bleu

 

 
 

Affichage par année

330 affiches :

 

    [Ne votons plus : élections législatives de 1910]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ne votons plus : élections législatives de 1910]. — Paris : Comité révolutionnaire antiparlementaire (CRA_), (Imprimerie coopérative ouvrière (Villeneuve-Saint-Georges)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 90 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Grandjouan, Jules (1875-1968)
    • Presse citée  : Guerre sociale, la (1907-1914)  ; Libertaire (1895-1939), Le  ; Temps nouveaux (1895-1914), les  ; Vie ouvrière, la (1909-1914)  ; Voix du Peuple, la (1900-1918)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Élections législatives de 1910

    Comité Révolutionnaire Antiparlementaire

    Ne Votons Plus

    Ce n’est pas la première fois que des révolutionnaires profitent de la période électorale pour mener campagne contre le parlementarisme.

    C’est la première fois que cette campagne prend une ampleur particulière, qu’elle s’exerce collectivement, qu’elle s’organise d’une façon raisonnée, systématique.

    Dans tout le pays, on lira nos affiches. Dans toutes les circonscriptions, circuleront nos brochures et nos journaux. Dans toutes les réunions, nos amis entreront en discussion avec les candidats.

    C’est en vue de cette bataille que nous tenons à définir le caractère de notre intervention.

    Nous sommes des antiparlementaires révolutionnaires. Ennemis irréductibles de la société bourgeoise, édifiée sur l’exploitation et l’autorité, nous voulons réaliser une société basée sur le travail et l’égalité, une société qui assurera à tous la somme de bien-être et de liberté à laquelle tout producteur a droit.

    C’est dire que nous n’avons rien de commun avec les partis qui ne combattent le régime parlementaire qu’au profit d’une réaction monarchique et cléricale.

    Aussi éloignés des réacteurs que des conservateurs, c’est l’organisation capitaliste et ses crimes, le parlementarisme, ses duperies et son impuissance, que nous attaquerons.

    À ceux qui affirment que le Parlement suffit à réformer ce que l’organisation capitaliste a de mauvais, nous dirons : Rien d’essentiel ne peut être fait par les Parlements. Les hontes et les inégalités de la société ne disparaîtront que par une refonte totale qui sera l’œuvre de la classe ouvrière elle-même.

    À ceux qui objectent qu’en attendant la révolution sociale, il y a des réformes à réaliser, nous répondrons : Nous ne nions pas l’utilité de certaines réformes, de certaines lois dites ouvrières, si minimes soient-elles, si défectueuse qu’en soit l’application. Nous reconnaissons que si les réformes ne changent pas grand’chose à notre situation actuelle, elles nous aident du moins, dans une certaine mesure, à conquérir le bien-être intégral.

    Mais ce que nous savons aussi, c’est que ce n’est pas en élisant des députés, même socialistes, que nous obtiendrons ces réformes. Nous savons – et nous prouverons – que quelle que soit la composition de la Chambre, les réformes utiles à la classe ouvrière s’arrachent par une action directe, énergique, continue, exercée toujours en dehors du Parlement.

    Nous démontrerons que c’est seulement lorsque la classe ouvrière est assez forte, assez remuante et assez audacieuse pour imposer une réforme que le Parlement se décide à l’accorder.

    Et nous démontrerons, en outre, que cette réforme est une duperie si les intéressés eux-mêmes ne veillent pas constamment à son application.

    Les socialistes, encore confiants dans la vertu de l’action parlementaire, nous diront : « Quand nous aurons une majorité à la Chambre, nous ferons la Révolution ».

    Et nous riposterons : Quand vous serez en majorité, vous ne saurez même plus ce qu’est le socialisme, tellement vous aurez fait de concessions. Vous aurez peur alors de la Révolution comme en ont peur aujourd’hui les partis bourgeois. Vous parlez de conquérir le pouvoir et c’est lui qui vous conquiert un peu plus chaque jour. La place des hommes de révolution n’est pas à la Chambre, mais dans le pays, pour fomenter et attiser la guerre des classes.

    À tous, enfin, aux exploités de toute condition, nous crierons : Cessez de croire à ce remède qui prétend tout guérir et qui ne guérit rien. Votre sort dépend de vous-même et le salut n’est qu’en vous. Syndiquez-vous. Groupez-vous. Ralliez ceux qui mènent le juste combat contre toutes les servitudes et toutes les exploitations. Sachez vous servir des seules armes capables de vous donner la victoire, des seuls moyens qui peuvent vous conduire au but :

    Faites vos affaires vous-mêmes !

    Adresser les adhésions au Comité : les souscriptions, demandes d’affiches et brochures, au Secrétaire : Grandjouan, 34, rue Lhomond, Paris (Ve)

    Lire : « Les Temps Nouveaux », « La Guerre sociale », « La Voix du peuple », « Le Libertaire », « La Vie ouvrière ».

    [marque syndicale] Imprimerie coopérative Ouvrière, Villeneuve-Saint-Georges.

    Vu, le Candidat pour la forme :


    sources :

    G. Davranche décrit deux formats (in : Guillaume Davranche, Trop jeunes pour mourir : ouvriers et révolutionnaires face à la guerre, 1909-1914, L’Insomniaque, Libertalia, 2014, p. 101). :
    — 10 000 exemplaires [20.000] à 82 × 60 cm (format colombier)
    — 2 000 exemplaires à 126 × 90 cm (format double colombier)

    Dans Le Libertaire 16e année, n° 23 (3 avril 1910), rubrique « Comité révolutionnaire antiparlementaire » :

    « […] Nous rappelons aux groupes que notre première affiche : “Ne votons pas” [sic] est à leur disposition. Cette affiche, pour être affichée avant l’ouverture de la période électorale (3 avril), doit être timbrée à 0 fr. 18 cent. pour le colombier, à 0 fr. 24 cent. pour le double colombier. À partir du 3 avril, nos affiches pourront être placardées sans timbres. Il suffira d’apposer la signature du candidat au bas de l’affiche, à la place réservée à cet effet.
    Notre mouvement prenant une importance considérable, le comité a décidé de porter à 20.000 exemplaires le tirage colombier de cette première affiche°
    […] »












    [Causeries d’initiation scientifique]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Causeries d’initiation scientifique]. — Paris : Défense de l’homme, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 80 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : science  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Boll, Marcel (1886-1971)  ; François "Mystag", Robert (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte annonçant une série de causeries à la salle des Sociétés savantes à Paris, octobre à décembre (1953 ?). Editeur responsable Robert François. ]

    texte :

    Sociétés savantes

    28, rue Serpente — Paris-VIe

    Les samedis à 18 h précises

    Causeries d’initiation scientifiques par Marcel Boll

    professeur agrégé de l’Université — docteur ès-sciences

    10 octobre — L’explication scientifique (introductions aux Causeries)
    17 octobre — Nécessité des mathématiques
    24 octobre — Rôle du hasard
    31 octobre — L’énergie et la puissance
    7 novembre — Le vide
    14 novembre — Qu’est-ce que la chaleur ?
    21 novembre — Qu’est-ce que la lumière ?
    28 novembre — Qu’est-ce que l’électricité-magnétisme ?
    5 décembre — Les lampes de radio
    12 décembre — Qu’est-ce que le son ?
    19 décembre La réaction chimique
    26 décembre — L’affinité

    Pour tous renseignements écrire à Robert François, 52bis, rue des Abbesses - Paris-XVIIIe

    Imprimerie F. Froitier, 181, rue Saint-Maur, Paris


    sources :
     





    [Plus de guerres ! Les chefs d’Etat déclarent les guerres. Mais ce sont les Peuples qui doivent se battre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plus de guerres ! Les chefs d’Etat déclarent les guerres. Mais ce sont les Peuples qui doivent se battre]. — Auberville : CNRGO (Comité national de résistance à la guerre et à l’oppression : 1951-1961), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 65 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : pacifisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bauchet, Émile (1889-1973)
    • Presse citée  : Voie de la paix (1951-1973), la
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Plus de guerres !

    Les chefs d’État déclarent les guerres.

    Mais ce sont les peuples qui doivent se battre.

    Or les peuples ne veulent plus se laisser envoyer à la mort pour les intérêts des spéculateurs qui dirigent l’opinion publique et tirent profit des angoisses et des deuils.

    Les efforts (hypocrites ou sincères) des gouvernements sont incapables d’empêcher les guerres.

    C’est aux peuples eux-mêmes qu’il appartient d’intervenir et d’imposer la paix au monde.

    Il s’agit d’œuvrer pour mettre enfin, solennellement, la guerre hors la loi par l’inscription dans la Charte de l’ONU et dans la législation de chaque pays, d’une clause interdisant tout recours à la mobilisation et à la guerre.

    Et tant que ce principe ne sera pas devenu la loi des nations Unies, il faut contester à chaque État le droit de décider de la mobilisation générale ou partielle et de recourir à la guerre, sans consultation préalable du peuple au moyen d’un referendum placé sous le contrôle des organisations pacifistes.

    Tous les hommes et toutes les femmes peuvent participer à cette action : par voie de presse, par tracts et affiches, par motions votées au cours de réunions, meetings, manifestations, par lettres ouvertes ou privées adressées aux représentants du pays, par pétitions, délégations et participations actives au cours des campagnes électorales, la volonté des futures victimes de la guerre doit s’exprimer, nette, catégorique, impérative.

    Aux élites d’entraîner le peuple. :
    Pour le libérer de l’angoisse mortelle de la guerre !
    Pour lui rendre la maîtrise de ses destinées !
    Pour lui permettre de construire une paix définitive !
    Pour supprimer les budgets de guerre, source de misère !
    Pour sauver la liberté et faire triompher la justice !

    Que tous ceux qui sont d’accord pour que s’organise rapidement (en pleine indépendance et sans aucune adhésion aux grands blocs qui s’affrontent) une vigoureuse campagne dans tous le pays sur la seule base sus-indiquée se hâtent de répondre : présents !

    Le Comité nationale de résistance à la guerre et à l’oppression.

    Lecteurs, si vous approuvez notre effort, aidez-nous de vos dons.
    Nous ne sommes, hélas, riches que ne volonté et de confiance en la raison des hommes…

    Rejoignez le CNRGO. Siège sociale à Auberville-sur-Mer (Calvados) - Adhésion 500 francs par an ou abonnez-vous à son organe La Voie de la paix (abonnement annuel 300 fr.)

    Tous envois de fonds à Émile Bauchet, Auberville-sur-Mer (Calvados) - CCP Rouen : 1277-90


    sources :

    Comité national de résistance à la guerre et à l’oppression (CNRGO).




    [Hommage à Francisco Ferrer]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Hommage à Francisco Ferrer]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Libre pensée, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 55 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)  ; Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Ferrer y Guardia, Francisco (1859-1909)  ; Russell, Bertrand (1872-1970)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; colloque
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; logo (« penseur ») ]

    texte :

    Hommage à Francisco Ferrer

    Pédagogue et Libre Penseur

    à l’occasion du centième anniversaire de sa naissance et du cinquantième anniversaire de son exécution.

    Séance solennelle : vendredi 4 septembre 1959, à 20 h.

    Auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles

    Manifestation d’action laïque et d’hommage à F. Ferrer

    Dimanche 6 septembre 1959

    Concentration à 10 heures, au Grand Sablon

    À 10 h 45 Hommage au monument Paul Janson - À 11 h Hommage au monument Ferrer

    Conférences publiques

    À l’auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles

    « Actualité de la libre pensée à la lueur de la science »

    Samedi 5 septembre à 20 h

    Orateurs :
    sénateur Dr J.-E. Vandervelde, major-général Dr Brock Chrisholm, professeur H. Laugier, professeur Finocchiaro-Aprile, laître H. Fremling, professeur G.-A. Homes.

    Dimanche 6 septembre à 15 h

    Orateurs :
    prof. Lucie de Brouckère, prof. J.-M. Romein, gén. Dr Siurob Raùirez, prof. E. Kahane, prof. P. A. Nowell-Smith.

    33e congrès international de la Libre Pensée

    Sous la présidence d’honneur de Bertrand Russell

    Bruxelles - 4 au 8 septembre 1959

    Auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles.

    Éditeur responsable : J. Davin, rue Puits-en-Sock - Liège

    Exempt de timbre


    sources :
     


    [Mystag]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mystag] / Harfort. — Paris : Mystag, [ca ] (Harfort, impr.). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu , papier blanc ) ; 160 × 120 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ titre dessiné ; dessin : graphique vertical mi-fantôme avec chaîne mi-visage ]

    texte :

    Harfort [signature]

    Mystag

    Impr. Harfort. 38, Fg du Temple. Paris


    sources :
     


    [Mystag contre Scarha-Bey]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mystag contre Scarha-Bey]. — Paris : Mystag, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , bleu , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Vendredi 9 novembre — Salle des Sociétés savantes — Ouverture des portes, 20 h 30, rideau à 21 h

    […]

    Illusionnisme contre fakirisme

    une vedette de l’illusion

    Mystag

    contre

    le président du Comité mondial des fakirs

    Scarha-Bey

    [texte]

    Réalisation contradictoire de 50 expériences

    Insensibilité ; [ ?? ] ; auto-catalepsie [?] ; perforations ; fascination sur les animaux ; hypnotisme-magnétisme-suggestion ; martyr de Saint-Sébastien […] ; cible humaine ; maîtrise de la matière ; lévitation

    […]


    sources :

    Date : 1979, 1973 ou 1962.






    [Warning]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Warning]. — Maastricht Maastricht / Maëstricht : Luuks : Ontbijt op Bed, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 70 × 25 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme  ; provo
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Union européenne (UE, CEE, ...)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Lynx (Maastricht : 1966-1967)  ; Ontbijt op Bed (Maastricht : 1966-1967)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (contre un nationalisme européen inculqué aux jeunes) ; haut de l’affiche coupé ? ]

    texte :

    Warning

    In de Staarzaal komt vandaag het Limburgs jongeren volk bijeen om er te luisteren naar hun leiders.

    Zij tonen er eerbied voor versleten, versleten, versleten woorden.
    Zij salueren voor de vlag.
    Zij zingen er Europa-één, Europe boven alles !
    Zij laten er hun eigen opvattingen verslappen.

    Misschien is uw kind erbij !

    Er zijn weer bewust getrainde jonge leiders.

    Het jongere volk worden leuzen aangeboden. Het is nodig dat die leuzen ontmaskerd worden : want zij zijn nationalisties : de beide Limburgen sterk maken — wij krijgen duizenden voor deze ideën samen — de leiders klaarmaken voor straks.

    Het is een gevaarlijk samenzijn !

    Walter kunnen heeft geen recht van spreken meer — Walter + Wilfried moeten ontmaskerd worden — Walter kunnen, kan niet !

    De gedachten van de aanwezigen worden dichtgedrukt en er wordt een verenigd Europa-stempel op gezet :
    dat is anti-demokratie.

    Space groep International — Maastricht 5 nov ’66

    Lees Lynx — Ontbijt op Bed — Luuks maakt je leven
    Fijn

    Top tien (hitweek)
    1 Reach out i’ll ve there
    2 I can’t control myself
    3 Distant drums
    4 Stop stop stop
    5 Winchester catheral
    6 Bend it
    7 Guantanmera
    8 I am a boy
    9 No milk today
    10 Have you seen your mother

    Luister naar Revolution LP — Q65

    Kom meisje, rokje korter !


    sources :

    http://provo-images.info/ontbijtopbedposters.html
    parue pour le 6 novembre 1966


    1966

    1967
    Affiches liées





    [Renault-Flins : ça continue]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Renault-Flins : ça continue]. — Paris : Mouvement du 22 Mars ; [et al.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 62 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1968
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Renault-Flins : ça continue

    Jeudi 5 000 CRS avec half-tracks occupent l’usine de Flins - Samedi, ils sont 10 000 !  

    De Gaulle avoue :
    — les patrons ont à court terme les moyens de reprendre les augmentations de salaires
    — la bourgeoisie sait que toute continuation de la lutte pose le problème du pouvoir aux travailleurs

    Alors le pouvoir profite de la sectorisation des luttes pour tenter d’écraser l’ensemble de la classe ouvrière : Flins a été attaqué en premier car c’était une usine isolée.

    Les travailleurs se sont pourtant battus, se battent et font échec à la manœuvre de la bourgeoisie.
    15 jours de lutte prouvent que l’unité est notre véritable force pour l’abolition du patronat.

    L’isolement de Flins est brisé : le grève se renforce !

    Pour aider nos camarades à libérer leur usine :
    Créons là où nous sommes, dans les entreprises, dans les quartiers, de nouveaux fronts de lutte pour disperser les forces du pouvoir : les CRS ne peuvent être partout !

    Groupons-nous et demain…

    Des comités d’action de la région parisienne
    Mouvement de soutien aux luttes du peuple
    Mouvement du 22 mars


    sources :
     


    [Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon]. — Milano Milan : 912 (ed.), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois  : rouge , bleu , vert , couleur en dégradé , papier kraft ) ; 70 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1968
    • Noms cités (± liste positive)  : Living Theatre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte surmonté d’une étoile rouge et de guérilleros asiatiques ]

    texte :

    Treize questions aux organisateurs et aux participants du festival d’Avignon

    Le Festival d’Avignon se présente cette année comme un « Festival pas comme les autres » : on y invite, on y programme la contestation au sein des Assises du Théâtre et, en même temps qu’une violente campagne de presse (*) prend pour cible la troupe du Living Théâtre, hôte officiel, de nombreux jeunes font déjà l’objet d’interpellations, de contrôles de la part de la police dans les rues de la ville. L’ambiguité règne. Dans ces conditions il nous a paru utile de proposer à la réflexion des participants comme des organisateurs — car il va sans dire que le débat est d’ores et déjà élargi à tous ceux qui se sentent concernés par l’impact que les « événements de mai » ont eu et continuent d’avoir sur le fonctionnement « normal » des institutions qu’elles soient culturelles ou politiques — les questions que voici :

    S’appuyant sur des enquêtes sociologiques, certains déplorent que le Festival d’Avignon soit bourgeois : c’est à dire que, seul un pourcentage dérisoire de travailleurs s’y rende. De fait, son public est en grande majorité composé de touristes et de membres des classes moyennes ou dirigeantes, comme c’est le cas d’ailleurs pour les Maisons de la Culture. Il s’agit donc d’une culture de classe sur laquelle les problèmes politiques et économiques des travailleurs urbains ou ruraux n’ont pas ou très peu d’incidence. En établissant un rapport mercantile avec leur public les producteurs et les propriétaires de cette culture servent automatiquement les intérêts d’une catégorie sociale au détriment d’une autre ; mais ce n’est pas tout, la culture industrielle qu’elle soit de « droite » ou de « gauche » agit dans le sens de la contrerévolution permanente puisqu’elle transforme forcément sa clientèle en une masse de robots amor-phes bons à consommer du tout-cuit culturel et à tomber dans le panneau des loisirs organisés. L’université en crise, la culture en crise sont indissociables du capitalisme. Elles disparaîtront avec lui. Que peut-on faire pour hâter cette disparation ?

    La contestation effective de la fonction coercitive assumée par la culture dans le cadre légal de la société d’exploitation ne commencerait-elle pas par la mise en cause directe et radicale de l’existence même d’une industrie du spectacle ? Toute contestation intégrée dans le circuit officiel ou commercial n’est-elle pas a fortiori Institutionnalisée, châtrée et récupérée par le Pouvoir ? Tant que l’Infrastructure aliénante et répressive sur laquelle repose la culture n’est pas AVANT TOUT globalement contestée, peut-il s’agir d’autre chose que d’une contestation elle-même aliénée, limitée, symbolique ?

    Les contrôleurs de la culture (officielle ou officieuse) en exerçant leur monopole sur les moyens de création et de diffusion, ne renforcent-ils pas l’appareil répressif de l’état policier au même titre qu’un gouvernement faisant réoccuper la Sorbonne ou l’Odéon par CRS et Préfet de Police interposés ?

    Dans toute perspective autre que conservatrice et réformiste, le rôle joué par les intermédiaires et les contrôleurs (producteurs, directeurs de musées, de théâtres, de galeries, de maisons d’éditions, ministres des affaires culturelles, etc.) n’est-il pas à abolir purement et simplement ? Toute conception de la culture en tant que domaine réservé à des spécialistes rémunérés n’est-celle pas, en fait, repressive et autoritaire ?

    Toute éventuelle mise en marche d’un processus de création collective et permanente — non reservée à une « élite » — ne poserait-elle pas a priori la nécessité d’en finir avec tout divorce entre « l’art » et « la vie », toute distinction entre les activités artistiques et les activités politiques et sociales quotidiennes ? L’acte créateur étant enfin déba-rassé de la censure qui l’annule ? L’inconscient enfin dégagé du régime policier qui le nie ?

    La culture industrielle, de même que l’université bourgeoise, ne constitue-t-elle pas un écran de fumée destiné à rendre impossible, à interdire toute prise de conscience et toute activité politique libératrice ? Le théâtre qu’il soit conventionnel ou d’avant-garde, ne véhicule-t-il pas cet interdit du fait qu’il substitue la représentation à l’action directe ?

    Le théâtre idéologique, en particulier, quelles que soient ses intentions et son « contenu », n’est-il pas respon-sable de la situation aliénante et sous-développante où il place ses spectateurs ?

    Le théâtre et le cinéma de grande consommation ne secondent-ils pas l’appareil repressif de la classe dirigeante en ceci qu’ils contrôlent et determinent l’image que les consommateurs se font d’eux-mêmes ?

    Est-il possible de contester efficacement le système capitaliste sans mettre d’abord en question le rôle que l’on joue soi-même dans ce système ? Les intellectuels et les artistes (acteurs, peintres, écrivains, etc.) qui ont pris en marche le train du « mouvement de mai » et qui se sont contentés d’exprimer des revendications corporatistes quan-titatives n’ont-Ils pas, de ce fait, exploité la dynamique de ce mouvement aux mêmes fins que l’Etat et que les partis ?

    Les différentes forces de l’ordre (des gardiens de la paix à la DST) qui ont joué sur le théâtre des opérations de mai le rôle que l’on sait, interviendront-elles dans la crise de la culture de la même manière qu’elles sont interve-nues dans la crise universitaire, c’est à dire avec des gaz asphyxiants, des grenades offensives, des matraquages intensifs, des ratonnades, des arrestations, des perquisitions, etc. ? Quel peut-être le rôle des nombreux gardes mobiles, CRS, inspecteurs en civil actuellement en service dans la ville d’Avignon ? Quel rôle l’administration du Festival, le Préfet du Vaucluse ou le Ministère des Affaires Culturelles envisageraient-ils de leur faire Jouer si un mouvement se dessinait parmi les participants au Festival qui tendrait non pas à moderniser ni à améliorer la culture Industrielle d’État (subventionnée) mais à l’abolir et à la remplacer ?

    Comment, alors qu’en Avignon, l’industrie du spectacle s’est intégrée à l’industrie du tourisme au point d’y être complètement soumise est-il possible de prétendre à une réelle liberté d’expression et d’action ? La mise en condi-tion est-elle plus tolérable lorsqu’elle porte un masque « artistique » ?

    Quand, à travers le monde un important courant créateur agit depuis plusieurs années dans le sens du théâtre de rue, gratuit et libre, préoccupé prloritairement par l’action politique, comment peut-on à la fols lui interdire les rues d’Avignon et prétendre organiser un « Festival de la Contestation » ?

    Quels seraient les problèmes posés par la constitution, à l’occasion du Festival d’Avignon, d’un double pouvoir face à celui de l’État et des « autorités », qui répondrait à un désir collectif et qui ne se limiterait pas aux bavardages entre spécialistes de la culture soucieux de conserver leurs rôles privilégiés ?

    En cette période de reflux et de répression, la question qui se pose à nous n’est-elle pas encore et toujours celle de l’exercice par TOUS du droit de l’homme à disposer psychiquement et socialement de lui-même ?

    Le Comité d’Action, juillet 1968

    (*) Cf. Le Méridional des 28 juin et 10 juillet. Les acteurs du Living Théâtre y sont présentés comme des « énergumènes en haillons », des « primates » et on parte de « commandos » chargés de les corriger.

    Ed912 Milano (printed in Italy)


    sources :
     


    [Le petit train de monsieur Kamode, pièce d’André Benedetto]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le petit train de monsieur Kamode, pièce d’André Benedetto]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , papier blanc ) ; 106 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Benedetto, André
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (une personne rouge, debout avec une clé plate à la main ; une personne bleue [en manteau ?], ramassée, levant les bras pour se protéger) ]

    texte :

    13, 14, 15, 16, 17, 20, 21, 23 mai, 21 h, 7 F

    Pièce d’André Benedetto ; création de la Nouvelle Compagnie, Théâtre des Carmes, Avignon

    Le Petit train de monsieur Kamode

    grand jeu politique sur le kapitalisme monopoliste d’État dans un style de participation environnement sur une France tricolore en polystyrène expansé en prenant pour exemple le démantèlement des voies ferrées


    sources :
     


    [L’inquisizione esiste tuttora... ...gli anarchici]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’inquisizione esiste tuttora... ...gli anarchici]. — Roma Rome : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : procès  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Braibanti, Aldo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    L’inquisizione esiste tuttora

    Roma, novembre 1969.

    Processo al libero pensiero : Braibanti condannato due anni fa a nove anni di carcere sotto l’accusa di plagio.
    Chi dev’essere condannato per plagio :
    Braibanti (che viene difeso dagli stessi « plagiati ») o le strutture di questa società (chiesa, scuole, asili, esercito, fabbrico, stampa, ecc.) che dal primo giorno di vita sino ala morte ci plagiano adattandoci alle loro esigenze ?

    gli anarchici

    Artigrafiche Antonio Maschera - Milano


    sources :
     








    [Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]. — Paris : Mystag, [ca ] (Harfort, impr.). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , papier blanc ) ; 120 × 80 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; ésotérisme  ; religion et spiritualité (en général)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte. 10 grands numéros, 50 expériences. slnd ]

    texte :

    Récital de magie

    Mystag

    présente

    Tout l’occultisme dévoilé

    10 gds numéros [étoile] 50 expériences

    Magie moderne : le créateur de l’impossible

    Fakirisme : l’homme qui joue avec la mort

    Transmission de pensée et voyance : le radar humain

    Suggestion, magnétisme et hypnotisme : puissance du regard et de la volonté

    Unique, les prodiges de la radiesthésie

    Sensationnel, la vérité sur le spiritisme : reconstitution et description des expériences des plus fameux médiums comme E. Palladino, Guzik, Home, Kalm, Kluski qui ont étonné des hommes de science tels que Crockes, Flammarion, Lombroso, Richet

    Raps, table tournante, messages de l’au-delà, apportes, souffles, image d’esprit, apparition de fantômes, etc… etc…

    La marérialisation de Ramsès II

    La main spirite de Bénévol

    Anticipation, la radio quadri-dimensionnelle : ce que Jules Verne et Wells auraient voulu voir


    sources :

    Existe aussi en version 159× 118 cm.


    [ca  1970]
    Affiche liée


    [Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]. — Paris : Mystag, [ca ] (Harfort, impr.). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , papier blanc ) ; 159 × 118 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; ésotérisme  ; religion et spiritualité (en général)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (important) ]

    texte :

    Récital de magie

    Mystag

    présente

    Tout l’occultisme dévoilé

    10 gds numéros [étoile] 50 expériences

    Magie moderne : le créateur de l’impossible

    Fakirisme : l’homme qui joue avec la mort

    Transmission de pensée et voyance : le radar humain

    Suggestion, magnétisme et hypnotisme : puissance du regard et de la volonté

    Unique, les prodiges de la radiesthésie

    Sensationnel, la vérité sur le spiritisme : reconstitution et description des expériences des plus fameux médiums comme E. Palladino, Guzik, Home, Kalm, Kluski qui ont étonné des hommes de science tels que Crockes, Flammarion, Lombroso, Richet

    Raps, table tournante, messages de l’au-delà, apportes, souffles, image d’esprit, apparition de fantômes, etc… etc…

    La marérialisation de Ramsès II

    La main spirite de Bénévol

    Anticipation, la radio quadri-dimensionnelle : ce que Jules Verne et Wells auraient voulu voir


    sources :

    Existe aussi en version 120 × 80 cm.


    [ca  1970]
    Affiche liée









    [Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné] / Jean-Marc (1941-1983) Reiser. — Paris : VLR_ (Vive la révolution : 1969-1971), (Abexpress). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 55 × 41 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : censure  ; police  ; presse  ; procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    strip (un policier disant « Y’a des insultes qui font plus mal que des pavés », puis recevant un pavé : « Enfin presque ») signé Reiser

    texte :

    Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné

    J.P. Lecardonnel, directeur du journal « Vive la révolution », passe en jugement le 27 avril pour des articles parus il y a un an. Incapables de se lancer à la défense de leur société, les minables qui nous gouvernent s’en tiennent à l’accusation Injures à la police pour un reportage sur les événements du 27 mai 1970 à Paris et pour la phrase les gens se battaient et disaient « Flic S… F… le camp ».

    À l’heure où des milliers de lycéens ont crie dans la rue « Pleven S… le peuple aura ta peau ! », les fonctionnaires « Malaud S…, le peuple aura ta peau », les paysans, les ouvriers injurient et combattent les C.R.S., où la jeunesse et la police s’injurient quotidiennement, voilà tout ce que trouve Marcellin pour justifier sa guerre contre la presse libre.

    Ah I Raymond on te savait méchant mais on ne te pensait pas aussi c…

    J.P. Lecardonnel doit être acquitté !

    Les pointillés sont destinés à faire travailler votre imagination.

    Imprimerie Abexpress - 72, rue du Château-d’Eau, Paris


    sources :