France

 

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Affichage par année

4564 affiches :

 

    [Mort aux chefs]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mort aux chefs]. — Vitry-sur-Seine : le Frondeur, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 58 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : lutte des classes  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte long, dactylographié ]

    texte :

    Mort aux chefs

    Le chef a tort

    Le chef a toujours tort, c’est une crapule.

    Même s’il a raison, il a encore tort, car le tort du chef est qu’il soit chef. Son rôle et sa position sociale font qu’il ne peut avoir que tort dans ses décisions, tort dans sa réalité, tort dans sa raison d’existence, tort dans sa vie. Donc les articles 1 et 2 s’appliquent inévitablement.

    Le chef ne boit pas, il nous pompe l’air et nous suce le sang.

    Le chef ne mange pas, il nous bouffe notre vie, notre temps, notre espace, avec sa misérable parcelle de pouvoir sur les hommes et sur les têtes. Pouvoir qu’il croit ridiculement immuable.

    Le chef se repose sur nous. Son rôle n’est pas de travailler lui-même, mais avant tout de faire travailler les autres. Et cet ustensile est encore satisfait de son rôle de clébard.

    Le chef n’est jamais en retard, il est retenu. Qu’importe ! il n’est et ne sera jamais à l’heure. Quoi qu’il fasse, seule l’heure de sa disparition approche, sans aucune retenue et avec aucun retard. Nous saurons être à l’heure quand il le faudra.

    Le chef "n’existe pas", seule la pesante réalité du travail existe ! Il n’est là que pour faire respecter cette réalité. Il faudra bien commencer à s’en prendre au travail lui-même.

    L’idée qu’il y a de bons et de mauvais chefs est une de ces conneries qu’il faut foutre aux poubelles. Il n’y a que "des" chefs. Il faut démasquer cette pseudo-sympathie derrière laquelle se cache le chef.

    Le chef n’a pas d’idées, amusante évidence ! Lui qui croit penser ce qu’il dit, il le vomit. Sa tête n’est qu’une image, sa bouche, la chambre d’échos de mille et un pets. Pets hiérarchiques, hiérarchisés, supérieurs, pets frénétiques et incontrôlés ; il a la parole, elle ne lui appartient pas. On rentre dans le bureau du chef avec les idées du chef, on en ressort avec ses idées personnelles. On n’a vu personne, sinon un presse-papier, un presse-temps, un presse-sang.

    Le chef n’a aucune relation humaine. Bien sûr, ce misérable s’imagine qu’il peut faire travailler plus encore et reproduire, justifier et perpétuer son rôle avec son charme personnel. Et quand il essaie lamentablement d’être autre chose que la chose qu’il est, il ne trouve rien d’autre que sa plus basse vulgarité ; il ne cherche qu’une bête à baiser.

    Plus on critique le chef, plus il se dégonfle comme une vieille baudruche et une vieille trique en papier. Plus apparait derrière le chef la vieille crapule lamentable, sans intelligence, sans humanité.

    Ne dites plus "Monsieur le chef", mais dites "Crève salope".

    Le chef est un emmerdeur. Il n’est en fait qu’un triste pion. Ses règles de jeux sont à détruire. Pour quelques chefs à perdre, nous avons un monde à gagner.

    L’humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier capitaliste aura été étranglé avec les tripes du dernier chef

    les riches moins riches, les pauvres moins pauvres, c’est pour quand ?

    [tampon :] Le Frondeur - BP 105 - 94400 Vitry


    sources :

    On retrouve ce texte, avec la même mise en page ici : « Mort aux chefs ; les riches moins riches, les pauvres moins pauvres, c’est pour quand ? ».


    [ca  1980]

    [s.d.]

    [s.d.]
    Affiches liées













    [Plogoff 1980]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plogoff 1980]. — Nancy : Comité anti Cattenom (Nancy), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : rouge , papier blanc ) ; 57 × 39 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (CRS avec grenade et matraque, sur fond de carte de Bretagne ; logo nucléaire et flèche indiquant l’emplacement de la commune de Plogoff)

    texte :

    Giscard : « Les centrales nucléaires ne seront pas imposées aux populations qui les refusent »

    1980

    Plogoff

    Comité Anti Cattenom de Nancy


    sources :

    Giscard : Valery Giscard d’Estaing, président de la France de 1974 à 1981.















    [Rock against brouillage, Radio Lille 80]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rock against brouillage, Radio Lille 80]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : couleur en dégradé ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : censure  ; communication : radio & audiovisuel*
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : autre presse
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (visage, tube de dentifrice ? marqué « 94 MHz FM) ]

    texte :

    Vendredi 21 novembre, dè s19 heures

    chapelle universitaire

    Lille 60 bd Vauban

    Rock against brouillage

    avec les groupes
    Agence TASS - Marseguerra - Stocks

    seule radio, libre, non transmise sous perfusion

    entrée 20 F en soutien à Radio Lille 80

    studios : Maison de la nature et de l’Environnement, 23 rue Gosselet, Lille

    stands infos, bouffe, boissons
    sonorisation Sonor et Machinason


    sources :

    Radio Lille 80 a existé en 1980-1981, créée notamment par un ancien de Radio Libre 59, elle même créée par des anciens de Radio Campus (créée en 1969), elle sera saisie le 16 avril 1981.
    cf. http://www.schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=1889
    Elle deviendra Radio Lille (1981-1986) puis Viva (1986-....).








    [Sur le procès en Assises des anti-franquistes…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur le procès en Assises des anti-franquistes…] / André-François Barbe. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne  ; Grèce  ; Portugal  ; URSS
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-2025)  ; Chitti, Annie  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)  ; Gransac Sadori, Ariane  ; Guibert, Pierre  ; Haas, Danièle  ; Rivière, Georges  ; Urtubia Jiménez, Lucio (1931-2020)  ; Urtubia, Anne
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (tête de mort avec calot à pompon — les yeux sont occupés par des barreaux de prison auxquels deux mains s’agrippent, le crane est graffité avec une croix celtique, une croix gammée et une potence) par Barbe ]

    texte :

    Sur le procès en Assises des anti-franquistes…

    Ce matin, 19 janvier 1981, nous rentrons dans nos prisons respectives, afin de comparaître comme prévenus dans un procès d’assises que jusqu’alors personne n’aurait cru possible. Nous avons été arrêtés il y a sept ans, relâchés assez rapidement. Les militants espagnols, arrêtés en Espagne en 74 ont, eux, été amnistiés.

    Et en 1981, en France, notre procès sera celui d’individus qui hier ont refusé le franquisme, comme ils ont refusé le régime des colonels grecs et de Caetano.

    Notre procès sera celui d’individus qui, aujourd’hui refusent le régime de Pinochet au Chili, de Videla en Argentine, de Brejnev en URSS.

    Oui, nous condamnons toutes les dictatures et les états totalitaires. Oui, nous soutenons tous les mouvements de lutte qui cherchent à arrêter la main du bourreau, comme c’était le cas lors de l’affaire Suarez.

    Aujourd’hui, à deux mois des élections présidentielles, le gouvernement français se dévoile :
    — en faisant notre procès,
    — en faisant celui de GARI le 14 mars 1981,
    — en enfermant des militants anti-franquistes de l’ETA (Etchave),
    - en permettant que des groupes d’extrême-droite espagnols, liés à des membres de l’OAS tuent et blessent en France en toute impunité,
    — en permettant l’assassinat de Goldmann,
    — en permettant l’attentat de la rue Copernic…

    Devant cette réalité, ce procès est d’autant plus absurde et scandaleux que c’est nous, anti-franquistes, qui sommes considérés comme des criminels et non pas Franco.

    les inculpés signataires : Georges Rivière, Annie Chitti, Lucio Urtobia, Anne Urtubia, Pierre Guibert, Danièle Haas, Ariane Gransac-Sadori, Octavio Alberola

    [… ?]


    sources :

    Couleurs ?
    Paru en décembre 1980 à Toulouse d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).


    1977

    1981
    Affiches liées






    [ C’est sur nous qu’on tire à Varsovie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    C’est sur nous qu’on tire à Varsovie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 45 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Pologne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (militaire / Ubu roi [Wojciech Jaruzelski ?] debout, mains dans les poches, devant des chars avec légende : « La scène se passe en Pologne, c’est-à-dire partout ») ]

    texte :

    C’est sur nous qu’on tire à Varsovie

    « Les USA ont été avertis à temps par les Russes du coup d’État en préparation en Pologne, si l’on en croit le gouvernement de Bonn, bien avant le voyage du chancelier Schmidt en RDA. Cette fois-ci la complicité des super-puissances a bien fonctionné », Der Spiegel, 21/12/81.
    « 
    Reagan a affirmé, pour illustrer la complicité de Moscou dans la répression, que les affiches qui ont annoncé la loi martiale en Pologne, le 13 décembre, avaient été imprimées en URSS dès le mois d’octobre dernier », Libération, 26/12/81.

    « Marchais était informé d’avance du putsch polonais… Selon d’autres informations, le service secret français SDECE est censé avoir été informé par avance il y a déjà trois semaines de l’affrontement en Pologne par un transfuge de l’état-major central polonais », Frankfurter Allgemeine Zeitung, 18/12/81.

    « Bien entendu, nous n’allons rien faire », Claude Cheysson, à propos de la Pologne, Le Monde, 15/1/81.

    « Ouvriers polonais, vous pouvez tous crever ! ». Voilà ce que pensent tous les pouvoirs. Bien entendu, nous allons tout faire pour leur taire la gueule. Ces crocodiles verseront bientôt des larmes de sang.

    Partis d’une critique de leurs conditions de survie s’exprimant sous la forme syndicale, qui n’était nécessairement posée que pour être dépassée (avançons lentement, on est pressés : « Le souvenir de décembre 70 est dans chaque esprit : on ne veut pas se faire faucher à la mitraillette. On veut gagner. » Le Monde, 19/0/81), les ouvriers polonais en sont venus à critiquer l’ensemble des conditions dominantes de la vie en Pologne. Après avoir vainement tenté d’endiguer plusieurs débordements, notamment par l’action de ses « experts » intellectuels qui se sont heurtés à la démocratie des débats, l’appareil de Solidarité, en réclamant sous la poussée de la base la création et la direction d’un Conseil de l’économie nationale, ne faisait qu’entériner le mouvement qui portait la société civile à s’emparer de toutes les sphères de l’activité sociale habituellement confisquées par l’État : réquisition puis distribution des biens produits, amorce de circuits parallèles directs entre ouvriers et paysans, début de la détermination des besoins sociaux simultanément à la saisie directe des moyens de production. Cette tendance à la suppression de la plus-value globale encaissée par la classe bureaucratique coïncidant avec la paralysie de l’État devait contraindre celui-ci à intervenir au moment où il allait perdre tout pouvoir et toute finance. Les ouvriers polonais l’ont bien compris, eux qui constituèrent des groupes armés d’auto-défense et qui pour certains ont saisi des stocks d’armes dans les jours précédents le putsch, au moment où leurs dirigeants syndicaux se berçaient encore d’illusions politico-démocratiques.

    Ainsi la bureaucratie, après avoir joué Walesa et la couche dirigeante de Solidarité contre les ouvriers, a fini par [cruaper ?] la liquidation du syndicat dans son ensemble, c’est-à-dire d’une part la direction réformiste qui lui était devenue inutile, et de l’autre les dix millions de membres de sa base dont il a bien fallu commencer à mater la révolte par la seule force qui semblait tenir encore debout dans cet État en décomposition : l’armée. Or voilà que même cette armée ne suffit plus à rétablir l’ordre ; les précautions avaient pourtant bien été prises : préparer dès le mois d’avril avec l’installation d’un réseau parallèle de transmissions radio par des militaires russes, puis relayé en octobre par un déploiement de l’armée sur le territoire polonais qui, sous couvert de lutter contre le stockage clandestin de marchandises et le marché noir, visait en fait à dresser la liste des suspects, ce pronunciamiento stalinien où des officiers et des soldats soviétiques encadraient des troupes polonaises ne réussit pas à endiguer le formidable mouvement de résistance qui s’est emparé de tout le pays. Et si certaines usines ont été prises d’assaut par les chars et les troupes aéroportées, c’est en même temps les désertions, les mutineries et les fraternisations avec les ouvriers qui se sont multipliées dès le début du putsch, obligeant le pouvoir à emprisonner et à fusiller plusieurs centaines de soldats d’une armée qui compte deux tiers de conscrits, avant de lancer ses unités spéciales de la milice.


    […]

    N’attendons pas la pénurie pour bouffer du stalinien

    […]

    Vive la résistance autonome des prolétaires polonais !

    […]


    sources :

    Impression recto/verso














    [Adresse aux prolétaires de Pologne. Quand vous éliminerez vos bureaucrates, n’oubliez pas les curés !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Adresse aux prolétaires de Pologne. Quand vous éliminerez vos bureaucrates, n’oubliez pas les curés !]. — Le Mayet-de-Montagne ; Vitry-sur-Seine : le Frondeur, [ca ] (Minographie). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 56 × 43 cm.

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    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Pologne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Frondeur
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (long) ]

    texte :

    Adresse aux prolétaires de Pologne

    En 1970, vous vouliez tout et tout de suite. Vous vous révoltiez contre la misère du prolétariat et l’oppression des bureaucrates du parti. Bref, contre le charme discret de la démocratie « socialiste » …
    On vous envoya la milice et la mitraille.

    En 1976, vous vous insurgiez à nouveau. Mais vous vouliez aussi plus de démocratie. Vous exigiez une plus grande participation dans la gestion de votre misère salariée. Et déjà des aspirants-dirigeants offraient leur service.

    En 1980, vous voulez un syndicat libre et, là, les candidats-dirigeants sont légions. L’État capitaliste les reconnaît, cet État qui a su si bien tirer les leçons du passé et comprendre la nécessité, pour sa survie, des syndicats. De tous les syndicats et de toutes les « oppositions réalistes ».

    Est-ce le désespoir d’une situation apparemment bloquée qui vous incite à abandonner votre sort à d’autres ? À vous laisser représenter par des spécialistes de la fausse contestation, vous permettez à l’État de se renforcer sur votre dos au prix de l’ignoble chantage de la concertation.

    N’ayant ni patrie ni partie, nous sommes impatients de nous occuper de vos affaires puisqu’elles sont aussi les nôtres.

    Alors quand vous éliminerez vos bureaucrates, n’oubliez pas les curés !

    Nous vous rendrons la politesse.

    Merde aux représentants du peuple,
    grands et petits !
    Crève la démocratie !
    Vive le communisme !

    Le Frondeur, 03250 Le Mayet-de-Montagne

    [tampon :] Le Frondeur - BP 105 - 94400 Vitry

    Minographie - Tél. : 797-63-51


    sources :