France

 

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Affichage par année

4564 affiches :

 




    [Enfermer toujours plus… ? … attaquer toujours plus !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Enfermer toujours plus… ? … attaquer toujours plus !!]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

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    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (personnage féminin masqué de manga, couteau à la main)

    texte :

    Enfermer toujours plus… ?

    …VOILÀ L’AMBITION À PEINE VOILÉE DE CELLES ET CEUX QUI ADMINISTRENT NOS VIES au quotidien, sous le nom sordide de démocratie : une société régie par l’exploitation, la compétition, la misère et l’enfermement.

    Entre 2022 et 2027, ce sont 8 000 nouvelles places de prison sur 15 000 programmées qui verront le jour, en parallèle d’un élargissement des peines alternatives supposé “libérer” 8 000 places supplémentaires.

    LE PLAN FAIT RÊVER : des prisons usines pour garantir le business de la punition, des taules de haute sécurité pour isoler récalcitrant.e.s et “radicalisé.e.s”, des structures d’accompagnement vers la sortie (SAS, 2 000 places en plus), pour les courtes et fins de peines, accessibles uniquement aux plus méritant.e.s qui seront des petites structures où encadrement renforcé et intégration obligée seront de mise.

    POUR CELA, L’ÉTAT NOUS PRÉPARE SA RECETTE PRÉFÉRÉE : une tambouille écœurante façon “bien-être des détenu.e.s”, tellement servie par le passé qu’on ne comprend plus qui pourrait encore la bouffer.

    N’AVALONS PAS LE MORCEAU, une cage dorée sera toujours une cage, même lorsque l’adjectif semble fort mal approprié quand on observe que prison “moderne” et “humaine” rime souvent avec sécurisation renforcée pour empêcher les révoltes, isolement, complication des petites débrouilles et entraides entre prisonnier.e.s…

    Quant aux peines soi-disant alternatives, elles ne sont rien d’autre qu’un agrandissement de l’emprise du monde carcéral, où les murs de sa propre maison se confondent avec ceux d’une cellule aseptisée.

    LA TAULE NE SERA JAMAIS VIVABLE, tout bonnement car elle n’est que contrôle, soumission, et domination. Et ces choses là ne sont pas à reproduire, mais à détruire.

    AU-DELÀ DES MURS ET DES BARREAUX, la prison existe comme bastion de défense de la propriété privée, des riches et des lois. C’est une menace bien réelle pour nous faire plier la tête et marcher droit. En dehors des 4 murs de la prison, c’est l’ensemble d’une société où l’on est dressé dès l’enfance à fermer sa gueule, à respecter l’autorité et le pouvoir sous toutes ses formes. Du voisin qui te dénonce aux contrôleurs CAF qui te suppriment tes aides, le contrôle est partout pour te rappeler que tu n’es pas libre.

    LUTTER CONTRE LA TAULE, C’EST AUSSI s’en prendre à l’ensemble des collabos de cette machine à broyer des vies : architectes, ingénieurs, assistants sociaux, responsables politiques, matons, entreprises de bâtiments, firmes qui exploitent les prisonnier.e.s dans les ateliers, boîtes qui délivrent la bouffe, associations/boites qui prennent des gens en TIG… S’attaquer à ces connards, c’est déjà les confronter à leur responsabilité, mais aussi se battre pour la liberté, contre l’idée d’un monde qui a besoin d’enfermer pour exister.

    D’AILLEURS, UN PEU PARTOUT EN FRANCE, il arrive que des véhicules de matons soient incendiés, des entreprises collabos attaquées, des caméras sabotées… chaque fois, c’est une bouffée d’oxygène reprise face à l’asphyxie du monde carcéral.

    Des tracts au sabotage en passant par manifs et parloirs sauvages, que notre rage se propage !

    … attaquer toujours plus !!


    sources :
     








    [Hambur-grève]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Hambur-grève]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier jaune ) ; 63 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : grève
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (hamburger)

    texte :

    Contre la précarité et la répression anti-syndicale chez Mcdonalds’s et ailleurs

    Licenciements abusifs - Précarité - Répression syndicale - Cadences infernales - Salaires de misère

    Hambur-grève

    Meeting de solidarité le vendredi 11 janvier à 18 h 30 à la Bourse du travail
    3, rue du Château d’eau, Paris 11e

    Métro République


    sources :

    Affiche de janvier 2002.






    [La Marmite]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Marmite] / Quino. — [S.l.] : La Marmite, [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bakounine, Michel (1814-1876)  ; Brecht, Bertold (1898-1956)
    • Presse citée  : No pasaran (France)
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (journal mural) ; dessins et photos (marmites ; toilettes « Bureau de vote. En prime : le papier pour pleurer » ; chat noir cerclé ; manifestation ; échiquier par Quino « Si personne ne travaille à ta place… Que personne ne décide pour toi ! ») ]

    texte :

    La Marmite

    « La seule fonction légitime du gouvernement (..) est /a défense des riches contre /es pauvres, ou de ceux qui ont quelque propriété contre ceux qui n’en ont pas du tout » Adam Smith, 1776.

    Abstention

    Aux dernières élections françaises, les abstentionnistes ont été traînés dans la boue et assimilés aux gens qui faisaient le jeu de l’extrême droite. Suite à l’appel à voter pour les moins pires, les gens sont descendus dans la rue pour clamer leur indignation. Seulement voilà, le manque de projet généralisé qui règne chez les politiques, toutes tendances confondues, si ce n’est le maintien en place d’un système qui ne nous a montré que son côté inopérant, n’a pas fait de cet engagement un levier suffisant pour changer les choses et surtout, pour paraphraser Rimbaud, pour changer la vie.

    Au contraire c’est une réaction de peur qui a guidé les foules en leur donnant l’illusion de faire une vaste opération citoyenne et qui a laissé un sentiment de honte et de compromission en faisant la part belle aux libéraux. En bref, la bourgeoisie, la propriété et la misère intellectuelle restent au pouvoir. Plutôt que de faire une force de ce choix pourtant très clair, qu’est ne pas souscrire à la mascarade électorale, on a traité les abstentionnistes d’indécis et d’apolitiques... alors que ce geste peut être le seul politiquement fort et nécessaire aujourd’hui.

    Actualité de l’autogestion

    Alors que l’autogestion paraît utopiste aux yeux de beaucoup, les exemples historiques sont là : l’Espagne de 1936, pour n’en citer qu’un, lorsque la CNT, la FAI(*) et les masses ouvrières opposèrent la révolution sociale au fascisme et collectivisèrent terres et usines. Mais plus proche de nous existent des expériences autogestionnaires sur base assembléaire sans chef ni élu.Le cas de l’Argentine lors du soulèvement de décembre 2001 est intéressant.

    À partir de ces évènements, des assemblées de quartier ont vu le jour. Chaque quartier ou presque en a organisé de manière hebdomadaire. Ces assemblées sont ouvertes à tous et sont "annoncées" en permanence grâce à des banderoles donnant le jour et le lieu de la réunion.

    Chaque assemblée envoie des délégués, plus ou moins tournants pour l’assemblée inter-quartier. Toutes ces assemblées semblent tenir fermement au principe de mandats impératifs (limité à une ou plusieurs tâches bien précises), de délégués tellement révocables (si ils ne remplissent pas leurs tâches) qu’ils/elles sont élus parfois à chaque réunion... A l’inter-quartier, des thèmes nombreux et variés ont été évoqués. Les questions posées l’ont été au préalable dans chaque assemblée et chaque délégué est censé voter en fonction de l’avis de son quartier. Si de nouvelles questions se posent, il est dit qu’elles "redescendent en bas" aux assemblées. A côté de ces assemblées, il y a aussi les occupations d’usines.

    L’usine de textile Bruckmann par exemple, est une usine occupée à Buenos Aires depuis janvier 2002. Après la révolte de décembre, les patrons sont partis sans rien dire. Les salariés ont décidé de continuer la production. Là aussi, les employés se réunissent régulièrement afin de décider de la marche à suivre et de régler les problèmes qui se présentent. En Argentine, l’assemblée a été adoptée comme forme de discussion, de coordination et de pensée collective pour tous ceux qui ont décidé de s’organiser au-delà des formes classiques de la politique. Ici, c’est donc le discours de la soi-disant "complexité" des choses qui est attaqué. Ce discours qui réserve "la chose publique" aux experts, aux techniciens ; qui nous condamne à la passivité. Le processus assembléaire ouvre la possibilité d’abandonner cette passivité.

    Aujourd’hui, les assemblées, les occupations d’usines, les piquétéros (mouvement de chômeurs) et toutes les autres luttes de base poussent les changements et commencent à créer de nouvelles formes de sociabilité. Elles existent en tant que contre pouvoir effectif.

    D’après un article de NO PASARAN Nov 2002 et un texte du colectivo situaciones publié sur le site de NO PASARAN nopasaran.samizdat.net/

    (*) C.N.T. : confédération Nationale du Travail F.A.I. : Fédération Anarchiste Ibérique

    Aux urnes citoyens

    On se sent bien isolé, près de l’urne. Un sentiment citoyen nous prend à la vessie. Et sous la lanterne de la responsabilité, se souvenant du mot d’ordre : cordon sanitaire contre les extrêmes en chemises brunes, ne soyez pas trop populiste, exprimez vous avec votre raison, rien ne changera nous sommes là pour ça. Glissez votre billet doux dûment rempli dans la fente, et attendez fébrilement devant votre téléviseur le dépouillement qui suivra. Peut être gagnerez vous ? Pour tromper l’attente, faites des paris : il n’y a pas de sot profit.

    « sombre est l’époque où les gens demandent à être déchargés du souci de défense de leurs intérêts réels et de leur liberté » Bertold Brecht

    L’abstention au vote n’est pas de la passivité, il y a d’autres moyens de luttes

    La réalité est que quand on est au pouvoir, les belles idées s’effacent devant un seul et unique but : le maintien du capitalisme sous toutes ses formes (capitalisme d’État ou privé, démocratie bourgeoise, dictature communiste et fasciste). La démocratie véritable est celle ou il y a une véritable liberté, celle ou les individus s’organisent ensemble et ne délèguent plus leur pouvoir sans contrôle. La démocratie directe et l’autogestion sont, par le biais d’assemblées générales, sans chef, seules porteuses de libertés (individuelle et collective). Seule une égalité sociale, économique et politique aboutira à l’éradication du fascisme une fois pour toute !

    Extrait d’un texte paru sur le site de la CNT-AIT (http://cnt-aitinfo/)

    Ne votez pas pour nous !

    "L’État a toujours fait partie du patrimoine des classes dominantes : le clergé, la noblesse, la bourgeoisie. À la fin arrive la bureaucratie quand l’État, ayant épuisé toutes les classes, tombe ou s’élève, comme on veut au rang de machine." M. Bakounine

    Nous défendons un monde où l’État n’intervient pas en cogestionnaire des existences humaines, mais où la vie se réalise pleinement contre les logiques de survie insufflées par cette civilisation post-industrielle.

    Nous ne voulons plus d’hommes politiques qui exercent leur métier comme médiateur entre les marchands et les gens. Nous voulons développer nos existences en toute autonomie. Nous voulons un retour à la générosité qui fait peu de cas de la représentativité. Nous voulons la fin de cette politique de stérilisation massive du vivant et le déploiement des idées, défendant l’homme vivant avec la nature en symbiose, l’impossibilité de s’approprier le bien commun par quiconque, la reconstruction par l’échange.

    Une marche à contre courant. Nous sommes opposés à toute conception du citoyen sur-informé, formaté plutôt, et à toutes sortes de consolations médiatiques. L’État agit en paralysant toute action de la pensée en sclérosant toute opposition de quelque manière que se soit. Nous sommes contre la domestication de l’individu, grâce à l’extension de la précarité et l’agitation du spectre de la peur. Cette société ambiguë qui agite le mouchoir du progrès en même temps qu’elle désire plus que tout le maintien au pouvoir des anciennes formes de domination.

    http://alternative.lautre.net/
    http://collectiflibertaire.free.frapa/
    http://www.ainfos.ca/

    Si personne ne travaille à ta place… Que personne ne décide pour toi !

    ni État, ni patron, autogestion

    Ne votez pas pour eux non plus

    Voyez ces Écolos marrons, anciens pourfendeurs de missiles Pershing qui proposent l’instauration d’une force de frappe européenne. Voyez d’autres réformateurs qui s’agitent dans tous les coins du globe, pseudo défenseurs de la veuve et de l’orphelin et qui se couchent dès que cela sent un peu trop le souffre, pour ne jamais aboutir qu’au maintien de la situation précédente.

    Ce sont des brasseurs de vents, qui n’ont même pas le charme romantique d’un Don Quichotte. Leur but : séduire, séduire, séduire.

    Finalement, ils fonctionnent exactement comme l’extrême droite, ils utilisent des slogans accrocheurs, vides ou embrassant une large possibilité de signifiants (le progrès, en marche, humanisme, nation, unité du pays, etc.) afin d’occulter

    Le pire serait que cela marche, que les gens soient assez bêtes pour être rassurés par ces ventripotents impotents du bulbe cérébral.

    contactez la Marmite : abstinent@no-lo.org


    sources :

    Affiche formée des deux parties A3 à coller ensemble.












    [Paix]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Paix]. — Strasbourg : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Strasbourg, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

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    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Israël  ; Palestine
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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte : logos (fusil brisé ; A cerclé) ]

    texte :

    Paix

    Parqués dans l’immense prison à ciel ouvert que sont les territoires occupés, la vie quotidienne des Palestiniens est, depuis 50 ans, un enfer. Chômage massif, harcèlement permanent, checkpoints, répression, camps de réfugiés. Tout développement économique, tout avenir, leur est interdit. Dans ces conditions, les révoltes se succèdent, les représailles s’accentuent, le désespoir aussi.

    Mais les médias persistent à vouloir renvoyer israéliens et palestiniens dos à dos. C’est aberrant, d’un coté une puissance économique(1) et militaire(2), de l’autre une économie de survie(1), et des armes rudimentaires. C’est une situation similaire à celle de la France en Algérie : un rapport colonial. À terme une seule solution pourra amener la paix : que chacun puisse librement déterminer son propre avenir.

    Aujourd’hui, la fuite en avant de l’extrême droite au pouvoir en Israël fait replonger la région dans l’horreur. La confrontation ne pourra amener que souffrance aux populations des deux cotés. Rien ne peut justifier le massacre de civils.

    De part et d’autre, des femmes et des hommes courageux, juifs, arabes, et volontaires internationaux, osent se lever pour s’opposer à la loi du plus fort, et exiger une paix juste, sans domination, loin de tout fanatisme religieux.

    1 PIB/habitant : Israël 17 500 $ (entre la France et l’Espagne). Palestine 1 500 $ (chiffres 1997)
    2 Dépenses militaires israéliennes : 11 % du PIB (France : 2,5 % USA : 3 %)

    [logo “fusil brisé”] — [logo : A cerclé] Fédération Anarchiste — Strasbourg
    http://www.fa-strasbourg.fr.st


    sources :

    http://fastrasbg.lautre.net/?Paix
    http://fastrasbg.lautre.net/IMG/jpg/doc-76.jpg








    [Tuez-la !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tuez-la !]. — Strasbourg : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Strasbourg, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; vignettes ; logo (A cerclé) ]

    texte :

    Tuez-la !

    Elle vous bouffe 70 % de votre temps libre (1),
    Elle vous prend 3h30 par jour (2),
    Elle vous transforme en consommateur passif,
    La télévision est une drogue dure.
    Arrêtez. Maintenant.

    La télévision occupe un rôle central dans nos vies. Pourquoi ? Quelles conséquences ça a sur nous, sur nos enfants ? La télévision dépeint un monde artificiel ou chaque personnage, chaque thème, chaque mouvement, sont choisis pour attirer le plus de téléspectateurs possibles, et cela au moindre coût. Le but est de vendre. La pub marche. Sur vous, comme sur tout le monde. Les milliards brassés par la télé viennent de votre poche. L’impact sur l’éducation des enfants est énorme. Les stéréotypes martelés par la télévision imprègnent notre vie quotidienne. Les émissions réellement éducatives sont rarissimes, mais même elles, favorisent un rôle passif, nous font ingurgiter des informations prémâchées, et nous incitent que peu souvent à une réflexion autonome.

    Alors, devenez un acteur de votre vie, prenez-vous en main ! Éteignez la télé.

    
    (1) Syndicat National de la Publicité Télévisuelle – enquête INSEE « emploi du temps » 1986-1999
    (2) Les chiffre varient : 3h50 (Médiamétrie 01/2001) ; plus de 3h (Ministère de la culture 1997)
    
    [logo] — [logo : A cerclé] Fédération anarchiste - Strasbourg — [logo]


    sources :

    http://fastrasbg.lautre.net/?Tuez-la
    http://fastrasbg.lautre.net/IMG/pdf/doc-74.pdf














    [La dernière babillarde]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La dernière babillarde]. — Lille : la (Lille) Brèche, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

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    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (mains au travers de barreaux de prison) ]

    texte :

    jeudi 24 avril 2003 - 20 h

    “La dernière balillarde”

    par la Cie « La Barbillarde » de Hem

    d’après des textes de détenu-e-s

    Théâtre

    Pièce suivie d’un débat sur les lois sécuritaires et la construction de nouvelles prisons
    par le collectif « La Brèche »

    salle des fêtes Wazemmes
    rue de l’abbé Arts • Mº Wazemmes


    sources :

    Les textes sont tirés de deux ouvrages : Paroles de détenus (éd. Librio) et Pour en finir avec toutes les prisons (éd. L’insomniaque).
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article157



    [La Fête du Combat syndicaliste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Fête du Combat syndicaliste]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; culture  ; presse  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Alpi, Fred (1962-....)  ; Brigada Flores Magón  ; Brixton Cats  ; Compagnie Jolie Môme  ; Levaray, Jean-Pierre (1955-....)  ; Loach, Kenneth "Ken" (1936-....)  ; Malnou, Jacques  ; Nadaud, Martin (1815-1898)  ; Pagès, Yves (1963-....)  ; Réplik, la  ; Riton la Manivelle  ; Saunier, Pierre  ; Utgé Royo, Serge (1947-....)  ; Varoqui, Catherine  ; Ya Basta
    • Presse citée  : Combat syndicaliste (1947-....), le
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    vignettes (chat cerclé ; yeux dans le noir)

    texte :

    Face au MEDEF : Osons lutter ! Osons vaincre !

    La Fête du Combat syndicaliste

    Samedi 1er février :
    10 h 30 : Ouverture des portes.
    11 h : Projection : « Les Dockers de Liverpool » de Ken Loach.
    12 h : Projection : « Don(t clean up the blood ». Film sur le contre-sommet de Gênes.
    13 h : Buffet et musique, avec Riton la Manivelle.
    14 h : Projection du film « Danger-Travail » suivi d’un débat avec Yves Pagès (auteur des Petites natures mortes au travail) et Jean-Pierre Levaray (auteur de Putain d’usine).
    17 h : Débat : Quel syndicalisme aujourd’hui contre la précarité.
    18 h 30 : Débat : La criminalisation du mouvement social.
    19 h 30 : Débat : « Journalistes précaires. Presse sommaire ». Avec des journalistes de France soir et de L’Humanité.
    20 h 30 : Soirée rock avec Brixton Cats (punk-rock), Ya Basta (ska) et Brigada Flores Magón (ping-rock).

    Dimanche 2 février !
    10 h 30 : Ouverture des portes.
    11 h : Projection de « Martin Nadaud », un film de Pierre Saunier et de « Gabriel, Sylvain, Amédée et autres migrants de la Creuse », film de Catherine Varoqui et Jacques Malnou. Projection suivie d’un débat avec le SUB : Quelle évolution du bâtiment et du syndicalisme dans le bâtiment depuis Martin Nadaud ?
    13 h : Buffet et chorale La Canaille.
    13 h 30 : Débat : Impérialismes et résistances. Avec le secrétariat Internationale de la CNT.
    15 h : Représentation théâtrale avec la Compagnie Jolie Môme. La Crosse en l’air, de Jacques Prévert.
    16 h 30 : Intervention publique de la CNT.
    17 h : Chansons libertaires, avec Serge Utge-Royo.
    18 Ì : Fred Alpi (rock)
    19 h : La Réplik (java-punk-ska de Bordeaux)

    Samedi 1er et dimanche 2 février

    À la Parole Errante, 9 rue François Debergue, 93100 Montreuil (métro Croix de Chavaux, ligne 9).

    Participation aux frais : 7 euros la journée ou 10 euros pour tout le week-end.

    Face au MEDEF, osons lutter, osons vaincre !

    Tous à Montreuil le premier week-end de février !!!

    CNT un syndicat de combat !
    Confédération Nationale du Travail
    33, rue des Vignoles - 75020 Paris
    nº Azue : 08 10 00 03 67 - Fax : 01 43 72 95 34
    http://cnt-f.org - mél : cnt@cnt-f.org

    2003

    Scripto imprimeur - 01 46 36 59 57


    sources :
     

    2003
    Affiche liée


    [La prison, miroir d’une société d’enfermement]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La prison, miroir d’une société d’enfermement]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDL (Lyon)
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Peyrat, Yves
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; logo (« murs blancs, peuple muet ! ») ; dessin d’après photo célèbre (poing levé depuis une prison) ]

    texte :

    La prison, miroir d’une société d’enfermement

    Au même titre que les centres de rétention, les camps de réfugiés, les zones d’attente pour les clandestins, les prisons nous dessinent la carte du monde des États et de l’économie.

    Les ghettos où l’on enferme la misère, où l’on enterre la révolte sont les véritables visages de notre présent.

    La prison n’est ainsi que l’iceberg d’une condition d’enfermement bien plus large et massive de la société toute entière, elle en est une partie intégrante et toutes deux interagissent ensemble.

    Aujourd’hui nous nous trouvons en face d’un système social qui se base sur le vol du plus grand nombre, sur l’extermination de masse pour garantir les privilèges d’une minorité, un système aussi basé sur la négation de la liberté, la torture et l’enfermement de ceux qui se rebellent contre leurs conditions de servage ou refusent les mécanismes qui leurs sont offerts pour devenir partie intégrante du système de mort que la société impose pour garantir certaines libertés à quelques individus.

    Le « droit à la sécurité » n’est donc pas une condition de la liberté comme l’affirment les propagandistes du régime. Cette sécurité n’est que l’autre nom de la violence d’État par laquelle se perpétuent l’exploitation et la misère du plus grand nombre.

    Ainsi la construction de nouveaux centres pénitentiaires accompagne une surveillance et un contrôle social plus en plus sophistiqué sous le couvert d’une nécessaire sécurité. : urbanisme de ghetto, vidéo-surveillance, cohortes de vigiles et de flics, fichage systématique, citoyen-flic...

    De plus le secteur carcéral avec sa main d’œuvre captive et presque gratuite est susceptible d’engendrer de larges profits au lieu d’engloutir des fonds publics : salaires défiant toute concurrence, charges sociales et couverture sociale inexistantes, aucun droit (du travail, syndical, ou autre). Vive le libéralisme intra-muros.

    Aujourd’hui on ne peut se contenter de belles phrases, de vœux pieux, de slogans : si la critique de la prison se limite à « à bas la prison ! », elle reste particulièrement inoffensive.

    Les attaques théoriques contre l’univers carcéral ne peuvent remplacer les urgences constantes que sont les liens, les passerelles existantes ou à faire exister entre le « dehors » et le « dedans ».

    La lutte contre la prison commence au quotidien dans tout ce qui peut être arraché au quotidien de l’enfermement.

    Lier les luttes de ceux et celles qui ne se résignent pas au projet d’anéantissement qui leur est réservé avec celles qui se déroulent dans cette autre prison qu’est la société doit constituer un de nos objectifs principaux.

    Car chaque brique que l’on ôtera à la prison, chaque fois que son exorbitant pouvoir de nuisance lui sera contesté ce sera un mur entier de l’édifice social qui s’effondrera.

    La moindre défaite des enfermeurs est une baffe à la face de l’État, un pas vers la liberté qui sape la toute puissance des propriétaires de ce monde et nous rapprochera de notre désir, un monde sans État, sans argent et sans classes.

    Débat avec Yves Peyrat, samedi 17 mai à 15 h

    [logo poing avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! » La Gryffe est membre du collectif Affichage libre - [logo] Librairie libertaire La Gryffe

    Librairie libertaire La Gryffe
    5, rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon - Métro Saxe-Gambetta - Tél. / fax : 04 78 61 02 25. www.lagryffe.net
    Ouverture du lundi au vendredi de 14 à 19 h - le samedi de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 19 h


    sources :

    http://lagryffe.net/LA-PRISON-MIROIR-D-UNE-SOCIETE-D,120.html


    1988

    [s.d.]

    1973

    [s.d.]

    1976
    Affiches liées