noir

 

 
 

Affichage par année

3578 affiches :

 






    [Justice has no borders ; Stop mandatory sentencing]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Justice has no borders ; Stop mandatory sentencing]. — Melbourne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Australie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (panneau d’interdiction) ]

    texte :

    Justice has no borders

    Stop mandatory sentencing

    Rally starts 11 noon, Sunday April 9th
    State Library, cnr Swanston & LaTrobe Sts Melbourne

    For further information phone (03) 9411 1306
    Endorsed by : National Coalition Against Unjust Sentencing ; Federation of Community Legal Centres ; National Union of Students ; Law Institute of Victoria ; Liberty Victoria ; Ethnic Communities Council of Victoria ; Defence for Children International ; Victorian Council of Social Services (VCOSS) ; Jewish Community Council of Victoria ; Victorian Deaths in Custody Watch Committee ; Catholic Commission for Justice Development and Peace ; Catholic Social Services ; The Uniting Church of Australian ; Good Shepherd Social Justice.


    sources :

    Affiche parue en 2006 ou 2000 ou 1995 ou 1989.




    [Kraken gaat door, verbod of geen verbod !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Kraken gaat door, verbod of geen verbod !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 119 × 42 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ;]

    texte :

    Kraken gaat door, verbod of geen verbod !

    Omdat wonen een eerste levensbehoefte is.

    Kraken gaat door omdat leegstand en speculatie misdaad is.

    Kraken gaat door zolang woonruimte verdeeld wordt door de “vrije markt” en winstbejag inplaats van sociale behoefte : woningnood breekt wet !

    Kraken gaat door omdat jongeren en andere woningzoekenden anders nog meer speelbal van huiseigenaren en anti-kraak buro’s worden.

    Kraken gaat door omdat je een recht moet nemen wanneer je met niet krijgt.

    Kraken gaat door omdat eigendom geen eerste levens behoefte is en een dak boven je hoofd wel.

    Kraken gaat door omdat vrije en assertieve mensen niet zijn weg te stoppen in een vinexdoos met een wurghypotheek.

    Kraken gaat door met het openbreken van ruimte voor initiatieven die gebaseerd zijn op solidariteit, creativiteit en eigen kracht, inplaats van commercie, controle en kapitaal.

    Kraken gaat door, niet omdat krakers zo lief zijn met hun weggeef winkels, sociale centra en andere leuke initiatieven, maar omdat ze opkomen voor hun recht en mening.

    Kraken gaat niet door omdat crimineel verklaard worden zo tof is maar omdat iedereen politieke en sociale invloed moet uitoefenen op zijn/haar omgeving.

    Kraken gaat door omdat wonen met een bivakmuts op beter is dan slapen onder een brug.


    sources :
     


    [Krakers : wat vindt u daar nou van ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Krakers : wat vindt u daar nou van ?]. — Den Haag La Haye : De blaauwe kraker, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 55 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : presse  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : blaauwe kraker, de (Nl)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; bande dessinée]

    texte :

    Krakers

    Wat vindt u daar nou van ?

    ... en in De Blaauwe Kraker
    staat ook al niets
    geen doorlopers
    geen sex
    geen hitlijst
    geen voetbal
    wel van dat
    gezeur over
    woningnood
    speculanten
    politieoptreden
    kraken krakers
    leegstand akties
    maar een lekkere
    blote meid ho maar

    De Blaauwe Kraker

    toch abonnee worden ?
    heus ? zeker weten ?
    maak dan 15 piek over op
    gironummer 2776087
    tnv. KJH, Lutherse Burgwal 1,
    Den Haag, onder vermelding
    "Blaauwe Kraker"
    krijg je 10x die troep
    op de mat.
    waar je zin
    in hebt


    sources :
     









    [La candidature de Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La candidature de Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : critique de l’anarchisme  ; délégation de pouvoir (élections)  ; féminisme  ; littérature : satires
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte (reprint d’une vieille affiche de 1881)

    carte forte

    texte :

    Prix 10 centimes — Prix 10 centimes

    La candidature de Louise Michel

    Programme

    Citoyens et citoyennes,

    Voici venir les élections.

    J’aime à supposer que cette fois les électeurs en ont assez et qu’ils ne vont pas se faire rouler suivant la déplorable habitude contractée par eux depuis que le suffrage universel fait semblant d’exister.

    Je dis : « Fait semblant d’exister » et je maintiens ce mot, car en réalité, le suffrage universel n’existe pas.

    Est-il logique, en effet, que dans notre pays la partie mâle de la population ait seule le droit de voter, tandis que la partie féminine doit se contenter de raccommoder les chaussettes de ses conjoints et les fonds de culottes de ses moutards ?…

    Est-il juste que des avortons sans finesse, sans cœur au ventre et sans aucune des connaissances sérieuses du cœur humain que nous possédons à un si haut degré, nous autres femmes, aient seuls le droit de confectionner des lois ineptes ou infâmes dont le plus souvent notre sexe enchanteur est la première victime.

    Non, mille fois non… cela n’est pas logique !…

    Re-non, re-mille fois re-non, cela n’est pas juste !!…

    Et le moment est venu où tout cela doit changer.

    C’est pourquoi, citoyens et citoyennes, militaires et bonnes d’enfants, je me suis décidée à poser ma candidature à la députation… et mon poing sur la figure au premier qui me blaguera.

    Bavarde comme le premier avocat venu ;

    Tapant du poing sur la tribune comme n’importe quel Gambetta ;

    Ni plus ni moins maboule qu’un Gavarnie ou qu’un Lorgeril ;

    J’ai toutes les qualités requises pour remplacer à moi toute seule au moins 340 des fameux 363 qui ont fait si peu de besogne en sept ans de temps.

    De plus, habituée que j’ai été à Nouméa à ne boire que de l’eau pas sucrée, mes électeurs pourront être assurés que je ne négligerai pas mon mandat législatif pour aller licher des verres de Néré à la buvette de l’Assemblée pendant qu’on discutera une loi sur le divorce ou l’abolition du concordat…

    Électeurs !

    Je vous parlais tout à l’heure de ce gros repu qu’on appelle Gambetta.

    Eh bien, nommez-moi à sa place, et je ne vous dis que ça.

    Je ne m’engraisserai pas comme il l’a fait, à seule fin de pouvoir cacher entièrement mon « programme de Belleville » en m’asseyant dessus plus tard.

    D’abord des programmes, il n’en faut plus ; ça sent la comédie ; et puis nous savons tous ce qu’en vaut l’aune. Ce que je réclamerai même tout d’abord, c’est le rétablissement du mandat impératif, grâce auquel les électeurs ont au moins le moyen de casser aux gages ceux de leurs employés — car les députés sont les employés du peuple, ne l’oublions pas, — qui voteraient la suppression des urinoirs publics alors qu’on les aurait élus pour réclamer la création supplémentaire de latrines pour dames.

    Pour en revenir à Gambetta, à cet homme qui prenait tant de ventre pendant que moi, je perdais ma gorge de jeune fille, je crois que le moment est opportun de le reléguer à jamais dans le magasin des accessoires avec tous les opportunistes ses amis, et de remplacer tout ce monde-là par des socialistes neufs et garantis bon teint… pendant au moins quatre ans.

    Et surtout, puisque les hommes ont montré leur impuissance absolue, de nommer des femmes à leur place, beaucoup de femmes, rien que des femmes !…

    Les femmes, il n’y a que ça !…

    Nous seules, citoyens pouvons faire votre bonheur.

    Nous seules sommes assez fortes pour vous octroyer toutes les libertés qu’il vous plaira.

    Ainsi, tenez, moi qui vous parle, une fois élue, voici les différents projets de lois que je sortirai de mon sac à ouvrage et que je ficherai sur la tribune de l’Assemblée au moyen de fortes épingles.

    1° Suppression du sénat, composé d’un tas de vieux ramollis incapables de rien créer et bons tout à plus à baver sur leurs pupitres pour y faire pousser des champignons ;
    2° Suppression de la Présidence de la République, et le Président remplacé par un timbre à signature de trois francs soixante quinze centimes une fois payé ;
    3° Abolition des armées permanentes, et les soldats employés à la culture des pommes de terre ou à pomper l’eau des rivières pour le cas où,comme cette année, la sécheresse deviendrait inquiétante pour les populations ; — comme conséquence, suppression des ministres de la guerre et de la marine.
    4° Abolition du capital et obligation pour tous les hommes de travailler de douze à quarante ans d’une façon quelconque ; versement des salaires dans les caisses de l’État, qui serait tenu de nourrir, loger, habiller et fournir de l’argent de poche à tout homme ou femme ayant atteint l’âge de la retraite ;
    5° Plus de patrons ni d’employés, rien que des égaux devant la loi, et même derrière ou à côté ;
    6° Suppression de la Magistrature et du Clergé, composés d’un tas de blagueurs qui passent leur temps à se f…icher de leurs concitoyens ;
    7° Le droit pour tout citoyen d’entrer gratuitement dans les tramways et dans les établissements tarifés à quinze centimes jusqu’à ce jour ;
    8° Suppression du Mariage et l’union libre reconnue comme seule légale. Conséquence : suppression des belles-mères ;
    9° Le droit pour tout le monde de sortir en caleçon de bain pendant les grandes chaleurs, l’obligation de se vêtir poussant à la dépense le pauvre prolétaire ; d’ailleurs, au moyen de ce système, les mœurs ne pourraient que s’améliorer, et l’on ne verrait plus des crevés idiots et pornographes suivre pendant trois heures une femme qui montre la moitié d’un mollet, ou une autre dont le costume recherché n’a d’autre but que d’exciter les passants à désirer la voir avec ledit costume… déposé sur une chaise, à côté ;
    10° La permission pour tout le monde d’écrire indifféremment « arico » ou « haricaud », sans s’exposer à se faire moquer de soi par ceux qui écrivent « haricot » sans trop savoir pourquoi ;
    11° Le meurtre d’un roi, d’un prince du sang ou d’un prince héritier quelconque considéré comme un droit sacré et comme un acte de justice ;
    12° Les députés payés à raison de douze sous l’heure de travail tout comme le premier galochier venu ; de cette façon, nos représentants feraient peut-être plus d’ouvrage et gagneraient au moins leur salaire ;
    13° Les Œuvres d’Émile Zola répandues dans les écoles en remplacement des œuvres classiques devenues par trop rococo ;
    14° Enfin, le droit pour la femme de porter la culotte et aussi celui de la poser quand le besoin s’en ferait sentir, droit dont, héla ! elle n’est que trop privée bien souvent.

    Voilà, mes chers concitoyens, mes principales réformes économiques et les différentes questions sociales que je me réserve de résoudre dès le lendemain du jour où vous m’aurez donné vos suffrages.

    Car vous me les donnerez. Vous le devez :

    D’abord par patriotisme ;

    Ensuite parce que je suis femme et qu’avec les dames, il faut toujours être garant ;

    Enfin, parce que, je le répète, moi seule ai assez d’énergie pour mener à bien toutes ces choses.

    Un dernier mot, et j’ai fini.

    Vous le savez, je suis demoiselle encore, je ne suis pas jolie, jolie, mais j’ai du nerf, et pour une femme, le nerf, c’est tout.

    Eh bien, de même que les vierges mystiques ne veulent d’autres époux que le Christ, je m’engage à devenir l’épouse de l’arrondissement qui me donnera le plus de voix !!!!

    Qu’on se le dise !!…

    Et maintenant,

    Électeurs, aux urnes !!!

    Et surtout pas d’abstentions, car il y va du bonheur de la France !

    Vive la sociale !!!…

    Voilà mon cri de ralliement.

    Signé : Louise Michel

    Pour copie qu’on forme : sa secrétaire particulière, Maltena Domigina

    Vente en gros : 5, rue du Croissant.


    sources :

    Affiche parodique et écrite par un homme ?


    1881
    Affiche liée











    [lange genug raste der Mord durch die Gauen Europas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    lange genug raste der Mord durch die Gauen Europas]. — Hannover Hanovre : FAU_ (Freie Arbeiter-Union), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : armement
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Rocker, Rudolf (1873-1958)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (intervention de Rocker au congrès syndical de 1919) ; photo (Rocker) ; fond taillé rouge et noir ]

    texte :

    „...Lange genug raste der Mord durch die Gauen Europas, nun liegt die Entscheidung abermals in unserer Hand.

    Nicht von oben wird sie uns kommen, kein Friedenskongreß kann sie uns bringen, nur durch die direkte revolutionäre Aktion der Arbeiter selbst wird die Frage gelöst.

    Fabrizieren wir keine Mordwerkzeuge mehr ! Liefern wir dem Staat keine Kanonen, keine Gewehre mehr ! Drücken wir dem kalten Mörder nicht selbst die Mordwaffe in die verruchte Hand !

    Sorgen wir dafür, daß die Betriebe der Zerstörung und der grausigen Menschenschlächterei sich in Betriebe segens-reicher und friedlicher Arbeit verwandeln...”

    Rudolf Rocker vor den Delegierten der Reichs-Konferenz der Rüstungsarbeiter Deutschlands in Erfurt ; März 1919

    Widerstand gegen Rüstungsproduktion

    [logo] Freie Arbeiter Union - Anarcho-syndikalisten Internationale Arbeiter-Assoziation

    Druck : Offizin, Stiftstraße 11, 3000 Hannover 1


    sources :
     













    [Lettera aperta al Dottor Argenziano direttore dello stabilimento di sterminio « Rumianca »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lettera aperta al Dottor Argenziano direttore dello stabilimento di sterminio « Rumianca »]. — Avenza ; Carrara Carrare : USI_ (Unione sindacale italiana), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : économie : industrie  ; santé  ; syndicalisme : anarchosyndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ] sur violet ou bleu

    texte :

    Lettera aperta al Dottor Argenziano direttore dello stabilimento di sterminio « Rumianca »

    Non sappiamo de quanto tempo abbia ricevuto l’investitura di direttore di Lager (ci scusi, di stabilimento) ; sappiamo però che è riuscito molto bene ed in brevissimo tempo a diventare l’aguzzino degli operai.

    I dirigenti che a Torino stanno pontificando sullo schiavismo da Lei perpretato, saranno soddisfattissimi, probabilimente. La proporranno per l’onorificenza presidenziale di cavaliere per meriti di lavoro.

    L’accusiamo di :

    1) Adottare senza prevenzioni metodi di lavorazione che minano in modo irreparabili la salute dei lavoratori, infatti le sostanze usate per la lavorazione di prodotti agricoli causano malattie infettive con sintomi di febbre ; il gas ammoniacale causa disturbi intestinali con diminuzione dei globuli rossi, determinando l’anemia ; la solforico nitrosa causa la bronchite. Come se ciò non bastasse, le ricordiamo che l’età media dei suoi operai si aggira sui 55 anni.

    2) Di adoperare metodi da schiavista per aumentare la produzione.

    3) Di mantenere gli operai in un costante clima di terrore. Arriva perfino a minacciarli di licenziamento quando devono rimanere in Cassa Mutua per curare i mali che la Ruminaca gli procura.

    4) Di servisi in qualità di sbirri, per un maggior controllo degli operai, di piccoli truffatori (vedi l’ex brigadiere Milanta, ora Capo-guardia).

    Capirà bene egregio dottor Argenziano, che gli operai non possono passare sopra tanto facilmente a simili angherie, da persona intelligente quale. Elle è, capirà perfettamente anche le future azioni che dovremo fare contro di Lei. Ci spiace immensamente, ma non potrà dormire tranquillamente fintanto che le cose alla Rumianca non cambieranno : purtroppo dovremo render la inoffensivo. E tutto questo perchè, nonostante gli operai morti e quelli ridotti a larve umane, Lei non ha minimamente migliorato le condizioni di lavoro all’interno dello stabilimento. Riteniamo nostro dovere riportar la sulla retta via, anche se dovessimo trascinarla in Tribunali con gli altri componenti della "banda".

    USI - Unione Sindacale Italiana

    Tip. [Baldelli e Zanetti ?] - Avenza - Tel 82.00


    sources :