France

 

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Affichage par année

4564 affiches :

 






    [Effraction #1]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Effraction #1]. — Paris : Cid_ Errant Prod, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 44 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : collection particulière
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (programme d’un festival) ; dessin (personne enjambant une grille) ]

    texte :

    Effraction #1

    L’art & la contestation aujourd’hui : expo, rencontres, débats, lectures, concerts !

    6-7-8-9 octobre 2011
    Galerie de Nesle
    8, rue de Nesle, 75006 Paris
    Métro Odéon/Pont Neuf

    6 & 7 octobre à partir de 17 h
    8 & 9 octobre à partir de 14 h
    Rens. : www.ciderrantprod.com

    [logos :] Effraction Festival — Les Trois Coups .com le journal quotidien du spectacle vivant — Cid Errant Prod


    sources :

    Voir aussi sur http://effraction.blogspot.fr/ :

    6, 7, 8 & 9 octobre 2011
    6 & 7 octobre à partir de 17h
    8 & 9 octobre à partir de 14h

    Galerie de Nesle – 8 rue de Nesle 75006 Paris
    Accès : Métro Odéon / Pont Neuf

    4 jours de festival transdisciplinaire consacrés aux relations qu’entretiennent l’art, la littérature et les mouvements de contestation aujourd’hui, au travers d’expositions, de rencontres, de débats, de lectures et de concerts.

    Tarif : participation libre

    Contact Presse : Emmanuel Donny
    06 67 17 92 22 / emmanueldonny@yahoo.fr

    Renseignements : contact@ciderrantprod.com
    01 77 17 56 85 / 06 64 31 10 09

    www.ciderrantprod.com

    Effraction (commettre une) : ouvrir une brèche dans ce qui semble irrémédiablement clos. Sens littéral et figuré.

    EFFRACTION #1 : est un parcours transdisciplinaire des arts et des lettres proposé par le collectif Cid Errant Prod, regroupant pendant 4 jours au cœur du quartier de Saint-Germain des Près, des éditeurs, des libraires, des photographes, des street-artists, des comédiens, des collectifs artistiques et diverses associations de terrain, autour de la problématique suivante :

    Quelle place, réelle ou fantasmée, occupent l’art et la littérature dans le traitement des questions sociales aujourd’hui ? L’art et la littérature ont-ils encore un rôle à jouer dans les mouvements insurrectionnels actuels ?

    Mais EFFRACTION #1, c’est d’abord un « lieu autre », la localisation physique d’une utopie, pensé et voulu comme un espace de vie hétérochronique . C’est pourquoi la galerie accueillera pour la durée de l’événement un bar et une librairie éphémères, lieux de croisement et de rencontre où prolonger agréablement les discussions, au milieu des œuvres exposées, en dégustant des vins du Val de Loire, des jus de fruits, des bières et des limonades de fabrication artisanale...

    EFFRACTION #1, ou quatre jours pour tenter, ensemble, d’ouvrir des brèches dans les murs des différentes chapelles, de croiser les regards et les paroles d’acteurs divers, tous engagés, à l’heure où démarre la nouvelle campagne présidentielle, autour de questions restant malheureusement essentielles en cette fin d’année 2011 : "la grande misère en Europe", "corps urbain, homme parasite ?" ou comment et pourquoi la ville moderne est-elle en train d’exclure l’homme de son centre, les liens qu’entretiennent l’art et la littérature avec les mouvements de contestations actuels, les lieux de diffusion et de création artistiques restent-ils des espaces au sein desquels peuvent jaillir les expressions de la contestation et du refus de ce monde, tel qu’il va ?...

    — -

    4 jours pendant lesquels se croiseront :

    • Des écrivains aussi importants que Robert McLiam Wilson, Eric Vuillard*, Stéphane Audeguy ou Antoni Casas Ros, l’écrivain sans visage, qui fera à cette occasion sa première "apparition" publique pour venir parler de son nouveau roman Chroniques de la dernière révolution, paru aux éditions Gallimard.
      — Des penseurs comme Jean-Claude Milner*, Laurent de Sutter ou Patrick Declerck.
      — Des street-artists comme : GORELLAUME, YEROGLIF, FMR, PWCCA ou 3615,
      — Des comédiens/comédiennes comme Dominique Frot,
      — Des photographes, avec "J’ai faim", la nouvelle exposition de Mathilde Bouvard ou Stekyndt pour sa toute première exposition "Life is beautiful"
    • Des représentants des associations de terrain comme Julien Bayou pour Jeudi Noir, le Collectif des 39 contre la Nuit sécuritaire ou encore Agathe Cousin pour l’ANDES ( association nationale des épiceries solidaires),
    • Mais aussi des critiques littéraires comme Éric Bonnargent, Juan Asensio ou Jean-Philippe Domecq, des metteurs en scène comme Laurent Maindon, des éditeurs comme Tieri Briet , Pierre Banos des Éditions Théâtrales, les libraires de La 25e heure et de la Librairie libertaire, des musiciens comme Metatechno-Caroline Duris, Planetaldol, Bérangère Maximin...
      — Le jeudi, le vendredi et le samedi soirs se termineront sur des concerts/dj sets qui prolongeront l’évènement jusque tard dans la nuit parisienne, avec Planetaldol, Jean Feraille, Mamajih & Mr Leon.








    [Fête de La Sociale !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de La Sociale !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; presse  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Carré, Jean-Michel (1948-....)
    • Presse citée  : Sociale ! (CNT), la
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (employés à buste de poisson, courant de droite à gauche, valise à la main) ]

    texte :

    Fête de La Sociale !

    Le journal de la fédération CNT des travailleur-se-s de la santé et du social

    Évaluation, contrôle, objectif, performances…

    Travail, quel sens ?

    Projection-débat

    14 h. Projection du film « J’ai (très) mal au travail » suivi d’une rencontre-discussion avec le réalisateur Jean-Michel Carré.

    16 h 30. Débat autour des évaluations et de l’isolement au travail et ailleurs. Tout est mis en œuvre pour nous paramétrer, nous mesurer et capter notre imaginaire au service des normes gestionnaires, comptables et patronales. Comment sortir de ce conditionnement ?

    Et aussi…

    De 14 h à 18 h. Goûter pour les petit-e-s et les grand-e-s, espace enfants, tables de presse, restauration légère à prix libre, zone de gratuité (apportez les affaires dont vous ne voulez plus et prenez ce qui vous intéresse), buvette, vente d’artisanat syndical…

    Accueil à partir de 13 h — Entrée à prix libre

    Au local de la CNT — 33, rue des Vignoles 75020 Paris — Métro Avron ou Buzenval


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_-__Fete_La_Sociale.jpg



    [Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; luttes ouvrières  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Couté, Gaston (1880-1911)  ; Daraqui, Bruno  ; Flouquet, Emmanuelle  ; Munier, Nicolas
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (enfant se cachant derrière/montrant ses mains sales) ]

    texte :

    Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"

    en mise à pied conservatoire pour leur engagement syndical

    pour les petits et les grands…

    le 28 mars

    14 h-21 h

    Au local de la CNT
    33 rue des Vignoles, 20e
    métro : Avron ou Buzenval

    Prix libre - Caisse de solidarité à l’entrée

    L’émancipation et l’autonomie, ça commence dès la naissance !

    [char cerclé CNT] La question sécuritaire, l’hygiénisme, l’enfermement des enfants, la rentabilité, la précarité, la diminution des formations, la pression sur les salariées traversent aussi le secteur de la petite enfance.

    Face à celà, des professionnels essaient de défendre d’autres pratiques pédagogiques dans les lieux de formation, les bibliothèques, les lieux d’accueil des tout-petits afin de donner la priorité à l’éveil et à l’émancipation des enfants.

    Projection du film Les Livres, c’est bon pour tous les bébés (30 min) réalisé en 2009 par l’association ACCES à 14 h

    Débat avec Emmanuelle Flouquet, bibliothécaire, coordinatrice lecture et jeunes enfants (CNT), Nicolas Munier, sociologue et formateur en travail social à l’EFPP Paris, les militantes de la section CNT « People and baby » à 14 h 30

    Espace enfant de 14 h 00 à 18 h 00 avec atelier peintures, lectures, jeux, gouter…

    Spectacle de clown avec Nono la patate à 17 h 30

    Concert de Bruno Daraqui, interprétation de Gaston Couté, à 18 h 30

    Repas végétarien et couscous à prix libre à 19 h

    Et aussi vente de bijoux artisanaux, buvette, pâtisseries…

    Tous les bénéfices de cette journée seront intégralement reversés aux salariées mises à pied

    Syndicat CNT santé social et CT — 33, rue des Vignoles - 75020 Paris — Tél. : 06 59 64 23 67 - courriel : sante-social.rp@cnt-f.org


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/afffetesoutienpetb.jpg
    http://www.cnt-f.org/sante-social.rp/fetesoutienpetb.html





    [Feu à toutes les prisons !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Feu à toutes les prisons !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin couleurs (visage de femme style années 50) ]

    texte :

    Feu à toutes les prisons !

    La prison... On en a tous vaguement une idée, un reportage à la TV, un énième assassinat de l’administration pénitentiaire à la rubrique faits divers des journaux du jour, de brèves indignations à peu de frais par-ci par-là. On en entend tous parler, et on fait comme si cela n’existait pas. Comme si chaque jour des dizaines de milliers d’entre-nous n’étaient pas les otages de l’État, seuls dans leurs périples carcéraux individuels, isolés de tous et réprimés en silence. Pourtant nous sommes tant à avoir un frère, une amie, un cousin en taule, à visiter un proche incarcéré au parloir, nous sommes tant à finir par trouver cela banal. Un petit séjour en taule, après tout, on est pas mal à y avoir gouté, une fois, deux fois, trois fois ou plus, de près ou de loin, dans les faits ou par procuration.

    Enfermer des êtres humains dans des cages de quelques mètres carrés pendant des mois ou des années, annihiler toute volonté en eux, les presser comme des citrons, les briser, les empêcher d’aimer, les harceler, les droguer, les frapper, les juger, les tuer, les traiter comme personne n’ose traiter de la merde et les soumettre à un travail de forçat ; la taule, c’est la barbarie dans toute sa banalité, c’est le règne total d’une poignée de sadiques et de petits exécutants obéissants. C’est le dernier souffle d’une balle qui vient se loger droit dans notre tête pendant que tout le monde regarde ailleurs, trop préoccupé par sa propre misère. C’est la manière par laquelle ce monde se venge contre ton anormalité ou contre la concurrence. C’est une des manières par lesquelles ce monde force la paix.

    La prison a au moins un mérite, avec elle les choses sont claires : pas de bla-bla ou presque, une société qui a besoin de prisons pour se maintenir est une société qui a déclaré la guerre à une partie d’elle-même. Une société qui s’enorgueillit de gérer avec tant de violence ces usines de mort est une société qui offre son cou à la guillotine de la révolte, qui justifie la nécessité de sa destruction. Ils auront beau réformer les prisons en long et en large, plaquer les cellules d’or, les climatiser ou raccourcir la taille des matraques, les coups feront toujours aussi mal et la prison restera le même problème qu’elle aura toujours été. C’est l’audace de la liberté qui importe, pas la lâcheté du statu quo de l’aménagement de la contrainte.

    Une prison acceptable est une prison qui brûle !

    On parle déjà d’une trentaine de morts en détention depuis le début de l’année. On ose encore nous parler de suicides et d’accidents... On ose insinuer qu’il est anodin de se pendre dans une prison, qu’il est anodin de mourir « accidentellement » sous les coups des matons ou d’autres détenus. On nous parle de « suicides » pour faire croire que ce n’est pas l’Administration Pénitentiaire et l’État qui tuent. Mais nous affirmons que chaque mort en prison est un assassinat de l’Administration Pénitentiaire et de l’État. Considérer les choses autrement, c’est affirmer que les conditions de vie du dehors et du dedans sont les mêmes. C’est affirmer que la prison n’existe pas. Et pourtant le dedans et le dehors ne se différencient que par leur degré d’intensité. La prison n’est rien d’autre que le reflet exagéré de cette société qui se regarde dans un miroir grossissant.

    Tout est pire que dehors en prison, et pourtant, tout est tellement pareil que dehors...

    La même merde, les mêmes mécanismes autoritaires, la même domination, la même violence inhérente à la paix sociale, le même fichage, les mêmes rapports dégueulasses entre les gens, qu’ils soient économiques ou sociaux.

    Il est si difficile de parler sereinement de la prison. Il est si difficile de ne pas se laisser plomber par l’atmosphère poisseuse qu’elle disperse autour de nos vies. Mais ce ne sont pas des larmes qui en viendront à bout, au contraire, on ne peut que se noyer avec des larmes. L’indignation, elle, n’a jamais fait tomber un seul mur, et l’on ne viendra jamais à bout de la prison par le biais du Droit ou de la Loi, puisque c’est de leurs pierres qu’elle est construite.

    Dans cette société qui a besoin d’enfermer : prisons, psychiatrie, centres de rétention, gardes-à-vue, internats, écoles, maisons de retraite, camps humanitaires, usines, hôpitaux, centres éducatifs fermés, barres d’immeubles, établissements de réinsertion scolaire etc. Dans cette société où certains font le choix de devenir mâtons, juges ou flics, notre choix est clair : Feu à toutes les prisons. Feu à l’État.

    Les prisons doivent être détruites une par une, pierre par pierre, maton par maton, juge par juge.

    Détruisons les prisons en détruisant la société, parce qu’une société qui a besoin d’enfermer et d’humilier est elle-même une prison.

    Détruisons les prisons avec rage et joie.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-Feu-a-toutes-les-prisons : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, juin 2011 » (10 juin 2011).


    2011

    2009

    2009
    Affiches liées








    [L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]. — Lyon : CNT_F (France : ≥1993) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Quay, Jean-Yves
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (ouvriers maçons en échafaudage sur un mur de pierre) ]

    texte :

    Journées du patrimoine

    L’architecture et les métiers

    Conférence/débat le 17 septembre à 16 h

    avec diaporama, suivi d’un pot de l’amitié

    Jean-Yves Quay (architecte urbaniste, professeur à l’ENSAL)

    au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien à Lyon 1er

    L’architecture est un ensemble de formes construites, conservées ou révélées par l’histoire, à partir de matériaux issus de notre environnement et transformés pour le rendre habitable. L’extraction, la transformation et la mise en œuvre de ces matériaux, participent ainsi à l’économie tout comme à l’évolution de notre milieu ; ils constituent notre « cadre de vie » et nourrissent de leur présence les sentiments qui lient les hommes à leur environnement.

    Historiquement, le projet architectural s’impose dans l’acte de construire, lorsque la commande fut identifiée clairement (le palais, à la Renaissance) : un constructeur parmi toutes les corporations prend le pouvoir sur les différents corps de métier, à la fois pour rationaliser cette production et pour en faire la promotion. Cet homme c’est l’architecte qui pour coordonner (ordonner) les différents intervenants se fait maître de l’œuvre (arkhitektôn en grec, c’est-à-dire constructeur en chef, qui donnera architectus en latin).

    La notoriété et la légitimité des architectes se sont fondées sur le projet d’architecture. L’élaboration et le perfectionnement des outils de conception feront l’objet d’une compétition sévère entre les acteurs de la construction, toujours placés dans des conflits d’autorité où se joue leur indépendance. C’est ainsi que la tradition du dessin d’architecture qui apparaît au cours du XIXe siècle comme étant très spécifique du travail de l’architecte s’est d’abord construit dans l’univers des métiers puis au cœur des professions qui établissent leur spécificité technique, que ce soient les géomètres, les ingénieurs, les décorateurs ou les architectes.

    La mise en chantier de produits pour la plupart manufacturés, en créant les conditions de la réalisation du projet d’architecture, n’est rien d’autre qu’une construction ordonnée de l’espace, une forme d’expression de nos sociétés. Une lecture intéressée de l’histoire des formes et des idées nous préciserait certainement comment cette direction des travaux est passée des mains et du compas des charpentiers aux maîtres maçons, puis des maîtres maçons aux architectes, qui seront alors considérés comme des artistes ou des intellectuels plutôt que comme des entrepreneurs. Et ce qu’implique aujourd’hui la (dé)qualification des métiers dans la perception et la gestion de notre cadre de vie… Le travail patient, laborieux et hasardeux du projet (qu’il soit architectural ou social) exige un partage, une répartition des tâches, une coopération entre les hommes impliqués dans son élaboration.

    Pour assumer ce qu’habiter veut dire…

    [logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
    44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Tél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69

    [logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT

    CNT Construction

    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_patrimoine_2011r.jpg
    http://rebellyon.info/Journees-du-patrimoine-L.html







    [La Brique nº 26 : visuel de vente]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique nº 26 : visuel de vente]. — Lille : la Brique, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Cameroun *
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (artistes hip hop en action à gauche et forces de l’ordre à droite se faisant face) ]

    texte :

    2 euros - Numéro 26 bimestriel mars avril 2011

    www.labrique.net

    La Brique

    Infos et enquêtes de Lille et d’ailleurs

    Moins de flics, plus de hip hop !

    Enquête : répression policière, banalité écœurante

    Vieux-Lille : un reportage sauvage

    Kamerun : chronique d’une guerre censurée

    Roubaix : La Piscine sous Occupation


    sources :

    L’affiche reprend la couverture du nº 26 avec en plus un macaron noir au blanc « en vente ici », à hauteur du poing au premier plan.



    [La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 41 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; fascisme et antifascisme  ; luttes ouvrières  ; police  ; répression  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : 3 Bones  ; Chuche ma gaillette  ; Miss America  ; Mr Marcaille
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants …  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo : chat cerclé (rouge sur noir) au dos d’un militant ]

    texte :

    La CNT face à la répression antisyndicale

    samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille

    15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).

    18h : Apéro,

    21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)

    La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
    La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :

    RÉPRESSION PATRONALE

    À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
    intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..

    RÉPRESSION POLICIÈRE

    Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !

    AGRESSIONS FASCISTES

    Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.

    Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.

    UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62


    sources :

    Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).


    2011
    Affiche liée


    [La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; fascisme et antifascisme  ; luttes ouvrières  ; police  ; répression  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : 3 Bones  ; Chuche ma gaillette  ; Miss America  ; Mr Marcaille
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants …  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (chat cerclé au dos d’un militant) ]

    texte :

    La CNT face à la répression antisyndicale

    samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille

    15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).

    18h : Apéro,

    21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)

    La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
    La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :

    RÉPRESSION PATRONALE

    À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
    intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..

    RÉPRESSION POLICIÈRE

    Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !

    AGRESSIONS FASCISTES

    Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.

    Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.

    UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62


    sources :

    Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).

    Au moins deux versions parues (couleurs, N&B). Ce tirage sur papier fort a une autre affiche au dos : « Assemblée générale de lutte, ouverte à tout-e-s ».


    2011
    Affiche liée





    [La routine du désastre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La routine du désastre]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; nucléaire  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Gabon  ; Japon  ; Niger
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte (sur Fukushima, le nucléaire en France et dans le monde) ; montage photo (trois personnes avec masques à gaz devant champignon atomique) ]

    texte :

    La routine du désastre

    Les nouvelles de la catastrophe de la centrale atomique de Fukushima au Japon tournent en boucle. Les infos fusent pour l’instant, c’est un véritable bombarde-ment, mais rien ne perce.

    Les journalistes, experts et politiciens se garderont bien de préciser que derrière la catastrophe, c’est un quadrillage et une gestion militaires qui s’instaurent. En plus d’être contaminé, chacun sera en permanence contrôlé, testé, mesuré, surveillé, et déplacé dans des zones où toute liberté, initiative individuelle, et par-celle d’autonomie, auront disparu sous le règne kaki.

    Leur propagande préfère faire croire que ces opérations désespérées d’acheminement d’eau, de sable que leurs mesures martiales de confinement et leurs pauvres distributions de pastilles d’iode ont pour but notre santé. Pourtant si c’était vrai, un petit nombre de pays ne la mettraient pas en péril permanent en s’engageant dans la voie du nucléaire. Derrière cette monstruosité se cachent d’énormes intérêts économiques et stratégiques. Depuis le début, nucléaires civil et militaire sont complètement imbriqués, et l’histoire du développement de cette technologie est entièrement liée à un jeu mortifère entre puissants.

    La routine du désastre est déjà présente, à travers la multiplication quotidienne de ce que ces autruches du nucléaire qualifient par euphémisme d’« incidents ». Ils nous promettent par exemple maintenant de vérifier l’état actuel des 58 réacteurs du territoire français, mais ne disent bien sûr rien des problèmes insolubles posés par les déchets radioactifs qui dorment sous nos pieds dans près de 1000 sites, ni des nombreux cancers et leucémies que subissent celles et ceux qui vivent aux abords des installations nucléaires. Sans compter toutes les barbouzeries au Niger et au Gabon, où Areva exploite la main d’œuvre locale en la condamnant à une
    mort lente en même temps que toutes celles et ceux qui habitent près des mines d’uranium.

    En vrai, on pourrait tout de suite se passer du nucléaire et du monde qui le produit. Les écologistes et autres ONG à la sauce verte ne parlent que d’une pseudo « sortie » du nucléaire d’ici 20 ou 30 ans, pour ne pas froisser leurs soutiens étatiques et leurs potentiels électeurs. En véritables sauveteurs du capitalisme, ils espèrent occuper un rôle de contre-experts pour être associés à sa gestion actuelle.

    L’État tient le rôle du pompier pyromane. Il est celui qui a mis en place tout ce merdier et qui fait main-tenant mine d’être le protecteur, le seul à pouvoir assurer la sécurité des populations.

    Jamais .e monde renverser n’avait trouvé de meilleur garant. Un possible figé qui, à part connaître l’empoisonnement et la militarisation de cette planète, verra à peu près toujours les mêmes en haut et les autres en bas, les mêmes qui « savent » et les autres qui suivent.

    Ce qu’ils craignent réellement, ce n’est pas le désastre en cours et à venir, ce ne sont pas non plus les appels de leurs sbires citoyennistes à une « meilleure » gestion de l’existant, tous parlent encore la même langue du mal nécessaire.

    Ce qu’ils ont par contre à redouter ce sont des luttes contre le nucléaire et le monde qui va avec.

    Parce qu’ils nous moudraient tous cobayes résignés et désemparés. Parce que la liberté commence par le sabotage de ce monde qui nous détruit.

    Ni cobayes ni moutons,
    Fin mars 2011


    sources :
     



    [Le Jargon libre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Jargon libre] / Philippe Soulas. — Paris : Jargon libre (Paris), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte (en parti imprimé, en parti manuscrit)

    dessin ( silhouette d’homme se détachant d’un fond de papiers journaux d’où elle est découpée) par Soulas

    texte :

    Le Jargon libre

    inauguration 8 octobre 2011 de 17 h à 22 heures

    Jargon libre

    32, rue Henri-Chevreau, Paris, 20ème

    Bibliothèque de consultation

    Imprimerie Edit 71 - 23, rue d’Annam - 75020 Paris - tél. 636.89.09


    sources :

    réactualisation d’une affiche plus ancienne (d’avant 1990)


    [ 1990 & ante]
    Affiche liée










    [Libération immédiate ; levée des poursuites]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libération immédiate ; levée des poursuites]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (engrenages « Police, État, Prison, Capital, Justice » rendant les manifestantes en citoyen·ne·s modèles)

    texte :

    À Toulouse depuis le 15 novembre, des personnes sont toujours en prison, soupçonnées d’avoir participé à une action politique contre les prisons pour mineurs.
    La machine répressive tourne à plein pour maintenir l’ordre capitalisme, en enfermant les pauvres et les révoltéEs.
    L’État ne fait pas d’économie quand il s’agit de protéger les privilèges.« Police, État, Prison, Capital, Justice »

    Leurs matraques ne nous feront pas taire ni marcher d’un seul pas !

    info : http://pourlaliberte.noblogs.org

    Libération immédiate

    Levée des poursuites

    Imprimerie spéciale


    sources :