CIRA (Lausanne)

Centre international de recherches sur l’anarchisme (CIRA, Lausanne)

CIRA (Lausanne)

Centre international de recherches sur l’anarchisme

Av. de Beaumont 24
CH-1012 Lausanne
Suisse

infoⒶcira.ch
métro m2 depuis la gare jusqu’à l’hôpital (CHUV), ou sortie autoroute Hôpitaux.

Voir en ligne : http://www.cira.ch

http://ficedl.info/?article42

Pour le CIRA Lausanne, les références indiquées sur les notices de ce site sont souvent de type :
Affxxxx, Affyyyy - XXXXXX (cira L)
— la première partie (commençant par Aff) correspond aux inventaires physiques des affiches ;
— la seconde partie correspond à la notice électronique propre au logiciel (http://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=XXXXXX) utilisé, ici PMB.

 

Affichage par année

2724 affiches :

 














    [Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici… encore un effort si vous voulez être des hommes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici… encore un effort si vous voulez être des hommes]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 45 × 34 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (beaucoup) ]

    texte :

    Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici…

    Nous ne connaissons pas d’autre beauté, d’autre fête que celle qui détruit l’abus des banalités quotidiennes et des sentiments truqués. « Le criminel rompt la monotonie et la sûreté quotidienne banale de la vie bourgeoise » (Marx). Les délits ne nous importent pas si ce n’est celui qui les contient tous, l’insurrection. C’est cette fête qui contient l’unique sérieux.

    […]

    […]

    […]

    […]

    […]

    […]

    […]

    […]

    […]

    Les détenus en particulier expriment ainsi une nouvelle conscience de prolétaire dans la conscience de ne pas être isolés. Ils sont l’avant-garde des hommes perdus qui ont conscience de l’être. La lie de la société est ainsi à l’avant-garde de la révolution, « la mauvaise part qui produit le mouvement de l’histoire en commençant la lutte » (Marx).

    Un coup de vent et un coup de main sont suffisants pour que le jeu devienne total, pour que tout soit remis en jeu, pour que la violence destructrice libère sa positivité.

    « Du plaisir de créer au plaisir de détruire, il n’y a qu’une oscillation qui détruit le pouvoir ».

    … encore un effort si vous voulez être des hommes

    Imprimerie spéciale ZJG


    sources :
     


    [Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici… encore un effort si vous voulez être des hommes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici… encore un effort si vous voulez être des hommes]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 46 × 34 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; marxisme  ; prison  ; révolte  ; révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Prolétaires, ne vous arrêtez pas ici…

    Nous ne connaissons pas d’autre beauté, d’autre fête que celle qui détruit l’abus des banalités quotidiennes et des sentiments truqués. "Le criminel rompt la monotonie et la sûreté quotidienne banale de la vie bourgeoise" (Marx). Les délits ne nous importent pas si ce n’est celui qui les contient tous, l’insurrection. C’est cette fête qui contient l’unique sérieux.

    Dans une société ou par leurs actions illégales (occupations, séquestrations) les prolétaires sont criminels, les prisons se remplissent de prolétaires. Mais désormais de tous les lieux de l’isolement monte une menace mortelle pour la totalité des condi-tions d’existence : les détenus qui un peu partout (et dernièrement à Lyon) ont déchainé leur révolte désespérée le savent bien. Tous les acrobates de la pensée progressiste qui affirment que "la cause des fautes des individus est à rechercher dans la société", omettent toujours de dire de quelle société il s’agit et quelles sont les fautes réelles qui tàchent les individus.

    Un journaliste qui mentionne : "Les détenus eux aussi sont des hommes, comme nous, absolument semblables à nous", ignore évidemment la différence entre un bipède bénéficiaire des Droits de l’Homme et un homme qui sait que la liberté de chacun passe par la liberté de tous. Il n’est pas facile de diffuser les idées dans le prolétariat, en toutes circonstances contrôlé par le pouvoir ; mais entre-temps nous pouvons patiemment détruire toutes les fourmis humanitaires une à une. Tous les spécialistes de la pensée séparée qui croient voir dans les révoltes des prisons "la crise du système pénitentiaire dans cette société", ignorent qu’il s’agit plutôt de la crise de cette société qui se manifeste initialement dans les secteurs les plus séparés de son organisation à savoir les prisons.

    La révolte des détenus est une révolte contre la société, contre la propriété du travail qui est également la propriété des hommes. Ceux-ci, de la même façon que les bandes de loulou, mais plus radicalement parce qu’à un niveau plus élémentaire de la contrainte, explosent en une fureur qui leur permet de savourer précairement la liberté. Son manque est absolu mais c’est la conscience de ce manque qui se fait aujourd’hui sentir avec plus d’ardeur.

    Dans les déclarations inquiètes qui fusent de tous côtés, il est facile de relever une note particulière : ce qui provoque avant tout le pouvoir, c’est le fait que les coupables refusent essentiellement l’indignité de leur qualité sociale et de leur condition séparée.

    Les détenus plus que les autres ne se sentent ni coupables, ni résignés. Dans leur révolte se trouve l’affirmation — confuse — d’une liberté totale. Il s’agit, même limitée à une prison assiégée par la police, d’une situation révolutionnaire qui cherche ses formes : le mouvement déchainé par le prolétariat lance son appel, ne laisse rien en dehors de lui et rase toutes les prisons ; au moment où ils peuvent le crier et détruire les portes des cellules, il n’existe plus ni hiérarchie ni prison. Une prison occupée n’est plus une prison, une usine occupée n’est plus un lieu de peine.

    Dans les destructions ou les occupations par lesquelles les détenus et les ouvriers ont engagé leur bataille et leur fête, les mots d’ordre mesquins et réformistes sont dépassés par les gestes radicaux dignes de la Commune. Les révoltes des prisons comme les mouvements et les occupations ont eu des airs de fête, (mise à sac et banquets, avec des beuveries monstres, nuits de chansons et musiques et d’authentiques folies). La liberté est le crime qui contient tous les crimes.

    La révolution moderne n’est plus la révolution innocente, la révolution stérilisée, la révolution bureaucratique bien menée, la révolution de la stratégie et de l’état-major. La révolution moderne accumule ses éléments en pêchant dans les eaux troubles, avance par des voies transversales et trouve des alliés en tous ceux qui n’ont aucun pouvoir sur leur propre vie et le savent. La révolution des prolétaires est la révolution laide et désordonnée, la révolution trouble, la fête sauvage, parce qu’à la place des phrases est entrée la monstruosité des actes. Chaque geste de révolte est une révolte contre les rapports sociaux existants qui la sus-citent, mais elle doit trouver la voie de la totalité. C’est cette recherche dans les faits qui s’annonce dans la profondeur critique des insurrections des prisons, des occupations d’usines ou de lycées.

    L’unité du monde est l’unité de la misère, l’unité du travail-marchandise et de la vente-consommation de la vie. Ceux qui ont transgressé — ou pris à la lettre, ce qui revient au même — les lois de la marchandise ne sont pas adaptés pour vivre dans la société ou règnent les produits de consommation. Ils sont les nègres de la société de classe, les exclus du bénéfice d’être exploités en vue d’une intégration plus profitable. La société où le travail est vendu en tant que marchandise doit être fondamentalement hiérarchique, et cette hiérarchie classique de l’expropriation ne fait que se reproduire et créer partout le racisme et les ségrégations La société de la propriété et de la privation de propriété, de la propriété de choses à travers la propriété d’êtres, trouve sa réponse naturelle dans le vol et le meurtre. Ainsi les détenus sont les esclaves désobéissants, les violateurs non tolérés qui ont menacé les rapports de propriété, base de toute civilisation. Dans leur révolte ces hommes pourraient saccager pendant dix ans sans récupérer la moitié de ce qui leur est retiré quotidiennement. Exclus de la survie organisée, ils demandent la vie. Ils se battent ensemble pour la liberté totale, partout, ou pour la défaite totale.

    Par l’union des exclus (prisonniers, ouvriers, jeunes…) l’histoire est en train de produire une bande à Bonnot qui ne peut plus être détruite, le dégoût ineffaçable de la survie et de son prix s’exprime dans les révoltes sans réserve qui voient le jour un peu partout. La précarité de cette révolte exprime à la fois désespoir et espérance.

    Les détenus en particulier expriment ainsi une nouvelle conscience de prolétaire dans la conscience de ne pas être isolés. Ils sont l’avant-garde des hommes perdus qui ont conscience de l’être. La lie de la société est ainsi à l’avant-garde de la révolution, "la mauvaise part qui produit le mouvement de l’histoire en commençant la lutte" (Marx).

    Un coup de vent et un coup de main sont suffisants pour que le jeu devienne total, pour que tout soit remis en jeu, pour que la violence destructrice libère sa positivité. "Du plaisir de créer au plaisir de détruire il n’y a qu’une oscillation qui détruit le pouvoir".

    … encore un effort si vous voulez être des hommes

    (Imprimerie spéciale ZIG)


    sources :
     


    [Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Récital de magie : Mystag présente Tout l’occultisme dévoilé]. — Paris : Mystag, [ca ] (Harfort, impr.). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , papier blanc ) ; 120 × 80 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; ésotérisme  ; religion et spiritualité (en général)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Mystag (1919-1988)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte. 10 grands numéros, 50 expériences. slnd ]

    texte :

    Récital de magie

    Mystag

    présente

    Tout l’occultisme dévoilé

    10 gds numéros [étoile] 50 expériences

    Magie moderne : le créateur de l’impossible

    Fakirisme : l’homme qui joue avec la mort

    Transmission de pensée et voyance : le radar humain

    Suggestion, magnétisme et hypnotisme : puissance du regard et de la volonté

    Unique, les prodiges de la radiesthésie

    Sensationnel, la vérité sur le spiritisme : reconstitution et description des expériences des plus fameux médiums comme E. Palladino, Guzik, Home, Kalm, Kluski qui ont étonné des hommes de science tels que Crockes, Flammarion, Lombroso, Richet

    Raps, table tournante, messages de l’au-delà, apportes, souffles, image d’esprit, apparition de fantômes, etc… etc…

    La marérialisation de Ramsès II

    La main spirite de Bénévol

    Anticipation, la radio quadri-dimensionnelle : ce que Jules Verne et Wells auraient voulu voir


    sources :

    Existe aussi en version 159× 118 cm.


    [ca  1970]
    Affiche liée



    [Rouge : crèvent les martyrs du prolétariat !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rouge : crèvent les martyrs du prolétariat !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 32 × 50 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)  ; trotskisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin 1 (ouvrier et étudiant/e tenant drapeaux rouge et noir sur fond de foule couverte de drapeaux, dans Paris), dessin 2 (visage de Christ avec couronne d’épines) ]

    texte :

    Vive la révolution

    L’humanité rouge ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste russe !

    Cette page reproduit une affiche chinoise revue par les marxistes non maoïstes. Elle n’a donc pu être collée massivement dans les usines chinoises


    Rouge

    Partout le mode de survie actuel se présente comme éternel et immuable. L’“avant-garde” qui prétend l’abolir est figée dans la même éternité. Elle n’a aucune chance de lui survivre et elle commence à le savoir.

    Crèvent les martyrs de prolétariat !


    sources :

    Imprimé sur une moitié d’affiche : un exemplaire de « Il n’est pas de sauveur suprême, ni dieu, ni Castro, ni Mao ».


    1995
    Affiche liée






    [To nonsubscribers of Radical America]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    To nonsubscribers of Radical America]. — New York : Situationist International, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 57 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : édition  ; presse  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Debord, Guy-Édouard (1931-1994)  ; Perlman, Fredy (1934-1985)
    • Presse citée  : Radical America (1967-1999)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ photo montage (barricade de la Commune de Paris et des têtes au bout de piques : Mao Zédong, Moshe Dayan, Yasser Arafat, Hafez el-Assad ?, Léonid Brejnev, XX ? & Elvis Presley ?) ; texte critiquant la publication et la traduction de la Société du Spectacle de Guy Debord dans le journal Radical America) ]

    texte :

    To nonsubscribers of Radical America :

    Proletarian revolution depends entirely on the condition that, for the first time, theory as intelligence of human practice be recognized and lived by the masses.
    It requires workers to become dialecticians and to inscribe their thought into practice.

    In the reproduction of Guy Debord’s situationist text Society of the Spectacle, by Radical America, the spectacle of spectacles is achieved. The contradiction between the reproducers and the object reproduced is glaring. This reproduction, however, is not an absurdity in abstracto, even if its passage into the absurd escapes the recognition of its inventors. The absurdity has become real, and it can acquire, without denunciation, the force of historical confusion.

    If the critical fragment discovers itself ultimately within the alien totality, this Pop Front For the Liberation of Radical Appearances goes a step further. It brings every conceivable ideological fragment, independently incapable of more putrefaction, together as the totality itself. Its dream is the encirclement of revolutionary theory with its name to make it seem as if it is its milieu ; the ideologization of that which is absolutely opposed to ideology.

    Revolutionary theory finds itself buried alive in the coffin of Radical America between the cadavres of State surrealism and bureaucratic councilism.

    Rosemont, self-disciplined necrophiliac holding his revivalist rites over the thirty-five-year-old grave of surrealism, moves from literary reification of the former significance of the critical automatism to sordid identification with determinism. — after Aragon. "Our unreserved adherence to the fundamental principles of marxism-leninism, our active participation in concrete political struggles and on militant demonstrations, should be sufficient proof that our conception of poetry does not end with the poem" (it ends with the bureaucratic class). — Radical. America, Jan. 1970, p. 62. Note the more than slight contrast with this : "Dadaism wanted to suppress art without realizing it ; surrealism wanted to realize art without suppressing it" (Society of the Spectacle, thesis 191).

    CLR James, unlike Jesse, does not recognize the actual influence of men on events. Borrowing from the old evolutionary model of Bernstein, he conceals the subjective aspect in the Bolshevik counter-revolution under the seemingly harmless heading of "underdevelopment." Impossible for James to see from within his nondialectical perspective, the Bolshevism of Lenin played its own part in underdevelopment, in its role as factor of retard and regression for that central part of productive forces, which is revolutionary class consciousness. Toward the end of his anarcho-trotskyist career in critical underdevelopment, James vindicates even that bureaucratic excess, stalinism, which he once opposed. "The countries known as underdeveloped have produced the greatest statesmen of the twentieth century, men who have substantially altered the shape and direction of world civilization in the last 50 years. There are four in number : Lenin, Gandhi, Mao-tse-tung, and Nkrumah" (Radical America, CLR James, p. 97).

    Our comrade adequately defrocks the new priests of dead time : "If all the bureaucrats taken together decide everything, the cohesion of their own class can only be assured by the concentration of their terrorist power in a single person. In this person resides the only practical truth of falsehood in power : the indisputable permanence of its constantly adjusted frontier" (Society of the Spectacle, thesis 107).

    If Radical America can hide behind the senile, and apparently harmless activity of a clearing home, the anti-theoretical function it accomplishes cannot escape even its own modernist eyes. In this world nobody is innocent. To introduce revolutionary theory into the domain of muted perspective blurs its own total transparence, and transforms it into a mere appendix to the imposture of speculation. The category of "situationist-type" texts (see again, if you dare, the CLR James edition, p. 104) marks the limit of their flat world. There, at the point of necessary return, we find Perlman’s Revolutionary Struggle in Yugoslavia, an anti-bureaucratic collage, made by way of mere citation and information, thus realizing it-self in the voice of the bureaucracy. "In its very style, the exposition of dialectical theory is a scandal and an abomination in terms of the rules of the dominant language and for the taste which they have educated, be-cause in the positive use of existing concepts it at the same time includes the knowledge of their rediscovered fluidity, of their necessary destruction" (Society of the Spectacle, thesis 205).

    At the same time that Radical America has re-enforced the theory of the peaceful co-existence of revolutionary ideology and revolutionary theory, it has also de-mystified it, despite itself, in its direct mutilation of Society of the Spectacle. The petit-specialists of radical contradictions cannot escape them in turn ; the mutilator mutilates himself. The actual distortion of the text, in the translation (thanks to the metaphysical assistance of the at once existing and nonexisting Black and Red) follows logically from the entire displacement of Society of the Spectacle under the banner of reified thought. Nevertheless the consequences always multiply the horror of bad premises.

    Against the backdrop of a myriad of linguistic as well as stylistic errors, the crucial falsification occurs blatantly in the realm of the revolutionary concept : "dépassement" becomes "overcoming" instead of supersession ; "renversement" becomes "overturning" instead of reversal ; "détournement" becomes "displacement" instead of diversion. This partial apprehension of the dialectic and absolute captivation of the degree zero of writing reaches its summit there where the distorted words are themselves distorted : "Critical theory must be communicated [communicate itself from the french "se communiquer"] in its own language. This is the language of contradiction, which must be dialectical in its form as in its content. It is not a ’zero degree of writing’ but its overcoming ["It is not a ’degree-zero of writing’ but its reversal," as in the original is written, "II n’est pas un ’degré zéro de I’écriture’ mais son renversement.’"] It is not a negation of style, but the style of negation" (Debord, thesis 204).

    Finally, the repeated introduction of unresolved esthetic images, in spite of some other excellent images (which cannot redeem them), is the excess of this spectacle. The Situationists can draw only one conclusion by which the truth of this moment of revolutionary theory can be restored : the authentic reproduction, funded and distributed by Radical America, of Society of the Spectacle and brought back under its own organizational name, Situationist International. If the situationists are not the only theoreticians in the revolutionary movement today, it is equally true that the only revolutionary theory is situationist.

    Situationist International, PO Box 491, Cooper Station, New York, New York 10003


    sources :
     









    [1° maggio 1886 - 1° maggio 1971]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    1° maggio 1886 - 1° maggio 1971]. — Firenze Florence : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : Gruppo anarchico Durruti, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : Premier Mai
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : États-Unis : histoire : 1886 (Haymarket )
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    1° maggio 1886

    cinque compagni anarchici vennero condannati a morte da un tribunale, come sempre al servizio dei padroni o di chi è al potere per aver rivendicato la giornata lavorativa di otto ore.

    1° maggio 1971

    lavoratori, operai e studenti, sono schiacciati dalla repressione padronale e statale per aver rifiutato le miserevoli e reazionarie « riforme » e rivendicato, con scioperi spontanei e duri, l’abolizione di principi e metodi autoritari e meritocratici, che sono la molla propulsiva di ogni società basata sullo sfruttamento dell’uomo sull’uomo.

    I lavoratori delle fabbriche rifiutino le « riforme » e impongano, al di là di ogni gatteggiamento di vertici, la eliminazione delle qualifiche, dei cottimi e dei salari differenziati.

    I lavoratori dei campi esproprino le terre senza indennizzare nessuno, perchè la terra ed i suoi frutti sono di chi lavora.

    I lavoratori della scuola, studenti ed insegnanti, rifiutino i registri, i programmi ministeriali, i provvedimenti disciplinari, le interrogazioni ed ogni altro metodo o strumento che possa contribuire a forgiare dei servi del potere, e lavorino in mutua collaborazione al raggiungimento della società nuova.

    No alle riforme, si alla rivoluzione sociale

    Firenze — Gruppo Anarchico "E. Durruti„ — FAI

    Tipo-Offset M. Chiese & i - Tel. 272.502 - Firenze


    sources :
     






    [Aux gardes nationaux du VIe arrondissement. Elle ne doit obéir qu’à des chefs choisis par elle et constamment révocables]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux gardes nationaux du VIe arrondissement. Elle ne doit obéir qu’à des chefs choisis par elle et constamment révocables]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 41 × 29 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : armée  ; lutte armée
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Varlin, Eugène (1839-1871)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    Membres du Comité central provisoire

    texte :

    Aux gardes nationaux du VIe arrondissement

    Citoyens,

    Toute armée permanente est destructive des institutions républicaines. Elle ne peut que conduire le pays tantôt à d’effroyables désastres, tantôt à la gloire militaire, s’élevant toujours sur la ruine des libertés publiques et l’oppression des autres peuples.

    Elle favorise les coupables entreprises des prétendants et des ambitieux ; sert à écraser le pays d’impôts, à entraver la production en consommant sans produire. L’armée permanente prend des hommes et rend des esclaves. Elle dégrade le caractère des citoyens, fait perdre le goût du travail et fournit des recrues à l’odieuse police qui engendre la corruption au lieu de sauvegarder les mœurs, et prête la main à tous les crimes contre la liberté des citoyens.

    Après la longue série d’infamies dont la plupart des chefs militaires se sont couverts en haine de la République, la garde nationale ne peut, sans trahir la patrie à son tour, conserver le commandement à des chefs imposés. Elle ne doit obéir qu’aux chefs choisis par elle et constamment révocables.

    La Garde nationale parisienne a su, par son attitude, déjouer tous les pièges et sauver la Cité du déshonneur et du pillage. À elle incombe le devoir de veiller sur la ville, de la préserver des calamités que lui préparent dans l’ombre les souteneurs de princes, les généraux de coups d’État, les ambitieux cupides et éhontés de toutes sortes.

    Le force doit rester au service du droit. Nous avons l’un et l’autre, conservons-les. Les ennemis de la patrie et de la République seront impuissants.

    Citoyens de la Garde nationale, pour constituer rapidement une force compacte, pour avoir des chefs sûrs, capables, dévoués, républicains, ayant notre confiance, il faut prêter notre concours au Comité central, dans lequel vient de se fondre le Comité fédéral, et que reconnaissent plus de deux cents bataillons.

    Les bataillons du VIe arrondissement sont invités à envoyer, jeudi 9 mars, à 8 heures du soir, 10, rue St-Benoît, trois délégués par compagnie, élus sans distinction de grade, et un officier par bataillon, élu par le corps des officiers.

    Les chefs de bataillon sont également invités à cette réunion.

    Ordre du jour :

    Organisation de la Fédération républicaine de la Garde nationale. — Formation des cercles de bataillon, des conseils de légion et nomination des délégués au Comité central.

    Vive la République !

    Jules Bergeret. — V. Frontier. — H. Chouteau. — L. Lacord. — E. Varlin. — Henri Verlet, membres du Comité central provisoire.

    1131 — Paris. Association générale typographique, rue du Faubourg-Saint-Denis, 19. Barthélémy et Cie.


    sources :

    facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »



    [Befreit Valpreda]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Befreit Valpreda]. — Berlin : 883 Revolutionäre Aktion, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 61 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : justice  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  : Valpreda, Pietro (1933-2002)
    • Presse citée  : 883 Revolutionäre Aktion (Berlin)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (Valpreda et policier) ]

    texte :

    Befreit Valpreda

    Genosse Valpreda ist unschuldig. Die Faschisten haben in Rom und Mailand für die Unternehmer die Bomben geschmissen. Die Klassenjustiz har die Mörder geschützt.

    [logo :] 883 Revolutionäre Aktion

    Am 12. Dezember 1969 explodierten in Rom und Mailand Bomben. 14 Menschen wurden getötet. Die Polizei verhaftete willkürlich Sozialisten, Kommunisten und Anarchisten.
    Für die faschistische und liberale Presse, für die Polizei und die Justiz waren die Attentäter natürlich nur in diesen Gruppen zu suchen.
    Der Eisenbahner Pinelli, ein Anarchist, wurde während eines Polizeiverhörs ermordet und aus dem Fenster geworfen. Offizielle Darstellung : Selbstmord und Schuldbekenntnis.
    Für die Presse, Polizei und Justiz waren die Attentäter jetzt nur noch bei den Anarchisten zu suchen.
    Seit fast 2 Jahren sitzen Valpreda und andere Genossen in Untersuchungshaft und warten auf ihren Prozeß.

    Bekämpft die Klassenjustiz

    Bekämpft den Bullenterror

    Befreit alle politischen Gegangenen

    Anarchistische Internationale


    sources :
     

    [ca  1970]
    Affiche liée




    [Commune de Paris, n° 170 : déclaration au peuple français... Nous en appelons à la France... Nous avons le devoir de lutter et de vaincre !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Commune de Paris, n° 170 : déclaration au peuple français... Nous en appelons à la France... Nous avons le devoir de lutter et de vaincre !]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 29 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : lutte armée  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    République française

    N° 170 — Liberté - Égalité - Fraternité — N° 170

    Commune de Paris

    Déclaration au peuple français

    Dans le conflit douloureux et terrible qui impose une fois encore à Paris les horreurs du siège et du bombardement, qui fait couler le sang français, qui fait périr nos frères, nos femmes, nos enfants écrasés sous les obus et la mitraille, il est nécessaire que l’opinion publique ne soit pas divisée, que la conscience nationale ne soit point troublée.

    Il faut que Paris et le Pays tout entier sachent quelle est la nature, la raison, le but de la Révolution qui s’accomplit ; il faut, enfin, que la responsabilité des deuils, des souffrances et des malheurs dont nous sommes les victimes, retombe sur ceux qui, après avoir trahi la France et livré Paris à l’étranger, poursuivent avec une aveugle et cruelle obstination la ruine de la Capitale, afin d’enterrer, dans le désastre de la République et de la Liberté, le double témoignage de leur trahison et de leur crime.

    La Commune a le devoir d’affirmer et de déterminer les aspirations et les vœux de la population de Paris ; de préciser le caractère du mouvement du 18 Mars, incompris, inconnu et calomnié par les hommes politiques qui siègent à Versailles.

    Cette fois encore, Paris travaille et souffre pour la France entière. dont il prépare, par ses combats et ses sacrifices, la régénération intellectuelle, morale, administrative et économique, la gloire et la prospérité.

    Que demande-t-il ?

    La reconnaissance et la consolidation de la République, seule forme de gouvernement compatible avec les droits du Peuple et le développement régulier et libre de la société.

    L’autonomie absolue de la Commune étendue à toutes les localités de la France et assurant à chacune l’intégralité de ses droits, et à tout Français le plein exercice de ses facultés et de ses aptitudes, comme homme, citoyen et travailleur.

    L’autonomie de la Commune n’aura pour limites que le droit d’autonomie égal pour toutes les autres communes adhérentes au contrat, dont l’association doit assurer l’Unité française.

    Les droits inhérents à la Commune sont :
    Le vote du budget communal, recettes et dépenses ; la fixation et la répartition de l’impôt ; la direction des services locaux ; l’organisation de sa magistrature, de la police intérieure et de l’enseignement ; l’administration des biens appartenant à la Commune.
    Le choix par l’élection ou le concours, avec la responsabilité, et le droit permanent de contrôle et de révocation des magistrats ou fonctionnaires communaux de tous ordres.
    La garantie absolue de la liberté individuelle, de la liberté de science et la liberté de travail.
    L’intervention permanente des citoyens dans les affaires communales par la libre manifestation de leurs idées, la libre défense de leurs intérêts : garanties données à ces manifestations par la Commune, seule chargée de surveiller et d’assurer le libre et juste exercice du droit de réunion et de publicité.
    L’organisation de la défense urbaine et de la Garde nationale, qui élit ses chefs et veille seule au maintien de l’ordre dans la Cité.

    Paris ne veut rien de plus à titre de garanties locales, à condition, bien entendu, de retrouver dans la grande administration centrale, délégation des communes fédérées, la réalisation et la pratique des mêmes principes.

    Mais, à la faveur de son autonomie et profitant de sa liberté d’action, Paris se réserve d’opérer comme il l’entendra, chez lui, les réformes administratives et économiques que réclame sa population ; de créer des institutions propres à développer et propager l’instruction, la production, l’échange et le crédit ; à universaliser le pouvoir et la propriété, suivant les nécessités du moment, le vœu des intéressés et les données fournies par l’expérience.

    Nos ennemis se trompent ou trompent le Pays quand ils accusent Paris de vouloir imposer sa volonté ou sa suprématie au reste de la nation, et de prétendre à une dictature qui serait un véritable attentat contre l’indépendance et la souveraineté des autres communes.

    Ils se trompent ou trompent le Pays quand ils accusent Paris de poursuivre la destruction de l’Unité française constituée par la Révolution aux acclamations de nos pères, accourus à la fête de la Fédération de tous les points de la vieille France.

    L’Unité, telle qu’elle nous a été imposée jusqu’à ce jour par l’empire, la monarchie et le parlementarisme, n’est que la centralisation despotique inintelligente, arbitraire ou onéreuse.

    L’Unité politique, telle que la veut Paris, c’est l’association volontaire de toutes les initiatives locales, le concours spontané et libre de toutes les énergies individuelles en vue d’un but commun, le bien-être, la liberté et la sécurité de tous.

    La Révolution communale, commencée par l’initiative populaire du 18 Mars, inaugure une ère nouvelle de politique expérimentale, positive, scientifique.

    C’est la fin du vieux monde gouvernemental et clérical, du militarisme, du fonctionnarisme, de l’exploitation, de l’agiotage, des monopoles, des privilèges, auxquels le prolétariat doit son servage, la Patrie ses malheurs et ses désastres.

    Que cette chère et grande Patrie, trompée par les mensonges et les calomnies, se rassure donc !

    La lutte engagée entre Paris et Versailles est de celles qui ne peuvent se terminer par des compromis illusoires ; l’issue n’en saurait être douteuse. La victoire, poursuivie avec une indomptable énergie par la Garde Nationale, restera à l’idée et au droit.

    Nous en appelons à la France.

    Avertie que Paris en armes possède autant de calme que de bravoure ; qu’il soutient l’ordre avec autant d’énergie que d’enthousiasme ; qu’il se sacrifie avec autant de raison que d’héroïsme ; qu’il ne s’est armé que par dévouement pour la liberté et la gloire de tous, que la France fasse cesser ce sanglant conflit !

    C’est à la France à désarmer Versailles, par la manifestation solennelle de son irrésistible volonté.

    Appelée à bénéficier de nos conquêtes, qu’elle se déclare solidaire de nos efforts ; qu’elle soit notre allié dans ce combat qui ne peut finir que par le triomphe de l’idée communale ou par la ruine de Paris !

    Quant à nous, citoyens de Paris, nous avons la mission d’accomplir la Révolution moderne, la plus large et la plus féconde de toutes celles qui ont illuminé l’histoire.

    Nous avons le devoir de lutter et vaincre !

    19 avril 1871.

    La commune de Paris

    Imprimerie nationale. — Avril 1971


    sources :

    facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »


    1871
    Affiche liée






    [Commune de Paris, n° 318 : appel aux prolétaires, bataillon des francs-tireurs de la révolution]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Commune de Paris, n° 318 : appel aux prolétaires, bataillon des francs-tireurs de la révolution]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 39 × 29 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : lutte armée
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    République française

    N° 318 — Liberté - Égalité - Fraternité — N° 318

    Commune de Paris

    Appel aux prolétaires

    Bataillon des francs-tireurs de la Révolution

    Citoyens,
    Autorisés par le Comité de Salut public et par le citoyen délégué civil à la Guerre, à former un bataillon de francs-tireurs, nous faisons appel à la démocratie pour son organisation immédiate.
    Non contents d’assassiner nos frères prisonniers, les monarchistes de Versailles, dont le mandat est expiré, sentant la France leur échapper, nous insultent par des propositions de trahison.
    Que telle soit notre réponse :

    Aux armes ! En avant ! Vive la république universelle ! Vive la Commune !

    Les Délégués à l’organisation : E. Raveaud, R. Kahn.
    Ex-francs-tireurs garibaldiens.

    Paris, le 23 floréal an LXXIX [79]

    Bureaux d’enrôlement : Caserne du Prince-Eugène, place du Château-d’Eau. Organisation démocratique. — Armement à tir rapide. — Équipement. — Solde de la Garde nationale. — Vivres de campagne.

    Imprimerie Nationale. — Mai 1871


    sources :

    facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »


    1871
    Affiche liée