papier rouge
121 affiches :
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[ texte (1re « Commune de Lyon ») ]
- texte :
République française
Fédération Révolutionnaire des Communes
La situation désastreuse dans laquelle se trouve le Pays ; l’impulssance des pouvoirs officiels et l’indifférence des classes privilégiées ont mis la Nation française sur le bord de l’abîme.
Si le Peuple organisé révolutionnairement se se hâte d’agir, son avenir est perdu, la Révolution est perdue, tout est perdu. S’inspirant de l’immensité du danger et considérant que l’action désespérée du Peuple ne saurait être retardée d’un seul instant, les délégués des Comités fédérés du Salut de la France, réunis au Comité central, proposent d’adopter immédiatement les résolutions suivantes :
Article 1er. — La machine administrative et gouvernementale de l’État, étant devenue impuissante, est abolie.
Le peuple de France rentre en pleine possession de lui-même.Art. 2. — Tous les tribunaux criminels et civils sont suspendus et remplacés par la justice du peuple.
Art. 3. - Le paiement de l’impôt et des hypothèques est suspendu. L’impôt est remplacé par les contributions des communes fédérés, prélevées sur les classes riches, proportionnellement aux besoins du salut de la France.
Art. 4. — L’État, étant déchu, ne pourra plus intervenir dans le paiement des dettes privées.
Art. 5. - Toutes les organisations municipales existantes sont cassées et remplacées dans toutes les communes fédérées par des Comités du salut de la France, qui exerceront tous les pouvoirs sous le contrôle immédiat du Peuple.
Art. 6. — Chaque comité d chef-lieu e de département enverra deux délégués pour former la Convention révolutionnaire du Salut de la France.
Art. 7. — Cette Convention se réunira immédiatement à l’Hôtel-de-Ville de Lyon, comme étant la seconde ville de France et la plus à portée de pourvoir énergiquement à la défense du Pays.
Celte Convention, appuyée par le Peuple entier, saurera la France.
Aux armes !!!
E.-B. Saignes, Rivière, Deville, Rajon (de Tarare), François Favre, Louis Palix, B. Placet, Blanc (G.), Ch. Beauvoir, Albert Richard, J. Bischoff, Doublé, H. Bourbon, M. Bakounine, Parraton, A. Guillermet, Coignet aîné, P.-J. Pulliat, Latour, Guillo, Savigny, J. Germain, F. Charvet, A. Bastelica (de Marseille), Dupin (de Saint-Étienne), Narcisse Barbet.
Lyon, Association typographique. — Regard, rue de la Barre, 12.
Affiche du 26 septembre 1870. Archives municipales de Lyon, 6fi 6833
http://www.ephemanar.net/septembre26.html
Cette affiche est reprise en couverture de Les Communards à Lyon : les insurgés, la répression, la surveillance de Matthieu Rappe (Lyon : Atelier de création libertaire, 2015).
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[ texte ]
- texte :
Au peuple de Paris,
Les délégués de vingt arrondissements de Paris.
Le gouvernement qui, le 4 septembre, s’est chargé de la défense nationale a-t-il rempli sa mission ? – Non !
Nous sommes 500 000 combattants et 200 000 Prussiens nous étreignent ! À qui la responsabilité, sinon à ceux qui nous gouvernent ? Ils n’ont pensé qu’à négocier au lieu de fondre des canons et de fabriquer des armes.
Ils se sont refusés à la levée en masse.
Ils ont laissé en place les bonapartistes et mis en prison les républicains.
Ils ne se sont décidés à agir enfin contre les Prussiens qu’après deux mois, au lendemain du 31 octobre. Par leur lenteur, leur indécision, leur inertie, ils nous ont conduits jusqu’au bord de l’abîme : ils n’ont su ni administrer ni combattre, alors qu’ils avaient sous la main toutes les ressources, les denrées et les hommes.
Ils n’ont pas su comprendre que dans une ville assiégée, tout ce qui soutient la lutte pour sauver la patrie possède un droit égal à recevoir d’elle la subsistance ; ils n’ont rien su prévoir : là où pouvait exister l’abondance, ils ont fait la misère ; on meurt de froid, déjà presque de faim : les femmes souffrent, les enfants languissent et succombent. La direction militaire est plus déplorable encore : sorties sans but ; luttes meurtrières sans résultats ; insuccès répétés, qui pouvaient décourager les plus braves ; Paris bombardé. Le gouvernement a donné sa mesure : il nous tue. Le salut de Paris exige une décision rapide. Le gouvernement ne répond que par la menace aux reproches de l’opinion. Il déclare qu’il maintiendra l’ordre, comme Bonaparte avant Sedan.
Si les hommes de l’Hôtel de Ville ont encore quelque patriotisme, leur devoir est de se retirer, de laisser le peuple de Paris prendre lui-même le soin de sa délivrance. La municipalité ou la Commune, de quelque nom qu’on appelle, est l’unique salut du peuple, son seul recours contre la mort. Toute adjonction, ou immixtion au pouvoir actuel ne serait qu’un replâtrage, perpétuant les mêmes errements, les mêmes désastres. Or la perpétuation de ce régime, c’est la capitulation, et Metz et Rouen nous apprennent que la capitulation n’est pas seulement encore et toujours la famine, mais la ruine et la honte. C’est l’armée et la Garde nationale transportées prisonnières en Allemagne, et défilant dans les villes sous les insultes de l’étranger ; le commerce détruit, l’industrie morte, les contributions de guerre écrasant Paris : voilà ce que nous prépare l’impéritie ou la trahison.
Le grand peuple de 89, qui détruit les Bastilles et renverse les trônes, attendra-t-il dans un désespoir inerte, que le froid et la famine aient glacé dans son cœur, dont l’ennemi compte les battements, sa dernière goutte de sang ? – Non ! La population de Paris ne voudra jamais accepter ces misères et cette honte. Elle sait qu’il en est temps encore, que des mesures décisives permettront aux travailleurs de vivre, à tous de combattre.
Réquisitionnement général, — Rationnement gratuit, Attaque en masse.
La politique, la stratégie, l’administration du 4 septembre, constituées de l’Empire, sont jugées. Place au peuple ! Place à la commune !
Les délégués des vingt arrondissements de Paris
Adoué, Ansel, Antoine Arnaud, J.-F. Arnaud, Edm. Aubert, Babick, Baillet père, A. Baillet, Bedouch, Ch. Beslay, J.-M. Boitard, Bonnard, Casimir Bouis, Louis Bourdon, Abel Bousquet, V. Boyer, Brandely, Gabriel Brideau, L. Caria, Caullet, Chalvet, Champy, Chapitel, Charbonneau, Chardon, Chartini, Eugène Chatelain, A. Chaudet, J.-B. Chautard, Chauvière, Clamouse, Claris A., Clavier, Clémence, Lucien Combatz, Julien Conduche, Delage, Delarue, Demay, P. Denis, Dereux, Dupas, Durins, Duval, Duvivier, R. Estieu, Fabre, F. Félix, Jules Ferré, Th. Ferré, Flotte, Fruneau, C.-J. Garnier, L. Garnier, M. Garreau, Gentilini, L. Genton, Ch. Gérardin, Eug. Gérardin, Gillet, P. Girard, Giroud-Trouillier, J. Gobert, Albert Goullé, Grandjean, Grot, Henry, Fortuné Henry, Hourtoul, Alph. Humbert, Jamet, Johhannard, Michel Joly, Jousset, Jouvard, Lacord, Lafargue, Laffitte, A. Lallement, Lambert, Lange, J. Larmier, Lavorel, Leballeur, F. Lemaître, E. Leverdays, Armand Lévy, Lucipia, Ambroise Lyaz, Pierre Mallet, Malon, Louis Marchand, Marlier, J. Martelet, Constant Martin, Maullion, Léon Melliet, X. Missol, Tony Moilin(docteur), Molleveaux, Montell, J. Montels, Mouton, Myard, Napias-Piquet, Émile Oudet, Parisel, Pérève, H. Piednoir, Pillot (docteur), Pindy, Maurice Portalier, Puget, D.-Th. Régère, Retterer aîné, Aristide Rey, J. Richard, Roselli-Mollet, Édouard Roullier, Benjamin Sachs Sainson, Sallée, Daniel Salvador, Th. Sapia, Schneider, Seray, Sicard, Stordeur, Tardif, Tessereau, Thaller, Theisz, Thiolier, Treillard, Tridon, Urbain, Vaillant Ed., Jules Vallès, Viard, Viellet.[impr. …]
Affiche rouge, signée par les délégués des vingt arrondissements de Paris, — 6 janvier 1871 — proclamation au peuple de Paris pour dénoncer la faillite du gouvernement du 4 septembre.
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[ texte (seconde « Commune de Lyon ») ]
- texte :
République française
Commune de Lyon
Le Comité démocratique de la Garde nationale du Rhône,
Le Comité central démocratique de l’ Alliance républicaine du Rhône, aux Lyonnais.Citoyens !
La Commune vient d’être proclamée du haut du balcon de l’Hôtel-de-Ville aux applaudissements frénétiques de la population entière.
Notre ville, qui la première, au 4 septembre, a proclamé la République, ne pouvait tarder d’imiter Paris.
Honneur à cette courageuse et vaillante population lyonnaise.
Elle vient de concourir au rétablissement de la liberté et de la vraie République.
Elle vient de reprendre la direction de ses intérêts trop longtemps absorbés par le Pouvoir central.
Avec la Commune, Citoyens, nous aurons un pouvoir unique, qui concentrera dans ses mains la Force armée et la Police municipale.
Avec la Commune, les impôts s’allégeront, les deniers publics ne seront plus gaspillés, les institutions sociales attendues avec une légitime impatience par les travailleurs, seront fondées et mises en pratique.
Une ère nouvelle, Citoyens, commence pour notre Cité !
Bien des souffrances et des misères seront soulagées en attendant que disparaisse l’hideuse plaie sociale appelée Paupérisme !
Que les habitants restent calmes et dignes dans leur victoire ; qu’ils aient confiance, et bientôt l’ordre et la prospérité ne seront plus de vains mots.
Par notre attitude, prouvons aux ennemis de la vraie liberté que le Peuple ne confond jamais cette sublime institution appelée Commune, avec les débordements dont ils se plaisent à l’accuser.
Bientôt, nos détracteurs eux-mêmes seront contraints de reconnaître que le Peuple est digne d’être régi par les institutions républicaines.
Soyons unis et restons armés pour soutenir la République une et indivisible.
Vive la Commune ! Vive la République !
Pour le Comité de la Garde nationale Lacondamine, Malard, Jerricard, A. Delmas, Franquet.
Pour le Comité central démocratique de l’Alliance républicaine Brun, Roland, présidents ; Goutorbe, Chapitet, secrétaires.
Lyon, Association typographique, — Regard, rue de la Barre, 12.
Affiche du 23 mars 1871. Archives municipales de Lyon, 6fi 683
La version du Musée d’Art et d’Histoire (Saint-Denis) est légèrement différente (plusieurs tirages ? : cf Le Monde libertaire hors-série nº 5, novembre 1995, page 14).
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[ texte ]
- texte :
Bibliothèque sociologique des travailleurs communistes libertaires du XIIe arrondissement
Lundi 16 mars 1896, à 8 heures 1/2 très-précises
Salle Genti, 16, rue des Colonnes-du-Trône (place de la Nation)
Grand meeting public d’indignation
contre l’expulsion de Pierre Kropotkine
avec le concours assuré de
Sébastien Faure, Fortuné He[nr]y, Tortelier, etc.
Ordre du j[ou]r :
1.L’expulsion du compagnon Pierre Kropotkine ; les gouvernements républicains [devant ?] les valets du Czar russe.
2. Les évènements d’Italie et d’Espagne ; la guerre sociale à Cuba.
3. le 18 mars 1871 et la décadence de la bourgeoisie française en 1896.Prix d’entrée : 50 centimes au profit du journal Les Temps nouveaux
Lire : Les Temps nouveaux, 140, rue Mouffetard — La Sociale, 15, rue Lavieuville. — Le Libertaire, 5, rue Eugène-Sue
Paris. — Imp. Vert aîné, rue François-Miron, 8
Trouvé sur Gallica (affiche http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9017848b.r= ?).
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[ text ]
- texte :
International socialist workers and trade union congress 1896.
Anarchist-socialsit and anti-parliamentary committee
Welcome to delegates
An international
mass meeting
will be held at Holborn Town Hall, Grays inn Road, W.C. on
Tuesday, July 28th 1896,
all delegates are invited to attend
The following have consented to speak :
Élisée Reclus, J. C. Kenworthy, A. Hamon, Peter Kropotkine, Touzeau Parris, Morrison Davidson, Tom Mann, Ben Tillett - LCC, Bernard Lazare, Pietro Gori, Amilcare Cipriani, Errico Malatesta, Gustave Landauer, Keir Hardie, Louise Michel, Frnak Kitz, James Tochatti, H. H. Duncan, Alfred Barton, J. Caplan.
All communications to be addressed to J. Perry, 7, lamb’s Conduit street, Theobald’s road, W.C.
Admission free — Doors open at 7 p.m. — / Commence at 7.30.
The Socialist choir will be in attendance during the evening
All trade unionists specially invited.
Co-operative Printing Society Limited, Tudor street, New Bridge street, London, E.C.
See also : « The Labour Leader : peace demonstration ».
Poster consists of 2 parts.
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- notes :
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[ texte ; vignettes (portraits) par Charles Prolès ]
- texte :
Vingt-cinquième anniversaire de la Semaine sanglante
Souvenir de Mai 1871
Hommes et martyrs de la Commune
d’après les dessins de l’époque par Ch. Prolès
[…]
Vente en gros : chez Léon Hayard : éditeur, 146, rue Montmartre, Paris.
IISG
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- notes :
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[ texte ]
- texte :
Famine… et arrestation de mille républicains, socialistes et anarchistes en Italie. — Le peuple espagnol trompé, enrégimenté et poussé à une guerre nationale par les dirigeants. — De Montjuich à Cuba — Duperie du suffrage universel — Le pain cher.
Meeting public
Salle de l’harmonie, 94, rue d’Angoulême
Samedi 11 juin, à 8 h 1/2 du soir
avec le concours de
Louise Michel
Laurent Tailhade, Charles Malato
Les accapareurs de blé, financiers, valets des despotes,ajoutent la famine à la guerre. Les révoltes des prolétaires italiens et espagnols,qui veulent vivre sont noyés dans le sang. La réaction internationale affame et saigne séparément les peuples. Le tour de la France est arrivé. Les gens de l’ordre moral et clérical se démasquent à la Chambre et dans le pays.
Le suffrage universel est une duperie atroce. — Ne comptons que sur nous-mêmes, ne nous laissons pas surprendre.
Les organisateurs
Entrée : 0 fr. 50 centimes
Paris — Imprimerie [… ?] Marchal, [96 ?], rue d’H[… ?]
http://www.iisg.nl/collections/louisemichel/inventory59fr.php
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- notes :
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texte bilingue (français, italien)
papier rouge
- texte :
L’Action anarchiste au peuple !
Ancora una volta, come da diversi anni, ti chiamano a festeggiare il Primo Maggio. Tu abbandoni il lavoro per sfilare in un corteo banale, pari alle processioni religiose, dove tu sarai attorniato cosi bene dal tuo compagno di lavoro come dalla spia che ti vende, e tu andrai con loro festeggiare la Pasqua, dei lavoratori ! ti ubriacherai, come in carnevale, di vino e sopratutto di frasi.
Non costano molto in questo giorno le frasi… I furbi politicanti, colle gesta larghe che hanno imitato dai preti, e che hanno tanta influenza sugli ingenui, ti predicheranno le più incredibili assurdità sulle quali — l’ambiente abbrutito che ti circonda facendo il suo effetto —tu porrai le tue speranze.
Quante frasi : libertà, giustizia, forte organizzazione, riforme, suffragio universale, pensioni, democrazia, socialismo, etc quante promesse, quante visioni di felicità.
Ma all’ indomani, quando ritornerai al campo, al banco, al cantiere, alla mina riprendere il lavoro abbrutente, non comprenderai tu che ti hanno ingannato ? Non scorgerai la cinica commedia del politicante venduto al maggior offerente, che tradisce la tua confidenza nell’opera sua ?
Non vedrai tu il socialismo patteggiare colla borghesia, trascinando nel fango e nelle brutture l’ideale di redenzione in cui tu speravi.
Non ti accorgerai dell’aumento più intenso dello sfruttamento ?… il vuoto, la canaglieria delle istituzioni che ti schiacciano, vivono del tuo lavoro, per darti in compenso catene, mali e sofferenze che tu subisci senza rivolta ?
Popolo, ti hanno ingannato, ti ingannano, t’inganneranno ancora.
Ma sarai tu sempre la vittima credula dei tuoi padroni e dei loro strumenti ?
Continuerai tu a produrre l’immensa ricchezza al profitto di qualche privilegiato, trascinandoti da uno sfruttatore all’altro, curvando la schiena dolorosa ?
Continuerai tu a darti dei capi, dei governanti, dispensatori di miseria e di brutalità ?
Popolo ! Il momento è venuto di deciderti !
O tu resterai — per ignoranza o per viltà — la " folla " bestiale e pecorile, pronta a tutte le bassezze.
Questa folla miserabile, che si gelosa, si spia, si massacra per conservare più a lungo la propria schiavitù !
O tu romperai direttamente col passato e marcierai alla rivolta liberatrice.
Noi ti chiamiamo a quest’opera !
Dirai con noi che bisogna finirla collo sfruttamento umano, colla schiavitù abbrutente. Nonostante il tuo passato, i tuoi errori, noi crediamo nella tua forza viva misconosciuta.
Noi ti crediamo antera capace di compiere uno sforzo virile.
Non più leggi, affinché ogni individuo vada al suo istinto naturale, senza. legami, senza impedimenti.
Non più eserciti, non più massacri, non più trascinasciabole brutali e perversi, non più padroni prepotenti, Non più giudici colpendo coloro elle ordine attrale di cose costringe, n violarne le leggi.
Non più preti, parassiti, governanti, autorità !
Colla libertà assoluta, la libera e felice anarchia !
Popolo, lascia le fisime politicanti, le cose da te stesso, segui la via che ti condurrà alla tua emancipazione.
Questa via è quella che noi t’ indichiamo, è quella dello Sciopero generale espropriatore, della Rivoluzione liberatrice.
Popolo, non esitare, affrettati, preparati, la la lotta è vicina, e noi dobbiamo essere i più forti.
Viva la Rivoluzione Sociale ! Viva l’Anarchia !
Ai Lavoratori italiani !
Il Consiglio federale si prepara a ricevere S. M. Gennariello di Savoia, sotto il cui regno, benché corto, si è già sparso tanto sangue proletario.
Ecco lo stato dí servizio di questo signore :
A Berra Ferrarese, Candela, Putignano, Giarratana, Lecce, Torre Annunziata, Galatina, Taurisano, Castelluzzo, Buggerru, Torino, Genova, Francavilla Fontana, Nardó, Gallipoli, Sava, Oria, Santa Susanna, Alessano, Acquara del Capo, San Marco in Lamis, Muro, Scorrano, Calimera, i suoi sgherri, i suoi bruti monturati hanno versato il sangue del popolo.
Condanne feroci, persecuzioni accanite, sequestri, si sono succeduti a danno di chi parla, scrive e agisce in favore del popolo.
Lavoratori italiani, la vostra condotta sia una protesta contro l’insulto che le feste indette per la visita del re d’ Italia sono per la massa lavoratrice. Operai, protestate ! Operai, scioperate !Primo Maggio
Quanti « Primo Maggio » si sono passati dal giorno in cui dei socialisti non ancora marciti dalla vicinanza del potere, avevano proclamato questo giorno di sciopero generale come protesta perenne contro i delitti della borghesia, come perenne affermazione di nuovi diritti del proletariato ?
Ed in questi primi e lontani « Primi Maggio » il proletariato che ancora non si era lasciato trascinare nelle vie tortuose e di traverso della politica, che era ancora ingenuo e incorrotto, dimostrava alla borghesia spaurita, che egli era capace, un giorno non lontano, di compiere, a sua volta, la sua Rivoluzione.
Quanto terrore in quei giorni soffiava sulla borghesia che si curvava sotto il peso di una grande paura, grande quanto i delitti di cui è cacca.
Ma di poi, il proletariato si è imborghesito, si è imputridito nella politica, si è creato nuove catene in nuove organizzazioni ed il socialismo si è venduto ai governi, ha stretto la mano dei re, ha ricevuto decorazioni, si è trascinato carponi nel fango e nel sangue al piede dei più feroci tiranni.
E collo scoraggiamento dei vecchi combattenti e l’ indifferenza della massa operaia, di più in più avvilita e abbrutita, il Primo Maggio rivoluzionario ha tramontato, troppo presto forse per l’azione, ma purtroppo troppo tardi per i suoi dolorosi risultati. Dico dolorosi risultati, perchè il Primo Maggio ha lasciato troppe abitudini, troppi pregiudizi, come aveva al suo inizio nutrito troppe speranze.
Il Primo Maggio è diventato pel popolino una festa, come Pasqua, come Ognissanti, come Natale. una festa che si fa per tradizione, perchè è entrata nel dominio comune, come le feste religiose, che si fanno per abitudine anche dai miscredenti.
Il Primo Maggio ha coltivato questo pregiudizio, che esso sia un giorno diverso da tutti gli altri giorni, che in esso gli uomini si sentano più fratelli, più assetati di libertà, più desiderosi d’ emancipazione.
Il Primo Maggio ci ha lasciato credere, che perchè tale, sia il giorno più adatto ad imporre le rivendicazioni operaie, più adatto a trarre con sè le masse popolari, più adatto per provocare un movi mento d’insieme.
E’ per questo che la confederazione generale del lavoro aveva scelto come periodo fisso, per l’imposizione delle otto ore di lavoro, questo giorno di Primo Maggio, in cui d’abitudine un certo nu-mero d’ individui speculanti sull’imbecillità della folla, domandavano umilmente ai poteri costituiti, ciò che essi non potevano fare, cioè accordare agli operai questa riforma.
Dobbiamo però finire per convincerci che è un errore, il credere in queste particolari virtù della data del Primo Maggio.
La grande maggioranza dei lavoratori che non lavorano il Primo Maggio, per quel pudore speciale, che fa che anche i peggiori krumiri ci tengono a far vedere che non sono del tutto col padrone, van-no magari al corteo sbandierante, ma poi si limitano a fare il Primo Maggio come fanno le altre feste, cioè con una sbornia sonora e abbrutente.
E voi non dimostrerete mai a costoro che il Primo Maggio non deve essere un mezzo per ubbriacarsi, ma un giorno di lotta, essi non vi comprenderebbero.
Gli altri che si credono aver raggiunto un certo grado di coscienza di classe, si mettono in corteggi ciarlataneschi alla coda dei politicanti del socialismo o dell’organizzazione, per dare alla borghesia ormai tranquillante il piacere di vedere stilare davanti a lei, in parata, i suoi schiavi, che non seguono più i vecchi stendardi della vergine e dei santi che perchè hanno trovato altri stracci rosso fiammanti ed altri simboli di cui ricoprirli.
E’ la pecoraggine, l’idolatria che continua nel proletariato, è la religione novella che rimpiazza la vecchia, che rovina, coi suoi nuovi dogmi, colle sue nuove cerimionie, colle sue nuove deformazioni del cervello umano.
In quanto a noi, se ci asterremo dal lavoro in questo giorno di Primo Maggio, se in questo giorno indirizzeremo al popolo la nostra parola, noi non daremo però più alla fatidica data maggior valore di ciò che essa ha.
Il Primo Maggio non è il solo giorno in cui si possa fare qualche cosa, in cui qualche riforma si possa realizzare, anzi il Primo Maggio la borghesia, sempre più paurosa, perchè ha troppe macchie sulla coscienza, è troppo ben preparata, ha ben troppe precauzioni abituali, perchè lo sfogo popolare si trasformi da una passeggiata festosa in una realizzazione rivoluzionaria, in un tentativo di emancipazione.
Qualunque movimento, per avere occasione di essere vittorioso, deve scoppiare all’ improvviso, quando la borghesia non se Io attende, quando essa non è già da tempo preparata per annientarlo.
Scegliere il Primo Maggio per affermare, una volta alt anno, le proprie convinzioni rivoluzionarie, per nascondere poi la propria impotenza nella viltà collettiva i restanti giorni dell’anno, diventa un atto assurdo, assolutamente irra giovevole.
E’ tutto l’anno, giorno per giorno, che i rivoluzionari devono affermare colla parola e coli’ azione il loro rivoluzionarismo, che gli operai devono provare che essi sono capaci di resistere allo sfruttamento padronale, di strappare ai loro succhioni, ai loro aguzzini tutte quelle riforme che essi pretenderanno.
E’ a formare una ferina coscienza, individuale nel proletariato, che devono consacrarsi, d’ora in poi, gli anarchici, l’educazione collettiva finora praticata nelle organizzazioni non avendo dato che nuove disillusioni, predicando la rivoluzione ha avuto per risultato un nuovo riformismo, combattendo le gerarchie materiali ha creato nuova e potente autorità morale, combattendo le idolatrie di uomini ne ha create altre.
Perchè la massa operaia organizzata, non possiede una coscienza individuale, perchè essa non rappresenta quella minorità audace che compie le grandi trasformazioni sociali.
Se noi creeremo invece in un gran numero d’ individui (coloro che ne sono suscettibili) una ferma coscienza rivoluzionaria, noi avremo raggiunto lo scopo che ci siamo prefisso, cioè noi potremo, ad un momento qualunque, strappare alla borghesia tutte quelle concessioni che noi vorremo pretendere, noi avremo fatto il maggior passo verso l’emancipazione integrale, verso la Rivoluzione, una rivoluzione cosciente e vittoriosa.
Questo risultato che non otterranno mai, cento, mille primi di maggio, potrà ottenere la nostra propaganda continua, di tutti i giorni. E noi non ci troveremo più nella dura necessità di trovarsi come oggi, dopo aver discusso un hanno sul da farsi, costretti a non far nulla ed a non avere nè iniziativa, ne appoggio nell’azione.L’Azione Anarchica.
Encore une fois, comme depuis des années, on t’appelle à fêter le 1er mai. Tu abandonnes le travail pour former un banal cortège où, coudoyant tes camarades aussi bien que tes mouchards, vous vous en irez tous ensemble fêter les Pâques du travailleur. Tu t’y soûleras comme en carnaval, de vin et surtout de mots Ils ne coûtent pas cher en ce jour les mots. Les politiciens roublards, avec des gestes larges empruntés aux prêtres et si influents sur les naïfs, te prêchent des absurdités incroyables sur lesquelles — le milieu abruti qui t’environne aidant tu placeras tes espoirs futurs. Que de phrases : liberté, égalité, justice, révolution, suffrage universel, retraites ouvrières, assurances, démocratie, socialisme que de promesses, que de visions de bonheur !
Mais si le lendemain tu dois retourner au champ, à l’établi, au chantier, à la mine reprendre le même travail abrutissant, ne comprendras-tu donc pas qu’on trompé ? N’entrevois-tu pas la comédie cynique du politicien vendu au plus offrant qui trahit ta confiance en son œuvre ? Ne vois-tu pas le socialisme pactisant avec la bourgeoisie, jetant aux orties l’idéal de relèvement qui te plaisait ? Ne ressens-tu pas l’intensité grandissante de ton exploitation ? le vide, la fausseté, la canaillerie des institutions qui t’étouffent, vivant du travail de tes mains pour te charger en retour de chaines, de maux, de souffrances subis sans révolte,
Peuple, l’on t’a trompé, l’on te trompe et te trompera encore !
Mais seras-tu toujours la dupe de tes maitres et de leurs créatures ?
Continueras-tu à produire l’immense richesse au profit de quelques privilégiés, trainant la savate d’un exploiteur à l’autre, courbant l’échine ?
Continueras-tu à te donner des chefs, des gouvernants dispensateurs de misère et de brutalité ?
PEUPLE ! Le moment est venu de choisir !
Ou tu resteras — par ignorante ou par lâcheté — la foule bête, moutonnière, prête à toutes les bassesses. Cette foule grouillante, qui se jalouse, se moucharde, s’entretue pour perpétuer son esclavage.
Ou tu rompras avec le passé, marchant à la révolte libératrice.
A cette œuvre nous te convions ?
Dis avec nous qu’il faut en finir avec l’exploitation humaine, l’esclavage abrutissant. Nonobstant ton passé, tes erreurs, nous croyons en tes forces vives méconnues. Nous te croyons capable d’un effort viril.
Plus de lois, afin que chaque individu aille à son instinct naturel, sans entraves ;
Plus d’armées, de massacres, d’officiers fainéants et pervers, de propriétaires insolents et brutaux. Plus de jugeurs frappant ceux à qui l’ordre social impose même de violer ses lois ; plus de prêtres, de parasites, de gouvernement, d’autorité ; c’est la liberté absolue, la libre, l’heureuse anarchie !
Peuple, lâche la politique, fais tes affaires même, suis la voie qui te conduira vers ton émancipation.
Cette voie est celle que nous t’indiquons, c’est la grève générale expropriatrice, c’est la Révolution sociale et libertaire.
Peuple, n’hésites plus, hâtes-toi, prépares-toi, la lutte est proche et il faut que nous soyons les plus forts.
Vive la Révolution sociale !
Vive l’Anarchie !
1er mai 1906
La classe ouvrière française s’agite non seulement du fait qu’on lui propose de conquérir enfin la journée de 8 heures, mais surtout sous l’horrible impression de crimes capitalistes et gouvernementaux dans les régions minières ; surtout sous l’aiguillon de la faim, de l’intense crise économique sévissant de toutes parts.
Autour de nous les gouvernants italiens viennent d’ajouter une nouvelle flaque de sang à la série de leurs forfaits périodiques.
Si les vaillants ouvriers espagnols périssent de faim et des brutalités policières.
Si les ouvriers allemands, abrutis ou par la misère ou par la vanité, tremblent devant le sanguinaire arlequin impérial qui les fascine, drapé dans sa bannière de Tamerlan moderne.
Si les révolutionnaires russes, malgré leur héroïque défense, succombent momentanément sous la dernière étreinte, les dernières convulsione du tzarisme exterminateur frappé à mort.
Ne verra-t-on personne, à l’exemple des mineurs belges, répondra à l’appel de nos frères de France en détresse. Tous les travailleurs, de tous les métiers, de toutes les régions, ne se lèveront-ils pas pour appuyer les mineurs et les métallurgistes qu’on écrase dans le Nord et le Pas-de-Calais. Pour essayer la grève générale !
Un moment nous avions pu croire la classe ouvrière suis se disposée à profiter du mouvement général de cette année. Hélas ses comités, ses prési dents, ses secrétaires, en ont décidé autrement. Cela suffit pour la calmer. Elle obéit au mot d’ordre pris chez ses pires ennemis, ses maitres. Elle se cache, elle se terre cependant qu’on frappe les meilleurs d’entre les siens !Imprimerie commerciale ; rue Necker 3.
Placard paru dans le n° 3 de L’Action anarchiste / L’Azione anarchica (Genève / Ginevra, 28 april/aprile 1906)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
June 1909
Anarchists and the situation
Some socialists sidelight
industrial unionism
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
November 1909
Francisco Ferrer and his schools by one who knew him
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
September 1909
General strike in Sweden
Is communism necessary
The evolution of anarchism
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Grande salle Handwerck
Vendredi 15 octobre, à 8 h 1/2 du soir
Grand meeting
de protestation
contre l’inquisition en Espagne
Travailleurs, Citoyens,
Un crime rappelant les pires atrocités d’un autre âge a été commis :
Ferrer
coupable uniquement d’avoir consacré tous ses biens et toute sa vie à l’éducation du peuple vient d’être fusillé. C’est un défi de la réaction cléricale et monarchique la plus odieuse, lancé à la face du monde civilisé, c’est une négation infâme de la liberté de pensée et de conscience nous ramènenet aux sombres époques de l’inquisition, des tortures et des bûchers.
Travailleurs, Citoyens,
L’humanité toute entière, qui voit ainsi compromises ses conquêtes les plus précieuses, ne peut que se soulever avec le même cri de douleur et dans un même élan d’indignation. D’autres hommes pas plus coupables que Ferrer avaient déjà été exécutés et l’œuvre de mort ne parait pas devoir s’arrêter en Espagne, si une manifestation de réprobation universelle ne se produit pas contre les bourreaux.
Unissons donc nos voix à celles de tous les hommes de cœur : affirmons cette grande solidarité humaine qui doit de plus en plus unir tous les peuples à travers toutes les frontières pour préparer un avenir meilleur. Que Ferrer soit le dernier martyr de la liberté de pensée et que sa grande mémoire soit impérissable ! Et préparons-nous à le venger en hâtant la réalisation du noble idéal de fraternité et de justice pour lequel il a donné sa vie.
Fédération des syndicats ouvriers.
Imprimerie des Unions ouvrières à base communiste - Pully-Lausanne
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
July 1909
The bloodthirsty Tsar ! How he governs Russia
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
January 1910
All governments are robbers ; why do you elect them ?
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (saynète en 4 vignettes) par Eugène Petit ]
- texte :
Élections législatives
Le candidat et la poire
L’électeur. – Ah ! La belle poire !
Le candidat. – Si tu veux m’aider à l’avoir, je te la promets !
Le candidat. – Allons, encore un petit effort et nous y sommes ! Mais sais-tu qu’elle est magnifique !
Le candidat. – Que réclames-tu ?
L’électeur. – La poire ! la poire !
Le candidat. – Mais la poire ! C’est toi !Tout parle-menteur vit aux dépens de l’électeur
Vu le candidat :
Imprim. des Causeries Populaires, 22, rue du Chevalier-de-la-Barre, Paris
Demandez tous les jeudis l’anarchie, 0 fr. 10.
Affiche parue en page centrale de L’Anarchie nº 258 (jeudi 17 mars 1910).
Un tirage est également fait pour les candidats abstentionnistes.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (scénette en 4 vignettes) par Eugène Petit ]
- texte :
Élections législatives
Le candidat et la poire
L’électeur. – Ah ! La belle poire !
Le candidat. – Si tu veux m’aider à l’avoir, je te la promets !
Le candidat. – Allons, encore un petit effort et nous y sommes ! Mais sais-tu qu’elle est magnifique !
Le candidat. – Que réclames-tu ?
L’électeur. – La poire ! la poire !
Le candidat. – Mais la poire ! C’est toi !Tout parle-menteur vit aux dépens de l’électeur
Vu le candidat :
Imprim. des Causeries Populaires, 2, rue du Chevalier-de-la-Barre, Paris
Demandez tous les jeudis l’anarchie, 0 fr. 10.
Affiche destinée aux candidats abstentionnistes, aussi parue en page centrale de L’Anarchie nº 258 (jeudi 17 mars 1910).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (sur fond rouge) ]
- texte :
Élections législatives
Pourquoi voter ?
Vous allez voter, bons électeurs, le moment est venu d’exercer votre puissance : c’est-à-dire de charger un homme du soin de vos affaires, ce qui ne l’empêchera pas de faire les siennes, à vos dépens !
Vous allez voter pour celui qui vous fera les plus belles promesses, le plus beau boniment, pour le plus rouge ou le vrai tricolore.
Et après ? Qu’importe le résultat. Victorieux sur le terrain politique, vous serez quand même vaincus, écrasés dans le domaine économique. Demain, comme aujourd’hui, vous serez des miséreux, vous ne posséderez rien et votre dénûment vous asservira aux volontés des parasites et des exploiteurs ;
En votant vous sanctionnez les rouages qui vous meurtrissent. Quelle que soit sa couleur politique, votre élu représentera l’Autorité, il défendra les possédants contre les exploités. Socialiste et révolutionnaire avant le scrutin, il deviendra opportuniste et conservateur, lorsqu’il aura palpé les quinze mille – grâce à votre naïveté, électeurs !
Ne savez-vous pas, que « plus ça change, plus c’est la même chose » ? Avez-vous encore des illusions sur les mensonges des politiciens, ne savez-vous pas que leur charlatanisme ne changera jamais rien à votre existence douloureuse ?
Les Anarchistes n’apportent pas de Système panacée – Ils disent simplement que la vie pourrait être belle, sans exploiteurs, sans codes, sans prisons – et que pour arriver à cela, l’homme doit s’affranchir moralement de tous les préjugés afin de pouvoir se libérer ensuite de manière effective des institutions sociales oppressives.
Voter, c’est se résigner ! Voter, c’est accepter la Société capitaliste ! Voter, c’est perpétuer la misère, le vol, la souffrance ! Voter, c’est fournir le bâton pour être rossé ! Réfléchissez, ne votez plus, éduquez-vous, révoltez-vous !
Pourquoi voter ???
Vu le candidat :
Imprim. des Causeries Populaires, 27, rue du Chevalier-de-la-Barre, Paris
Demandez tous les jeudis l’anarchie, 0 fr. 10.
Affiche parue pour les élections législatives de 1910.
http://www.parlements.org/histoire_politique_en_images/affiche_1910_6_miniature.jpg
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- notes :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
November 1911
25th anniversary of Freedom
The growth of the anarchist movement
An open letter to the BSP
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
October 1911
The tyranny of Stolypin
Trades Union congress
An open letter to a soldier
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
March 1913
The peril of militarism
The education
The rebel
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
February 1913
The “Slump” in State socialism
The illusion of government
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
November 1913
The Strike weapon and its critics
A general view of anarchism
Land and Liberty
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/3348611883/one-of-two-dozen-freedom-one-sheet-advertisements (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
November 1914
Anarchists on the war and anti-militarism
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
December 1914
Government and the People
Shattering the dumb gods
Correspondence on the war
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Freedom
A journal of anarchist communism
August 1914
The crime of crimes
Capitalism condemned
What we want !
Monthly — One penny
http://s1gnal.org/post/29962595431/freedom-press-broadsides (13 septembre 2012)
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- notes :
- descriptif :
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testo
- texte :
Università Popolare del Biellese • Sezione di Vigliano
Domenica 25 Aprile 1915 alle ore 15,30 l’egregio sig. avv. Luigi Molinari, direttore della “Università Popolare” di Milano, terrà nel solone delle Scuole una conferenza dal titolo :
Francisco Ferrer e le idealità della Scuola Moderna
ingresso libero e gratuito
Tip. Cooperativa Biellese
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Grande salle communale de Plainpalais
Mardi 4 juin 1918, à 8 h 30 du soir
Meeting
Les bombes de Zurich
L’arrestation de BertoniOrateurs
Alfred Amiguet - Paul Golay , de Lausanne
J. Humbert-Droz, de Chaux-de-Fonds - E. BrunnerCordiale invitation à tous
Fédération des syndicats ouvriers. — Union ouvrière.
groupe du Réveil. — Jeunesse socialiste.Genève — Imprimerie des Unions ouvrières
Arrestation d’anarchistes italiens après la découverte d’armes et explosifs chez certains d’entre-eux (grâce/à cause de services secrets allemands). E. Brenner [Emil Brenner ??] fait partie de de l’Union ouvrière (cf. Louis Bertoni : une figure de l’anarchisme ouvrier à Genève de Gianpiero Bottinelli (Entremonde, 2012), p. 79-83.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte et annonce avec passages censurés : reproduction d’une affiche précédente ]
- texte :
Oggi 13 ottobre 1921
Unione Anarchica Italiana
(Gruppo "La Folgore" di Napoli)
Uomini di ogni classe !
Uomini di ogni fede !
Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti, sono stati condannati a morte nell’America repubblicana.
(Censura)
Accorrete, perciò, numerosi al primo
grande comizio di protesta
che avrà uogo la sera di gioversi 13 corr. ; alle ore 19.30, in piazza Principe Umberto.
Parleranno : Bruno Misefari per gli anarchici, Carlo Ciardiello per i comunisti ed uno per i socialisti.
Nessuno manchi … (Censura) …
Napoli — Tip. Réclame d’Affissione — Via Divino Amore 10
L’originale si trova presso il Circolo ’Pietro Mancini" di Consenza donato da Pia Zanolli Misefari
Reprint.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
testo
fotografie (Sacco, Vanzetti, un attore)
- texte :
Columbus Theatre
170 Shrewsberry Street — Worcester, Mass.
Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti
Giovedì, 20 Giugno 1921 - Ore 7,30 P.M.
La Compagnia Spartaco Darà
La Canaglia
Commoventissimo Bozzetto strappato dalla vita reale, di Mario Gino
S. Barabba interpretera “Il Pezzente” - Monologo di R. Cordiferro
Indi Concerto Canzonettistico con Francesco Habirbrak nella canzonette napoletana
et il macchiettista G. Tagliaferri - nel suo repertorio
[…]
https://picryl.com/media/columbus-theatre-grande-serata-di-varieta-pro-sacco-e-vanzetti-ce6af7
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (bilingue castillan/italien) ]
- texte :
Trabajadores españoles
Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin
En la España de los imbéciles militares hay un hombre, TORRES ESCARTIN que es un honrado Trabajador, que por el solo hecho, de pensar en un porvenir mas justo lo acusaron de la MUERTE del Cardinal de Zaragoza.
Durante la celebración del Proceso se presento un sobrino de la victima con pruebas testigales, aprobando que los autores de la Muerte de su Tio, fueron los mismos Clericales.
A dicho testigo no se lo escucho echándole de la audiencia, y, condenando a MUERTE a nuestro compañero y luchador TORRES ESCARTÍN.
La libre America, país del dolar y de la democracia, para no ser menos que los países monárquicos condeno a la Silla Eléctrica hace cinco anos, a dos inocentes como nuestro companero Escartín, los dos conocidos luchadores SACCO y VANZETTI.
Y para evitar que los verdugos se manchen las manos con la sangre de tres inocentes trabajadores, se os invita a un
GRAN MITIN
que tendrá lugar a la
Bolsa del trabajo, Sábado día 5 de Junio a las 8 de la Noche, Sala de Conferencias
Uno de los Oradores hablará en Español
Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti
Lavoratori Italiani,
La pena capitate ha da un ora all’attra per funzionare. Un grido di aiuto ci perviene dolla lontana Repubblica stellata, per Salvare due innocenti, il perfide e rapace, Capitalismo americano compreso il governo voglino ad ogni costo disparsi di Nicola SACCO e Bartolomeo VANZETTI ;
Col rigetto della rivesione del processo e la conferma della pena di MORTE che si vuole infliger la macchinazione più infamanti di ogri origini poliziesco sta per avere il suo epilogo.
Lavoratori Italiani,
Due onesti organizzatori della lotta di classe due militanti anarchici per colpa di essere tali dovranno affrontare la SEDIA ELETTRICA.
In piedi domine, e con mezzi rapidi e decesivi risponderemo occhio per occhio dente per per dente il mondo civile e con noi.
Se SACCO e VANZETTI e TORRES Escarti dovranno morire sapremo a chi dovremme rivolgersi per rivendicarli.
Lavoratori Italiani,
Uniti nell’umana protesta agitiamoci per impedire che questo delitto si compia.
Un Oratore che parla Italiano sarà con noi
SALBATO SERA_ALLE ORE 8 GIUGNO 1926
[marque syndicale] Imp. Nouvelle, 4, rue Balay, Saint-Étienne
Archives nationales F/7/13105, dossier nº 24, A52 :
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_050130/c-8vos8fago—iue26c029ldv/FRAN_0020_15666_LAffiche diffusée par le Parti communiste (France).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Fédération Révolutionnaire des Communes]
[Fédération Révolutionnaire des Communes]. — Lyon : Fédération Révolutionnaire des Communes (Lyon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
![]() 1871 |
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]. — Paris : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Commune de Lyon]
[Commune de Lyon]. — Lyon : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 64 × 49 cm.
sources :
![]() 1870 |
[Grand meeting public d’indignation contre l’expulsion de Pierre Kropotkine]
[Grand meeting public d’indignation contre l’expulsion de Pierre Kropotkine]. — Paris : Bibliothèque sociologique des travailleurs communistes libertaires du XIIe arrondissement (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[International socialist workers and trade union congress 1896, anarchist-socialist and anti-parliamentary committee, welcome to delegates]
[International socialist workers and trade union congress 1896, anarchist-socialist and anti-parliamentary committee, welcome to delegates]. — London Londres : [s.n.], (Co-operative Printing Society (London)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 152 × 101 cm.
sources :
![]() 1896 |
[Souvenir de mai 1871 : hommes et martyrs de la Commune]
[Souvenir de mai 1871 : hommes et martyrs de la Commune] / Charles Prolès. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 76 × 56 cm.
sources :
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × 21 cm.
sources :
[L’Action anarchiste au peuple !]
[L’Action anarchiste au peuple !]. — Genève : Action anarchiste = Azione anarchica (1906-1906), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 52 × 72 cm.
sources :
[Anarchists and the situation ; Some socialists sidelight ; industrial unionism]
[Anarchists and the situation ; Some socialists sidelight ; industrial unionism]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Francisco Ferrer and his schools by one who knew him]
[Francisco Ferrer and his schools by one who knew him]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[General strike in Sweden ; Is communism necessary ; The evolution of anarchism]
[General strike in Sweden ; Is communism necessary ; The evolution of anarchism]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting de protestation contre l’inquisition en Espagne : Ferrer]
[Grand meeting de protestation contre l’inquisition en Espagne : Ferrer]. — Lausanne : [s.n.], (Unions Ouvrières, impr. des (Lausanne)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The bloodthirsty Tsar ! How he governs Russia]
[The bloodthirsty Tsar ! How he governs Russia]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[All governments are robbers ; why do you elect them ?]
[All governments are robbers ; why do you elect them ?]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Le candidat et la poire : élections législatives]
[Le candidat et la poire : élections législatives] / Eugène Petit « Strix ». — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 62 × 43 cm.
sources :
![]() 1910 |
![]() 1914 |
[Le candidat et la poire : élections législatives]
[Le candidat et la poire : élections législatives] / Eugène Petit « Strix ». — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 62 × 43 cm.
sources :
![]() 1910 |
![]() 1914 |
[Pourquoi voter ? : élections législatives]
[Pourquoi voter ? : élections législatives]. — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 62 × 43 cm.
sources :
[25th anniversary of Freedom ; The growth of the anarchist movement ; An open letter to the BSP]
[25th anniversary of Freedom ; The growth of the anarchist movement ; An open letter to the BSP]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The tyranny of Stolypin, Trades Union congress ; An open letter to a soldier]
[The tyranny of Stolypin, Trades Union congress ; An open letter to a soldier]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The peril of militarism ; The education ; The rebel]
[The peril of militarism ; The education ; The rebel]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The Slump in State socialism ; The illusion of government]
[The Slump in State socialism ; The illusion of government]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The Strike weapon and its critics ; A general view of anarchism ; Land and Liberty]
[The Strike weapon and its critics ; A general view of anarchism ; Land and Liberty]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Anarchists on the war and anti-militarism]
[Anarchists on the war and anti-militarism]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Government and the People ; Shattering the dumb gods ; Correspondence on the war]
[Government and the People ; Shattering the dumb gods ; Correspondence on the war]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[The crime of crimes ; Capitalism condemned ; What we want !]
[The crime of crimes ; Capitalism condemned ; What we want !]. — London Londres : Freedom Press, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Francisco Ferrer e le idealità della Scuola Moderna]
[Francisco Ferrer e le idealità della Scuola Moderna]. — Biella : Università popolare dl biellese (Vigliano). Sezione, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 30 × 83 cm.
sources :
[Meeting : les bombes de Zurich, l’arrestation de Bertoni]
[Meeting : les bombes de Zurich, l’arrestation de Bertoni]. — Genève : le Réveil (1900-1947) ; [et al.], (Imprimerie des Unions ouvrières (Genève)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti sono stati condannati a morte nell’america repubblicana]
[Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti sono stati condannati a morte nell’america repubblicana]. — Napoli Naples : UAI_ (Unione Anarchica Italiana), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 89 × 65 cm.
sources :
[Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti]
[Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti]. — Worcester (Mass.) : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin = Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti]
[Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin = Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier rouge ) ; 120 × 80 cm.
sources :
[Zum 50. Todestag von Michel Bakunin]
[Zum 50. Todestag von Michel Bakunin]. — Bern Berne : [s.n.], (Unionsdruckerei Zürich). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 70 × 50 cm.