 21. September 1931, in den Stersälen, Graz, Grenadiergasse 23, mit den Beginn um 8 Uhr abends stattfindenden
Massen-Kundgebund gegen Militarismus, Aufrüstung und Krieg !
Sprechen wird der vom Weltkongreß der Internationale der Kriegsdienstgegner in Lyon (Frankreich) zurückgekehrte Delegierte Oesterrreichs : Pierre Ramus aux Wien.Die Rettungsbotschaft des Internationalen Kriegsdienstgegnerkongresses an Proletariat und Menschheit :
[…]
Menschen ! […]
[…]
Bund der Kriegsdienstgegner.
Am Mittwoch, den 23. September 1931 in des Sternsälen, Grenadiergasse 23
(nächst Griesplatz)Wichtige Versammlung
mit dem Thema :
Welche Idee und Bewegung kann allein dem Kapitalismus den Untergang bereiten ?Staats-Sozialismus, Bolschewismus oder Anarchismus.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
- texte :
Ligne Internationale des Combattants de la Paix (Section de Genève)
13 morts, 70 blessés le 9 novembre 1932
ne suffisent pas au militarisme suisse. Ses représentants viennent à Genève narguer les victimes.
Honte à eux !Les sous-officiers qui viennent « jouer » la guerre préparent de nouvelles tueries.
Honte à eux !Habitants de Genève,
Les galonnards ne sont pas vos hôtes. C’est le militarisme s’imposant en pays conquis. Partout, montrez votre mépris aux préparateurs de nouveaux carnages.
Honte à eux !Ouvriers ! gens de cœur !
Le gouvernement fédéral a annoncé un budget militaire extraordinaire de 100 millions, à ajouter aux 110 millions consacrés chaque année pour l’armée suisse. Actuellement, des millions de chômeurs n’ont pas de moyens pour vivre. Cependant, les militaristes gaspillent des sommes folles pour la mort.
Honte à eux !En cette circonstance, la Genève de la SDN, la Genève du 9 novembre, doit, pour son honneur, répondre aux excitations chauvines par les cris de :
Vive la Paix !
À bas le Militarisme !
LICP
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ titre (Victoire) ; peinture (épée ensanglantée plantée sur une champ de bataille jonché de morts, quelques civils miséreux en premier plan ]
- texte :
Victoire
Reproduction d’un tableau de Sagrista (affaire Ferrer ?), aussi édité en carte postale par Le Réveil anarchiste : https://cartoliste.ficedl.info/article1671.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
L’Amico del popolo
Gli anarchici e la guerra
Lavorafori !
La Campagna Antimilitarista combattuta senza tregua dagli Anarchici, torna, oggi più che mai in primo piano.
Nuove nubi si addensano all’orizzonte foriere di tempesta e, se voi non vi solleverete dal letargo in cui sembrate immersi per imporre con un supremo sforzo di volontà il "basta., ai governanti sarete inesorabilmente travolti.
Intanto, mentre in convegni più o meno segreti, i Ministri degli Esteri di Oriente e di Occidente stanno confabulando per formare i blocchi della pace… (armata), si tengono ovunque sotto le armi milioni di lavoratori trasformati in strumenti di morte.
Che cosa fanno i popoli ? I popoli stanno a guardare pronosticando secondo i loro particolari desideri, la vittoria dei "rossi„ se sono influenzati dagli "amici d’Oriente„ e la vittoria dei neri„ se sono asserviti ai preti o al "blocco Occidentale,,.
Naturalmente chi farà poi le spese di questa prossima tragedia saranno, come in tutte le guerre, i lavoratori di tutti i Continenti, i quali vi rimetteranno la vita o comunque ne usciranno minorati.
I Capi degli eserciti e dei Governi, i magnati dell’oro, i fabbricanti di cannoni, i mercanti di carne umana troveranno sempre un rifugio che li salverà dalle bombe e una laida Petacci che li consolerà, mentre il 50 dei figli dei lavoratori cadranno dilaniati dalla mitraglia, non importa se nelle sabbie Africane o in qualche altra parte del mondo.
In questa scandalosa e ripugnante tragedia, il popolo oppresso, mentre istintivamente comprende tutta la falsità e l’inganno cui lo trascinano i politicanti non sa trovare la via della salvezza, non sa trovare un atto di ribellione.
Vi sono si delle correnti politiche che si dicono contrarie alla guerra, ma intanto si prostituiscono alle ambasciate e nei Ministeri affiancandosi ai governi, mentre altre correnti, in mancanza di meglio, proclamano la loro "amicizia per un solo popolo„ come se i lavoratori degli altri Paesi fossero meritevoli d’essere considerati carne da cannone e logicamente distrutti.
Attenzione lavoratori ! Non vi lasciate ingannare !
Finchè esistono sfruttati e sfruttatori non possono esservi lavoratori "amici„ e lavoratori "nemici„.
Gli sfruttati d’Oriente, come gli sfruttati d’Occidente, sono tutti schiavi dei loro governi e se c’è da prendere posizione contro qualcuno, questi altri non può essere che il criminale di guerra, che, ovunque si trovi, vi impone di marciare„.
Oggi i pennivendoli variopinti non hanno il coraggio di sostenere apertamente la "inevitabilità della guerra„ ma domani, quando i padroni dei due blocchi lo ordineranno allora i detriti di tutte le cloache si daranno anima e corpo ad imbottire i crani per far credere che anche questa guerra è necessaria per la salvezza dell’umanità. — Il gioco è vecchio ed è l’ora di farla finita.
Lavoratori ! La vostra vita è in mano dl pochissimi uomini, di pochi dittatori, imponete a costoro il rispetto della vostra esistenza ; fate si che la guerra non dipenda dalla vostra abulia.
Dite ai Governanti che non voi avete voluto l’art. 52 (servizio mililoue ottilooloolo) e per tanto non siete tenuti all’osservanza che comporta. Dite a tutti i falsi "pacifisti„ (della politica, dei Governi, delle chiese), che nessuno deve impedirvi di vivere a vostro modo.
La posizione degli anarchici nel conflitto latente tra gli imperialismi rivali e tiranni è chiara ed inconfondibile. Gli Anarchici sono contro tutte le guerre e non marceranno nè a fianco dei lavoratori americani per schierarsi contro i lavoratori russi nè con i lavoratori russi per andare contro i lavoratori americani. Tutti i lavoratori, Russi, Americani, Francesi, Cinesi ecc. soro i nostri fratelli, ai quali, inviamo la nostra solidarietà ; mentre ai governanti di tutti gli stati - accozzaglia di parassiti sempre pronti a barattare i loro loschi interessi con la vita dei lavoratori - va incondizionato il nostro disprezzo.
Lavoratori ! Seguite la chiara posizione Antimilitarista degli Anarchici.
Non seguite coloro, che, domani, vi spingeranno contro i vostri fratelli.
Dite a questi farisei che, piaccia o non piaccia loro mai indosserete la divisa che uccide il fratello ; rifiutate il vostro concorso alla guerra : sia rifiutando di obbedire a chiunque vi imponga di "marciare„ sia rifiutando di costruire strumenti di sterminio.
Aspettate al varco i falsari della pace, i camaleonti delle crociate della bontà (che non tarderanno a cambiar di colore) e quando vi diranno di partire per salvare la patria„ gridate loro in faccia :
Basta con la "servitù„ Basta con la frode.
Il vostro no alla guerra sia conseguente in tutte le direzioni.
Al delitto della guerra, risponda la rivolta degli oppressi : con la Rivoluzione Sociale liberatrice !.
Solo così la belva militare sarà ricacciata nella sua tana.
La Federazione anarchica ligure.
Mortara - Ferraris & C. - Genova-Cornigilano
Verso di L’Amico del popolo, Genova 30 novembre 1948 (anno III, n. 15).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Sauvez Lecoin !
Depuis des années des hommes sont en prison pour refus de porter les armes
Ces objecteurs de conscience n’ont pu obtenir la liberté, quand des officiers rebelles bénéficient de « circonstances atténuantes »
Solidaire de ces objecteurs, Louis Lecoin, 74 ans, animateur du Centre de défense des objecteurs de conscience a entreprris depuis le 1er juin une grève de la faim illimitée
Vous ne le laisserez pas mourir
Intervenez d’urgence auprès des pouvoirs publics
Les Forces libres de la paix — Secrétariat, 3, rue Ternaux, Paris XIe
Impr. spéc. des FLP
Juin 1962.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ main qui tient un drapeau rouge avec l’inscription « nè servi, nè padroni » et texte ]
- texte :
Galleria internazionale
San Polo, Rio terra dei Nomboli 25074 - Tel 700707 - Venezia
1864-1964 : Marx, Bakunin, Cafiero
[ dessin : drapeau rouge « Ne servi ne padroni »] Da una xilographia del "Le Réveillé" - 1870
28 settembre 1864
St. Martin’s Hall, Inghilterra : nasceva la Prima internazionale
Marx, Bakunin, Engels, Cafiero… per citare qualche nome. Furono riaffermati i principi della uguaglianza della pace, della cooperazione, della fratellanza che univano i proletari di tutto il mondo : operai di tutto unitevi ! venne proclamato.
Importanti concetti venivano stabiliti, decisivi per la evoluzione della classe operai mondiale la cui emancipazione sociale, veniva dichiarato è inseparabile dalla sua emancipazioni politica.
Cento anni di lotte da allora per pervenire al possesso di fondamenti diritti e sociali di cui ormai si ha coscienza chiarissima.
Ed è certamente una grossa occasione quella del centenario della Internazionale, per la continuazione di un discorso da noi già iniziato e portato avanti sempre con più forza in questi mesi di attività densi di lavoro, iniziative, incontri e… scontri.
Costituisce inoltre l’occasione per procedere all’importante verifica dell’influenza che l’evento storicio ha determinato.
L’ampliamento del significato della mostra alla protesta contro la guerra non è arbitrario dato che il pacifismo costituisce elemento indubbio dell’internazionalismo.
I pittori : hanno riposto anche in questa occasione il che dimostra che sono attenti e impegnati in un lavoro che non è solo e limitatamente artistico pur non prescindendo da esso. Ci pare petanto errato generalizzare e riteniamo fenomeno isolato e circoscritto quello del decadentismo neocapitalistico espresso in più ambienti ufficiali.
La sera della inaugurazione avremo fra noi per una breve conferenza il famoso internazionalista e pacifista Hem Day, Luisa Ronchini e Philippe Drogoz canteranno canzoni popolari contro la guerra.
Galleria Internazionale
No ! Alla guerra !
Parlerà : Hem Day
Collettiva dei pittori : Basaglia, Boscolo, Bussotti, Eulisse, Fullin, Gianquinto, Guadagnino, Pagnacco, Renzini, Sartorelli, Scarpa, Zancanero
Ore 21, mardeti 8 settembre 1964
Inaugurazione della mostra - Conferenza di Hem Day - Luisa Ronchini e Philippe Drogoz canteranno canzoni popolari italiane e francesi contro la guerra - Alla chitara Franco Barini
Tip. Veneto - Venezia - [tel.] 31.658
— [Esente da bollo à sensi degli Arti. 14 a 15 D.P. 342 del 24.6.54]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (journal mural) supplément à Umanità Nova du 18 avril 1965 ]
- texte :
1° maggio 1965 : Gli Anarchici Al Popolo
Gli Anarchici
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ dessin : drapeau noir cerclé ; texte ]
- texte :
[logo drapeau noir cerclé avec slogan "ni dieu ni maitre"]
Avec la Fédération anarchiste contre « La cohorte des petits rebelles graine d’esclaves, qui finissent par s’offrir aujourd’hui sur tous les marchés d’Europe à n’importe quelle servitude » (L’Homme révolté, Albert Camus)
Contre la guerre sous toutes ses formes
Pour une société sans classe
Contre les classes dirigeantes sous tous leurs aspects
pour un socialisme égalitaire
Si vous êtes décidés à poursuivre la lutte révolutionnaire, rejoignez le Groupe Libertaire Louise Michel
Adressez-vous : 110, passage Ramey, Paris 18e - Tél. : ORN 57-89
Imp. du Sommet, 3, r. du Sommet des Alpes, 15e
1966 selon IISG-IIHS (Amsterdam).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
- texte :
Amnistie aux insoumis
Jeunes libertaires
[exste version avec papier collé :]
Plus de hiérarchie“De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins.”Les AnarchistesJeunes libertaires- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ photo (jeune cool “seventies”, une colombe sur l’épaule et les mains liées par une chaîne et un cadenas suisse : [plagiat de Guillaume Tell, la pomme étant remplacée par le livre “Défense civile”) ]
- texte :
Défense civile
© by C. H. Paccaud et Y. Péclard - Imprimé en Suisse
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (ruines, cimetières, femme avec rameau, oiseau [aigle ?] et autre oiseau ensanglanté [colombe ?])
- texte :
Engagez-vous !!
Devenez un criminel respecté
Assassinez vous les uns les autres
Soyez heureux !!
Rompez !!
Union des groupes anarchistes de Normandie
Sérigraphie du Fonds Daniel Guérin
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (solidarité avec Don milani, imprisonné) ; dessin (grenadiers au garde-à-vous sur les côtés) ]
- texte :
I prestiti delle guerre sono molteplici :
però la causa immediata ne è una sola :
l’esistenza d’un esercito.No alle armi
Collettiva dei pittori
inaugurazione della mostra, giovedì 16 dicembre, ore 19Boscolo - Pontiti - Di Venere - Pregnolato - Guadaguino - Toffolo - Pagnacco
I pittori si uniscono alle proteste di Don Milani, che subisce in questi giorni un processo, per aver solidarizzato con gli obiettori di coscienza di oggi e di sempre, reclamando il diritto, per ogni individuo libero, di rifiutarsi ad impugnare le armi.
[logo] Galleria Internazionale — Venezia - S. Polo 2756
Tip. Veneta - Venezia
Esante da Bollo - D.L. 342, art. 19 - 16-4-1
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (inutilité du service militaire et encouragement aurefus de servir la patrie) ; dessin (« carabiniere » tenant une affiche ]
- texte :
All’esercito dei padroni si risponde signor NO : L’esercito è un pilastro del sistema
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ dessin (fusil brisé) ; texte ]
- texte :
Comité Brochier
Brochier en prison, pourquoi ?
150 à 200 exemplaires. Probablement tirée à Limoges.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin en deux parties : officier criant sur soldats ; alignement de croix d’un cimetière militaire ]
- texte :
Garde à vous !
Repos.
Fédération anarchiste
3, rue Ternaux — 75011 Paris
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin en deux parties (officier criant sur soldats - alignement de croix d’un cimetière militaire) ]
- texte :
Garde à vous ! Repos
Fédération anarchiste
3, rue Ternaux - Imprimerie spéciale du Monde libertaire
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
allegato al n.3 di Senzapatria
- texte :
’Il piacere della distruzione è anche ebbrezza creative’, Bakunin
Claudio Goldin di Monseline sta scontando 6 mesi di galera militare non avendo riposto subito alla chiamata alle armi e per una successiva diserzione. È in attesa di processo per fabbricazione et detenzione di rudimentali ordigni esplodenti.
Patrizio Frigo di Schio, disertore condannato a 17 mesi dal tribunal militare romano per non aver levato le mani di tasca e dato del fascista a due ufficiali
insubordinazione !
insubordinazione !
insubordinazione !
[…]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
bande dessinée (un appelé face à un officier puis à un bureaucrate se déclare ensuite objecteur au grand dam de ces deux personnages)
- texte :
-
SOC - 6, impasse Popincourt, Pari XI
L’exemplaire du FACL est sérigraphiée au dos d’une affiche du Comité Vietnam National (trotskiste).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte (sérigraphie manuscrite)
- texte :
Jeune !
Le service militaire n’est pas obligatoire
Tu n’es pas obligé d’accepter la gaspillage de la force de frappe et l’armée
Tu n’es pas obligé d’accepter le conditionnement du service militaire
Tu as le droit de choisir la liberté de vouloir une vraie justice dans une société plus humaine
La loi de permet de choisir
l’objection de conscience
Pour tous renseignements sur la loi
Secrétariat des objecteurs de conscience
6, impasse Popincourt, Paris XI- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
testo
- texte :
circa undici sono i giovani che attualmente sono detenuti nelle carceri militari per obiezione totale, undici giovani che hanno detto no sia al servizio militare sia a quello civile.
no a tutti gli eserciti
per una lotta antimilitarista e antiautoritaria- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Contre la guerre ! Contre le crime !!]
[Contre la guerre ! Contre le crime !!]. — Paris : Jeunesses anarchistes : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1921 |
[Contre la guerre : l’insoumission et l’insurrection]
[Contre la guerre : l’insoumission et l’insurrection]. — Paris : Ligue internationale des réfractaires à toutes guerres : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Debout contre le militarisme !]
[Debout contre le militarisme !]. — [S.l.] : Section française de l’Internationale Antimilitariste, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 27 × 21 cm.
sources :
[La mobilisation c’est la guerre]
[La mobilisation c’est la guerre]. — Paris : Jeunesses anarchistes : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1921 |
![]() 1921 |
[Électeurs endurcis !]
[Électeurs endurcis !]. — [S.l.] : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), (Fraternelle (Paris), La). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1924 |
[À bas la guerre !…]
[À bas la guerre !…]. — Paris : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 120 × 60 cm.
sources :
[Contra a guerra : ao proletariaro português]
[Contra a guerra : ao proletariaro português]. — Lisboa Lisbonne : AIT_-IWA_ : CGT_ (Confederação Geral do Trabalho), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[L’objection de conscience et le service militaire obligatoire : conférence publique et contradictoire]
[L’objection de conscience et le service militaire obligatoire : conférence publique et contradictoire]. — Lyon : Comité d’action libertaire (Lyon), (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 86 × 62 cm.
sources :
[Amnistie ! : élections législatives de 1928]
[Amnistie ! : élections législatives de 1928]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939) : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Poilu… souviens-toi toujours]
[Poilu… souviens-toi toujours]. — Paris : Groupe de synthèse anarchiste (Paris), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : brun , papier de couleur ) ; 100 × 65 cm.
sources :
[Massen-Kundgebund gegen Militarismus, Aufrüstung und Krieg !]
[Massen-Kundgebund gegen Militarismus, Aufrüstung und Krieg !]. — Graz : IRG_ - MIR_ (Internationale des résistants à la guerre - Mouvement international de la réconciliation), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[13 morts, 70 blessés le 9 novembre 1932]
[13 morts, 70 blessés le 9 novembre 1932]. — Genève : LICP (Ligue internationale des combattants de la paix), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 22 × 14 cm.
sources :
[Victoire]
[Victoire] / Fermín Sagristà. — Genève : le Réveil (1900-1947), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 66 × 48 cm.
sources :
[Gli anarchici e la guerra]
[Gli anarchici e la guerra]. — Genova Gênes : Amico del popolo (Genova) : Federazione anarchica ligure, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 70 × 50 cm.
sources :
[Sauvez Lecoin ! Vous ne le laisserez pas mourir]
[Sauvez Lecoin ! Vous ne le laisserez pas mourir]. — Paris : CDOC (Centre de défense des objecteurs de conscience) : Forces libres de la paix (FLP), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , rose ) ; 50 × 64 cm.
sources :
![]() 1962 |
[Galleria internazionale : Prima Internazionale, 1864-1964. No alla guerra. Parlera Hem Day Collettiva dei pittori]
[Galleria internazionale : Prima Internazionale, 1864-1964. No alla guerra. Parlera Hem Day Collettiva dei pittori]. — Venezia Venise : Collettiva dei pittori : Galleria internazionale, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 100 × 70 cm.
sources :
[1° maggio 1965 : Gli Anarchici Al Popolo]
[1° maggio 1965 : Gli Anarchici Al Popolo]. — Roma Rome : gli Anarchici : Umanità nova, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 85 × 59 cm.
sources :
[Avec la Fédération anarchiste contre … Rejoignez le groupe libertaire Louise Michel]
[Avec la Fédération anarchiste contre … Rejoignez le groupe libertaire Louise Michel]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Louise-Michel (Paris), (Sommet, impr. du (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier orange ) ; 39 × 60 cm.
sources :
[Amnistie aux insoumis]
[Amnistie aux insoumis]. — Paris : Jeunes libertaires (1953-1967), [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 43 × 59 cm.
sources :
[Défense civile]
[Défense civile] / Y. Péclard ; C. H. Paccaud. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 40 cm.
sources :
[Engagez-vous !! devenez un criminel respecté]
[Engagez-vous !! devenez un criminel respecté]. — [S.l.] : Union des groupes anarchistes de Normandie, [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 40 × 60 cm.
sources :
[No alle armi]
[No alle armi]. — Venezia Venise : Circolo internazionale di cultura popolare (Venezia) : Collettiva dei pittori : Galleria internazionale, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 70 × 47 cm.
sources :
[All’esercito dei padroni si risponde signor NO]
[All’esercito dei padroni si risponde signor NO]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; 94 × 65 cm.
sources :
[Brochier en prison, pourquoi ?]
[Brochier en prison, pourquoi ?]. — Limoges : Groupe libertaire de Limoges, [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 45 × 42 cm.
sources :
[Garde à vous ! repos]
[Garde à vous ! repos]. — [S.l.] : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() [s.d.] |
![]() [ 1977 ?] |
![]() [ca 1970] |
![]() [s.d.] |
[Garde à vous ! repos]
[Garde à vous ! repos]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 49 × 65 cm.
sources :
![]() [ca 1970] |
![]() [s.d.] |
![]() [ 1977 ?] |
![]() [s.d.] |
[Il piacere della distruzione è anche ebbrezza creativa (Bakunin) ; insubordinazione !]
[Il piacere della distruzione è anche ebbrezza creativa (Bakunin) ; insubordinazione !] / Carla Morrone. — [S.l.] : Senzapatria, . — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une : vert ) ; 50 × 30 cm.
sources :
[Je suis objecteur de conscience]
[Je suis objecteur de conscience]. — Paris : SOC_ (Secrétariat des objecteurs de conscience), [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; 93 × 62 cm.
sources :
[Jeune ! la loi de permet de choisir l’objection de conscience]
[Jeune ! la loi de permet de choisir l’objection de conscience]. — Paris : SOC_ (Secrétariat des objecteurs de conscience), [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; 62 × 60 cm.
sources :
[Per una lotta antimilitarista]
[Per una lotta antimilitarista]. — Carrara Carrare : Circolo culturale anarchico (Carrara), [ ?]. — 1 affiche (manuscr. ) : n. et b. ; 56 × 77 cm.
sources :
[Dire merde à l’armée, c’est s’affirmer un homme libre]
[Dire merde à l’armée, c’est s’affirmer un homme libre] / CSI (Comité de Soutien aux Insoumis). — Paris : [s.n.], [ca ] (IPN/AIPN (Ateliers d’Impression Presse Nouvelle, Lyon)). — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 68 × 50 cm.